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Hôtel de La Moussaye, ancienne maison de La Houblonnière, (Hôtel particulier situé à Rennes, Ille-et-Vilaine) Remanié par l’architecte Lavallois [Pierre Corbineau], dans la première moitié du XVIIème siècle; quand celui-ci entreprit les travaux du Parlement de Bretagne.
Hôtel de La Moussaye, ancienne maison de La Houblonnière, (Hôtel particulier situé à Rennes, Ille-et-Vilaine) Remanié par l’architecte Lavallois [Pierre Corbineau], dans la première moitié du XVIIème siècle; quand celui-ci entreprit les travaux du Parlement de Bretagne.
François-Victor de La Moussaye (1715-1778) Commissaire de l'ordre de la noblesse pour les Etats de Bretagne
François-Victor de La Moussaye (1715-1778) commissaire de l'ordre de la noblesse pour les Etats de Bretagne

Hôtel de La Moussaye, ancienne maison de La Houblonnière, à Rennes, Ille-et-Vilaine[modifier | modifier le code]

  • Hotel de La Moussaye en 1925. Vue intérieur de la cour d'honneur avec son escalier ...
    Hôtel de La Moussaye. cour d'honneur avec un escalier extérieur chêne à balustres tournées donnant maison de côtés accueillent les services (écuries, remises, communs, logements du personnel)

Architecture et Situation[modifier | modifier le code]

Hôtel de La Moussaye, ancienne maison de La Houblonnière, A l'Intérieur cage d'escalier central en chêne à balustres tournées
Hôtel de La Moussaye, ancienne maison de La Houblonnière, A l'Intérieur cage d'escalier central en chêne à balustres tournées
Armoirie de la famille la Moussaye. Honour, Honour à Moussaye
Armoirie de la famille la Moussaye. Honour, Honour à Moussaye

Construit en moellons de schiste masqués par un enduit (chaînage des baies en calcaire) pierre de tuffeau pour les gerbières. les angles de fenêtre pour le premier étage en tuffeau. toiture couvert d´ardoises. Le corps central est flanqué de deux pavillons en saillie présentant une élévation antérieure à 3 travées. A l'Intérieur cage d'escalier central en chêne à balustres tournées; un rez-de-chaussée surélevé avec deux pièces; premier étage deux pièces de réception; au deuxième étage les combles. les volumes des pièces intérieurs sont respecter avec leurs murs de torchis, les plafond de poutres à la française demeurés intacts. cheminées d'intérieur de briques typique de rennes.  Une cour d'honneur avec un escalier extérieur chêne à balustres tournées donnant sur maison de côtés qui accueillent les services (écuries, remises, communs, logements du personnel). Escalier en granite à rampe placée contre la façade de l'édifice principal. Un jardin s´étend à l´arrière, au nord-est.

Remanié par l’architecte Lavallois [Pierre Corbineau], dans la première moitié du XVIIème siècle ; quand celui-ci entreprit les travaux du Parlement de Bretagne. L’Hôtel de la Moussaye est intimement liée au Parlement. Avec des pavillons latéraux saillants, marqués par un désaxement des travées et une grande sobriété du décor limité aux encadrements de baies en tuffeau, la maison de la Houblonnière est représentative de l'architecture de la seconde moitié du 17e siècle à Rennes, marquée par l'influence de la construction du parlement. [Raymond Cornon] attribue la conception à [Pierre Corbineau]. La Houblonnière est à mettre en relation avec le manoir de la Louvière, à Bruz, mais moins riche de construction aussi bien extérieur que intérieur. En 1646 l’architecte Lavallois installe un atelier à Rennes. Lire le travail sur [Pierre Corbineau, par Philippe Bohuon].  "L’architecte des grands chantiers rennais du 17e siècle".

Acte d'achat du 2 novembre 1730, pour 6,000 livres à François de La Moussaye, dit l'indien de la Maison de la Houblonnière, Hôtel de La Moussaye. Près des Capucins et Petite Ursulines, rue Reverdiais (58, rue d'Antrain).
Acte d'achat du 2 novembre 1730, pour 6,000 livres par François de La Moussaye, dit l'indien de la Maison de la Houblonnière, Hôtel de La Moussaye. Près des Capucins et Petite Ursulines, rue Reverdiais (58, rue d'Antrain).. Archives d'Ille et Vilaine: Saint-Melaine Actes notariés Min de Le Loué H 3, H 2 2, pages 667 et suivantes.

