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Michel Le Net
Michel Le Net
Paris
Biographie
Naissance

Vannes
Décès
(à 87 ans)
Antony
Nationalité
Française
Formation
École nationale des Travaux publics de l’État
École nationale supérieure d’électronique de Toulouse
École nationale des Ponts et Chaussées
Activité
Autres informations
Domaine
Économie sociale
Communication publique
Éthique managériale
Genre artistique

Michel Le Net, (né le 26 janvier 1935 à Vannes, Morbihan) est un haut fonctionnaire français du corps des Ponts et Chaussées, qui a occupé de nombreuses fonctions promotrices des valeurs sociales (sécurité routière ; santé ; éthique ; communication publique…), en matière de recherche et de responsabilités pratiques. Il a publié une quinzaine d’ouvrages prospectifs sur ces sujets.

Biographie[modifier | modifier le code]

Michel Le Net est issu d’une famille morbihannaise dont la lignée remonte à quatre siècles. Ses ascendants directs étaient pour la plupart dans l’enseignement (grands-pères directeurs d’école publique). Son père, directeur du service maritime, a sauvé le phare de Port-Navalo de la destruction en 1945[1] ; il était le parrain de Léopold Hulot, héros de la dernière guerre, membre du commando Kieffer[2]. Après des études au Lycée Chateaubriand à Rennes et Saint-Louis à Paris, il effectue 28 mois de service militaire à Angers, Rennes et en Algérie, dans le Génie.

Il épouse en 1962 Josette Renouard professeur de Sciences physiques (décédée en 1985) : 3 enfants, Yves, Hervé, et Hélène (épouse Bruneel).

Carrière[modifier | modifier le code]

Bases aériennes, Transports et Cabinet ministériel[modifier | modifier le code]

Il débute sa carrière en 1962 à Nîmes par l’agrandissement de la Base aérienne de Nîmes-Garons, puis en 1964 par celle de Reims-Champagne. En 1969, il dirige les divisions des études économiques de la Direction des Transports terrestres du ministère des Transports, puis assume la préparation du budget, la gestion du personnel et les affaires financières de la direction. Il est par ailleurs chargé de mission auprès du directeur pour introduire et appliquer les principes de rationalisation des choix budgétaires et de direction par objectif à la définition et la mise en œuvre de la politique ministérielle. Est administrateur du Centre d’information de l’Équipement, du Logement et des Transports[3],[4],[5],[6].

Il est nommé en 1972 conseiller technique au Cabinet de Robert-André Vivien, secrétaire d’État au Logement (où il remplace Jean-François Roverato qui deviendra PDG d’Eiffage)

Sécurité routière[modifier | modifier le code]

Michel Le Net est nommé adjoint au Délégué à la Sécurité routière et participe à la préparation des trois mesures phares de la Sécurité routière (limitation généralisée de la vitesse sur autoroute à 120 km/h et sur l’ensemble du réseau à 90 km/h ; port de la ceinture de sécurité et port du casque sur les deux-roues) qui seront décidées en 1973 par Pierre Messmer, Premier ministre. Il anime la stratégie de « persuasion sociale » développée pendant cette période pour faire comprendre et admettre ces mesures par l’opinion publique (Campagnes Un petit clic vaut mieux qu’un grand choc ; La vitesse, c’est dépassé ; Deux roues, deux fois plus d’attention ; Apprenons la rue à nos enfants…)[7],[8]. Michel Bongrand, le précepteur de la communication politique, apporte sa compétence à la mise en œuvre de cette nouvelle nature de communication.

Éducation pour la santé[modifier | modifier le code]

Michel Le Net est appelé en 1976 par le ministre de la santé (Simone Veil) pour diriger le Comité français d’éducation pour la santé (CFES) et développer des actions de communication sociale contre les principaux maux sociaux. Il lance la première campagne nationale contre le tabagisme (Sans tabac, prenons la vie à plein poumons [graphisme de Milton Glaser]) considérée comme la plus importante lancée au profit d’une action de santé publique (un milliard de contacts enregistrés). Suivent des actions au profit du médecin généraliste, pivot du système de santé ; contre l’alcoolisme ; etc.[9],[10],[11],[12]

Devant l’ampleur des projets à mener, il préconise la transformation du CFES en institut aux responsabilités élargie à l’économie, la formation, l’édition, qui sera créé en 2002 sous la dénomination de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES).