Cette maison, située sur l'ancien terroir de la Houblonnière [(rue Lesage)]. Appartenait aux Baulieu en 1552, aux Pallier au XVIIème siècle, et passa par alliance aux Bois de Carcé, qui la vendirent, en 1677 aux Le Faure du Champ-d’Aguet; ceux-ci la revendirent le 2 novembre 1730, pour 6,000 livres à [François de La Moussaye], né en 1669 (François dit «l’indien»), volontaire de la [Marine Royale], puis Colonel commandant, pour le roi de la partie sud de [l’ile de Saint-Domingue], où il fit fortune. François-Victor de La Moussaye dit "le Comte de La Moussaye" (1715-1778), (fils du précédent), chevalier, seigneur du Pontchamp, de Beaulieu, La Chesnaye-Taniot, La Noëtain, La Villéon et de La Sourdière. Officier de la marine royale il quitta jeune le service et fixa sa résidence à Rennes en son hôtel rue Reverdiais (d'Antrain) près [les Capucins] et [les petites Ursulines]. Il fut nommé commissaire de l'ordre de la noblesse pour les [Etats de Bretagne]. Il épousa le 3 mai 1740 [Anne-Jeanne-Gabrielle Le Mintier, dame de La Sourdière] (1718-1762), fille de Pierre-François Le Mintier, seigneur [des Granges] et de Radegonde-Thérèse de Boisgelin de La Sourdière.

Cahier du patrimoine. «Rennes mémoire et continuité d’une ville, par Isabelle Barbedor, Docteur en histoire de l'art, chercheur au service régional de l'inventaire général de Bretagne» La maison de la Houblonnière, devenue Hôtel de la Moussaye, montre l'implantation possible du modèle du [Parlement] dans un contexte périurbain, comme le [château de Maurepas] (détruit) ou encore certains manoirs de la couronne de Rennes. Edition 2004, "Cahier du patrimoine 69" : Page 176

Hôtel de la Moussaye, remanié dans la première moitié du XVIIème siècle par l’architecte Lavallois [Pierre Corbineau], Sa cour d'honneur avec l'escalier en granite à rampe placée contre la façade de l'édifice principal. Photo de 1935.
Hôtel de la Moussaye, remanié dans la première moitié du XVIIème siècle par l’architecte Lavallois [Pierre Corbineau], Sa cour d'honneur avec l'escalier en granite à rampe placée contre la façade de l'édifice principal. Photo de 1935.


plafond de poutres à la française demeurés intacts. cheminées d'intérieur de briques typique de rennes
Plafond de poutres à la française demeurés intacts. cheminées d'intérieur de briques typique de rennes

Histoire

Hôtel de la Moussaye. François de La Moussaye, dit l'Indien, commandant pour le [Roi Louis XIV], la partie sur de [Saint-Domingue]. François n'avait eu, comme cadet d'une branche cadette, qu'un très modique patrimoine; mais la nature l'avait doué d'un esprit actif et intelligent, d'une intrépidité rare, et ces qualités ne restèrent pas stériles. Revenu en France vers 1714, après avoir vendu ses biens de Saint-Domingue, il acquit la seigneurie de [la Chesnaye-Tanio] en Matignon, et l'hôtel de la Moussaye rue Reverdiais (58, rue d'Antrain) à Rennes, le 2 novembre 1730, pour 6,000 livres.

Gerbières ou lucarnes en pierre de tuffeau, par l’architecte Lavallois Pierre Corbineau, de la première moitié du XVIIème siècle
Gerbières ou lucarnes en pierre de tuffeau, de la première moitié du XVIIème siècle, par l’architecte Lavallois Pierre Corbineau.
Les portes Intérieures et extérieur ...
Les portes Intérieures - extérieur 
Dessin d'une Gerbières ou lucarnes en pierre de tuffeau, de la première moitié du XVIIème siècle, par l’architecte Lavallois Pierre Corbineau.
Dessin d'une Gerbière ou lucarne en pierre de tuffeau, de la première moitié du XVIIème siècle, par l’architecte Lavallois Pierre Corbineau.


Affaires de Bretagne de 1766 et 1771  «Procès du Duc d’Aiguillon et [Louis-René Caradeuc de La Chalotais[modifier | modifier le code]

l’Hôtel de la Moussaye fut l’un des lieux de rencontre des opposants au Duc ["La Chalotais ami des philosophes, de Voltaire], incarne la défense des libertés bretonnes contre les impôts prélevés par l’État royal au mépris des privilèges de la province et aux tentatives centralisatrices ou absolutistes personnifiées par le Duc d’Aiguillon, commandant de la province qui s'oppose au Parlement".