Le concept de persuasion sociale et son approche économique [modifier | modifier le code]

Michel Le Net travaille le concept de persuasion sociale appliqué pour modifier les comportements individuels, et introduit une approche économique dans ces actions, en évaluant à priori leurs effets et en les mesurant tout au long de leur déroulement. L’exposé de ces démarches novatrices est publié dans ses livres (réf. dans Ouvrages) : L’État annonceur ; La persuasion sociale ; Livre blanc sur la communication sociale ; La Communication sociale,  Communication publique…

À ce titre, membre du Comité interministériel pour l’information de la Délégation générale à l’information (service du Premier ministre, qui deviendra le SIG), il participe aux orientations du gouvernement en matière de communication publique ; membre du Conseil de direction pour l’information de l’Agence pour les économies d’énergie, il prend part au projet d’une politique nationale d’information sur l’énergie nucléaire. Il préside le Comité des marchés publics de la communication

Sous le patronage et en présence de Georges Fillioud, ministre de la Communication, Il organise en 1981 le premier colloque international sur la persuasion sociale, qui sera suivi l’année suivante de la présentation au Premier ministre (Pierre Mauroy) du Livre blanc sur la persuasion sociale[13],[14],[15],[16],[17],[18],[19],[20],[21],[22].

Un regard sur l’Automobile Club de l’Ouest du Mans[modifier | modifier le code]

À la demande de Joël Le Theule, ministre de l’Équipement, il procède en 1978 à l’audit de l’Automobile Club de l'Ouest dont le ministre était vice-président, et préconise un ensemble de mesures appelées à assoir l’équilibre organisationnel et financier de l’organisme. Il évalue son impact économique local, national et international[23].

Évaluation et promotion de la politique d’action sociale[modifier | modifier le code]

Michel Le Net est chargé de mission auprès des ministres successifs des Affaires sociales (1980-1984) pour évaluer la politique d’action sociale du ministère et en assurer la promotion. Il est chargé de conduire la réforme du génie biologique et médical[24],[25][26],[27],[28],[29],[30],[31],[32].

Directeur de recherche à l’École nationale des Ponts et Chaussées[modifier | modifier le code]

Si depuis 1978 il poursuit ses études en matière d’évaluation économique des maux sociaux, de 1985 à 1993 il se consacre au sein du Centre d’enseignement et de recherche en analyse socio-économique (Ceras) de l’École nationale des Ponts et Chaussées à une suite de recherches en économie appliquée, et sur les aspects économiques des fonctions sociales.

Publications sur l’évaluation du prix de la vie humaine (réf. dans Ouvrages) appliquée aux études de rentabilité des investissements publics (Équipement et santé) : Le prix de la vie humaine. Le coût des maux sociaux (3e édition). Il livre une approche économique des fonctions associatives : Le volontariat. Aspects sociaux, économiques et politiques (col) ; Bénévolat et volontariat dans la vie économique, sociale et politique (col.)[33],[34],[35],[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43],[44],[45],[46],[47],[48],[49],[50] L’éthique, préoccupation première en économie des entreprises, apparait en pleine actualité en fin des années 1980. Dans le prolongement de la promotion des valeurs sociales qui marquent ses études, Michel Le Net organise au Palais du Luxembourg en 1989 le premier Symposium international éthique, économie et entreprise auquel participent des chercheurs, universitaires  et dirigeants français et étrangers. La manifestation est introduite par Michel Rocard, Premier ministre et clôturée par Jean-Pierre Soisson, ministre du Travail et de l’emploi.

La communication politique[modifier | modifier le code]

Volet complémentaire des deux autres natures de communication (publicité et communication sociale), Michel Le Net est naturellement conduit à travailler les multiples aspects de la communication politique, en particulier dans sa fonction première de servir le bien commun[51],[52],[53],[54],[55],[56].

Il organise sous le patronage de l’Unesco le premier Symposium international sur la communication gouvernementale au Palais du Luxembourg en 1985, auquel participent d’éminentes personnalités françaises (dont Michèle Cotta ; Robert Escarpit ; André Fanton ; Edgar Faure ; Jean-Pierre Fourcade ; Léo Hamon ; Jean-Pierre Raffarin ; Bernard Tricot ; Pierre Zarka ; Émile Zuccarerlli…), ainsi que les représentants au plus haut niveau des grandes nations (Allemagne ; Belgique ; Canada ; États-Unis ; Grande-Bretagne ; Japon ; Tunisie ; Hongrie ; Sénégal…) L’objet de cette rencontre est de préparer à terme une convention internationale de la communication gouvernementale des États démocratiques (cf. La communication gouvernementale et La communication politique dans Ouvrages). L’étude des interactions entre les pouvoirs et la politique le conduit à publier Les lobbies et le pouvoir ainsi qu'à rédiger et à être cité dans quelques articles sur le sujet, notamment dans les journaux Le Monde et Le Monde Loisirs.

Éthique des affaires et neuroéthique[modifier | modifier le code]

À l’issue du symposium sur l’éthique des affaires organisé en 1989, Michel Le Net crée le Cercle d’éthique des affaires (CEA) et le préside jusqu’en 2008. Son objet est d’impliquer les entreprises dans une démarche professionnelle éthique. Il réunit plus de 150 dirigeants d’entreprise, des enseignants et chercheurs. Ses activités sont multiples : centre  de réflexion et de propositions ; formation ; édition par Éthique Éditions : revue Entreprise Éthique ;  Les Cahiers de l’éthique ; ouvrages[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65],[66],[67].

Persuadé de l’importance des récentes découvertes en neurosciences appliquées à la gouvernance des entreprises, il réunit des experts de cette discipline au sein du Centre de neuroéthique et d’éthique appliquée, et organise en 2011 à l’université Pierre et Marie Curie (Jussieu) un premier séminaire sur l’éclairage que la neuroéthique peut apporter à la pratique des affaires. Il s’agit de prolonger dans cette direction les travaux de Jean-Pierre Changeux, président du Comité national d’éthique[68]. Ce colloque international réunit autour de Kathinka Evers (Professeur. Centre for Research Ethics and Bioethics. Université d’Uppsala – Suède)[69] et Pierre-Marie Lledo (Directeur de recherche à l’Institut Pasteur et au CNRS) un ensemble de premier ordre d’universitaires et chercheurs sur le thème : La neuroéthique peut-elle conseiller l’éthique ? Vaste champ de prospective à la pointe de l’actualité !

Chargé de mission auprès du préfet de la Région Île de France et du préfet, secrétaire général de la préfecture de Paris[modifier | modifier le code]

De 1994 à 1999 Michel Le Net est en charge de la communication et de l’évaluation des politiques publiques auprès du préfet de la Région Île-de-France et du préfet, secrétaire général de la préfecture de Paris.

Autres fonctions de Michel Le Net[modifier | modifier le code]

Fonctions d'enseignement[modifier | modifier le code]

  • Professeur à l’École nationale des Travaux publics de l’État (ENTPE) (sciences économiques, à ) ;
  • Maître-assistant à l’École nationale des Ponts et Chaussées (sciences économiques, à ) ;
  • Chargé de cours en communication politique et sociale à la Sorbonne (DESS-Université Paris I) ; dans les grandes écoles et les centres d’enseignement supérieur. Directeur de thèses de doctorat à  ;
  • Examinateur à l’ENA (). Directeur de séminaire (évaluation des politiques publiques - ) ;
  • Directeur de la revue Entreprise Éthique ( à ) ;
  • Conférencier en économie et communication, en France et à l’étranger

Fonctions de recherche[modifier | modifier le code]

  • Directeur de recherche à l’École nationale des Ponts et Chaussées (Centre d’étude et de recherche en analyse socio-économique) - les différentes missions lors de sa carrière restent évoquées dans l'annuaire de l'annuaire de l'école ;
  • Administrateur-délégué général du Centre de recherche sur l’information et la communication de la Sorbonne (Université Paris I. -) ;
  • Directeur du Laboratoire de modélisation de systèmes de communication sociale (Université Paris VIII) ;
  • Directeur du Centre de neuroéthique et d’éthique appliquée

Fonctions a-professionnelles[modifier | modifier le code]

  • Président de l’Institut de la communication sociale (ICOS) ;
  • Président du Cercle d’éthique des affaires (CEA) [-] ;
  • Maire-adjoint d’Antony (-) ;
  • Animateur du blog interactif République exemplaire : republique-exemplaire.eu (diffusion de communiqués ; articles repris par la presse nationale[70],[71][72],[73],[74])

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • Légion d’honneur
  • Ordre national du Mérite
  • Croix de la Valeur militaire (avec citation)
  • Ordre des Palmes académiques
  • Reconnaissance de la Nation

Ouvrages[modifier | modifier le code]

1980 : Le prix de la vie humaine. Le coût des maux sociaux, 3e édition (La Documentation française, Notes et études documentaires) dont la publication est ici présentée par Gérald Messadié, alors rédacteur en chef du magazine scientifique Science et Vie

1981 : L’État annonceur. Techniques, doctrine et morale de la communication sociale (Éditions d’Organisation)

1982 : La persuasion sociale. Les pouvoirs d’une vraie communication sociale. Actes du colloque international, 2e édition (Éditions Anciens ENPC)

1982 : Livre blanc sur la communication sociale, 2e édition (ICOS Éditions)

1985 : Le volontariat. Aspects sociaux, économiques et politiques, en France et dans le monde (col.) (La Documentation française, Notes et études documentaires)

1985 : La communication gouvernementale (ICOS Éditions)

1988 : La communication sociale, traduit en arabe (La Documentation française, Notes et études documentaires)

1989 : La communication politique (La Documentation française, Notes et études documentaires)

1989 : Éthique, économie et entreprise (ICOS Éditions)

1991 : Les lobbies et le pouvoir (La Documentation française, Problèmes politiques et sociaux)

1993 : Communication publique. Pratique des campagnes d’information (La Documentation française, Notes et études documentaires)

1997 : Bénévolat et volontariat, dans la vie économique, sociale et politique (col.) (La Documentation française, Notes et études documentaires)

2005 : Anthologie sur l’éthique. Recueil de textes d’Octave Gélinier (Éthique Éditions)

2008 : Le Bréviaire de l’éthicien (Éthique Éditions), dont les témoignages par certaines des plus hautes autorités de l’État, de l’administration, des entreprises et professions libérales, enseignants et chercheurs, religieux et critiques sont ici listés

2017 : Ça pique ! Secouons nos neurones... (Éditions Jean Picollec). Prix de la Découverte 2018.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Les phares français pendant la Seconde Guerre mondiale », par J.-C. Fichou, dans Guerres mondiales et conflits contemporains, 2001/4 n° 204. et Paris-Résistance du 9 septembre 1945
  2. Pierre-Loïc Kerino. Béninze, Arzon, Morbihan, 2015
  3. Perspectives de développement des techniques nouvelles en matière de transport urbain (col.), revue Équipement, n° 55, 1970
  4. L’utilisation de l’informatique par la DTT, ibid. n° 57, 1971
  5. La place du transport de marchandises par la route, la voie d’eau et la voie ferrée, ibid. n° 58, 1971
  6. Application des principes de RCB au contrôle des transports routiers de marchandises, ibid. n° 1972
  7. Quelle est la rentabilité économique des actons de sauvegarde de la vie humaine ? Revue de la Délégation à la Sécurité routière, nos 4 / 5 / 6, 1974-1975
  8. Considérations générales sur la prévention des accidents de la route, Académie nationale de médecine, Bulletin ANM, tome 160, n° 7, 1976
  9. Le développement de l’éducation pour la santé en France, La Santé de l’homme, n° 202, 1976
  10. Une action exemplaire en prévention : la lutte contre le tabagisme, ibid. n° 205, 1976
  11. L’éducation pour la santé en France : la priorité, ibid. n°206, 1976
  12. Évaluation d’une campagne nationale contre l’abus du tabac, Médecine sociale et préventive, n° 5 / 1977 (Suisse)
  13. Les pouvoirs d’une véritable communication sociale, Commercible, nos 4 et 5, 1979
  14. Bison futé, échec ou réussite ?, L’action automobile et touristique, n° 248, 1981
  15. La communication sociale, premier moyen de gouvernement, ibid. 1982
  16. Entretien sur la communication sociale, PCM, 1982
  17. Six questions sur la communication sociale, Sociétal (Québec), 1982
  18. La communication sociale, premier moyen de gouvernement, ibid. 1982
  19. La communication sociale, condition pour réussir l’intégration des personnes handicapées, INSERM-SNAOEI, 1984
  20. D’abord sensibiliser l’opinion publique à la sécurité routière, Assemblée nationale, 28 09 1984
  21. La communication sociale internationale, Sciences de l’information et de la communication, 1988
  22. Comment changer nos comportements ?, Centre d’information pour la prévention des accidents d’enfants, 21 11 1991
  23. Impact économique de l’Automobile-Club de l’Ouest, 1978 (actualisée en 1982 et 1988)
  24. Évaluer le social, Échanges, n° 29, 1982
  25. Théorie et pratique des méthodes d’évaluation des services sociaux, ministère des Affaires sociales, 1983
  26. Inclure les exclus, Normalité collective et différences individuelles. Plaidoyer pour une philosophie de l’action sociale, Gérontologie et société, 1983
  27. Le coût du handicap. Le handicap au futur, Prospective et santé, n° 26, 1983
  28. Théorie et pratique de l’évaluation de l’action sociale. Présentation du concept d’égalité sociale, AFSEA, 1984
  29. Inclure les exclus. Du concept d’égalité sociale à l’évaluation de l’action sociale, Revue française des affaires sociales, 1984
  30. L’évaluation des politiques publiques, Économica, 1984
  31. Du sang, des larmes et l’inflation. Comment sensibiliser l’opinion publique à la grande crise de notre époque ? Le Monde, 25 03 1984
  32. Le nouvel impératif social : communiquer ! UNAPEI, 1985
  33. Le coût de l’alcoolisme, Les Cahiers français, n° 188, La Documentation française, 1978
  34. Les accidents de la route, ibid. 1978
  35. Le coût du cancer, CERAS-ENPC, 1979
  36. Questions sur le coût de l’alcoolisme, revue du Haut comité d’étude et d’information sur l’alcoolisme, n° 141, 1980
  37. Incidences socio-économiques des accidents de la route, Académie nationale de médecine, ANM, 1981 et Édition Ciba
  38. Le coût de l’alcoolisme, Premier ministre – Haut Comité d’étude et d’information sur l’alcoolisme, La Documentation française, 2e édition 1981
  39. Le coût des maladies cardio-vasculaires, CERAS-ENPC, Institut des Sciences de la Santé 1981 et Édition Ciba, 1982
  40. Quelles vies sauver ? Évaluation de programmes de sauvegarde de la vie humaine appliqués à l’alcoolisme, Premier ministre - Haut Comité d’étude et d’information sur l’alcoolisme, La Documentation française, CERAS, 1982
  41. Incidences socio-économiques des accidents de la route dans le Bulletin de l’Académie nationale de Médecine, 166, n° 6, 1982
  42. La mort a-t-elle un coût social ?, Pour, n°107, 1986
  43. Évaluations économiques des accidents de la route, XXVIe assises de médecine du trafic, 1985
  44. Conséquences économiques des accidents d’enfants dans la circulation, Traffic and Childrens’s Health, The European Society for Social Pediatries, NHV-Report, 1987
  45. Comment réduire les accidents de la route ? Assemblée nationale, 16 05 1991
  46. Les méthodes d’évaluation de la vie humaine. Comparaisons internationales, Conférence sur la recherche sur les transports, 1992
  47. Le prix de la vie humaine. Ses applications dans l’économie moderne, Institut des hautes études de la Sécurité intérieure (IHSI), 1992
  48. Regards sur le volontariat, ministère des Affaires sociales, 1984
  49. Nécessaire volontariat, La Croix, 20 03 1988
  50. Le bénévolat au secours de l’emploi, Les Cahiers du Secours catholique, n° 4, 1994
  51. La communication gouvernementale, Le Courrier du Parlement, 1985
  52. Les Français et la communication politique, Responsables locaux, 1986
  53. 26 janvier 2000, ou la communication du 3e millénaire, Le Courrier du Parlement, 1986
  54. Tocqueville avait raison, Le Monde, 1987
  55. Vive les poinçonneurs du métro, ibid.28 08 1990
  56. La France sauvée ? ibid., Le Quotidien, 11 10 1990
  57. L’économie en quête de morale, La Croix, 1988
  58. L’éthique des affaires, ibid., 14 04 1989
  59. Société de devoir contre société de droit, ibid.18 08 1989
  60. La publicité dérape sur le tabagisme, ibid., 14 04 1990
  61. Les 8 conditions de l’exercice de la responsabilité, Conférence des Grandes Écoles, 24 10 1991
  62. On demande des visionnaires d’entreprise ! L’Observatoire international, 1992
  63. Le syndrome du tourniquet, La Croix, 18 08 1992
  64. L’influence de l’éthique des affaires sur la compétitivité des entreprises, Economica, 1992
  65. La communication des villes. Demain une communication éthique ! EBEN 92, 1992
  66. L’éthique performante, une des priorités de la banque, Challenges, n°15, 1992
  67. Redressons l’image. L’image du tiers-monde dans les médias, Barusud, Commission Coopération Développement, 1992
  68. Fondements naturels de l’éthique, Odile Jacob, 1993
  69. Neuroéthique. Quand la matière s’éveille, Collège de France, Odile Jacob, 2009
  70. Halte au cumul des mandats ! Le Figaro, 8 06 2012
  71. Haro sur les cumulards ! Libération, 17 09 2012
  72. Renvoyons le « 75 » aux Invalides ! Les Échos, 10 01 2013
  73. Éviter la tentation, ou appliquer le concept de probité passive, Les Échos-Le Cercle, 3 05 2013
  74. Vidéo CNETH L’exigence d’une république exemplaire, oct. 2015