Depuis que M. [Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis Duc d'Aiguillon] a commandé dans la province de Bretagne, il s'est fait différens changement d'administration, différentes nouveautés, sur-tout dans la ville de Rennes, où la communauté de ville a été érigée en Bureau servant, depuis laquelle èrection elle s'est endettée considérablement ; que d'ailleurs auparavant la communauté nommait aux places de Procureur du Roi Syndic & de Procureur du Roi de Police; mais que depuis la création du Bureau servant, ces places avaient été remplies par des Officiers nommés par le Roi ; que même le sieur le Minihy Procureur en la Cour & Procureur de M. le [Duc d'Aiguillon], avait été d'abord nommé pour faire les fonctions dans les deux qualités de Procureur du Roi Syndic de la ville & de Procureur du Roi de Police; mais que M. le Premier Président ayant été instruit de l'ordre du Roi déclara dans le tems, que cela n'était pas possible; que sa Majesté n'était pas instruite ; qu'il été ainsi dire, impossible qu'un seul homme pût suffire à remplir ces deux fonctions, que le [Parlement de Bretagne] ne pouvait le souffrir, parce que la place de Procureur du Roi de Police ne pouvait être  exercée gré du Parlement, si la même personne remplissait les deux places : que c'est d'après cela que le sieur le Minhy resta Procureur du Roi de Police ajoute le déposant que la dernière  tenue des Etats, où commandait M. le Duc d'Aiguillon, il y eut un trouble extraordinaire, par rapport à la signature d'un acte appellé l'acte des Quatre-vingt trois, parce qu'il fut signé par quatre-vingt-trois Gentilshommes. Que suivant la notoriété publique, cet acte est absolument illégal & frauduleux, en ce qu'il avait été rédigé & signé la nuit chez le Président de la Noblesse, où  l'on avait recueilli  les signatures de la plupart à fur & à mesure qu'ils  y été mandés. " Que le sieur de la Moussaye, demeurant près le Couvent des petites Ursulines à Rennes a dit au déposant il y a quelque tems, que le jour de cet acte des Quatre-vingt-trois, il y avait plusieurs Gentilshommes chez lui, auxquels il comptait donner à souper; que vers les neuf heures du soir, tems auquel ils se proposaient de se mettre à table, des pages de M. le Duc d'Aiguillon vinrent demander deux ou trois de ces Messieurs de la part dudit sieur Duc; qu'ils sortirent sur le champ, & se trouvent du nombre de ceux qui ont souscrit cet acte du même jour, lequel n'a d'autre but que de contredire formellement une délibération des Etats du même jour. Ajoute encore que pendant que lui témoin a été du Bureau servant de la ville, qu'il a vu .... des dépens des fournitures considérables, aux dépent de la ville, pour l'hôtel de M. le Duc d'Aiguillon, sans avoir pu vérifier ..... qu'enfin l'espionnage a été fort commun à Rennes depuis la démission des Magistrats ; qu'il était sur-tout notoire que les habitans de l'[hôtel de Caradeuc] étaient espionnés depuis le matin au soir, & que Madame de Caradeuc était suivie par-tout où elle allait.  Voir M. le Duc d'Aiguillon .... en établissant des espions dans tous les quartiers de la ville de Rennes, & sur-tout aux portes de Messieurs les Magistrats .... en faisant faire des descentes & des fouilles militaires chez différents particuliers, Mes. Guillard & Etasse Avocats au [Parlement de Bretagne], le sieur [Paul Vatar Imprimeur], & le Prieur des Dominicains de la ville de Rennes... en forçant plusieurs Gentilshommes de la Province à protester contre des Délibérations des Etats; que le sieur de la Moussaye, demeurant près [des Capucins] et des [petites Ursulines] à Rennes, a dit au déposant qu'on avait envoyé chercher chez lui de la part de M. le Duc d'Aiguillon, deux Gentilshommes qui étaient à souper chez lui, pour leur faire signer ces protestations. Ajoute le déposant que ces différens exils, emprisonnements, fouilles militaires, avaient tellement jetté la consternation dans la [ville de Rennes], que personne ne s'y croyait en sureté & ne s'y tenait tranquille si l'on en excepte les personnes qui avaient la confiance de M. le Duc d'Aiguillon, é qui étaient connues à Rennes pour les ennemis des Magistrats & du bien public : qui est-tout ce qu'il a dit çavoir.

[ extrait [Procédures faites en Bretagne, et devant la Cour des Pairs en 1770]; avec des observations Affaires de Bretagne Duc d’Aiguillon et La Chalotais.. S .L (sans lieu) 1770. (p.325 et 326) ]


Histoire d'avant à Saint Domingue....... La descendance métissée d'un aristocrate breton, François de La Moussaye.

Commandant pour le [roi Louis XIV], la partie sur de Saint-Domingue. François n'avait eu, comme cadet d'une branche cadette, qu'un très modique patrimoine ; mais la nature l'avait doué d'un esprit actif et intelligent, d'une intrépidité rare, et ces qualités ne restèrent pas stériles. Revenu en France vers 1714, après avoir vendu ses biens de Saint-Domingue, il acquit la seigneurie de [la Chesnaye-Tanio] en Matignon, et l'hôtel de la Moussaye rue Reverdiais (58, rue d'Antrain) à Rennes.

Hotel de La Moussaye, dit l'Indien, près des petites Ursulines et des des Capucins - Rue Reverdiais
Hotel de La Moussaye, dit l'Indien, près des petites Ursulines et des Capucins - Rue Reverdiais (58, rue d'Antrain)

[Voici l'histoire d'un aristocrate breton] qui va oublier sa descendance créole à [Saint Domingue]. François de la Moussaye, dit l'Indien, IIe du nom, seigneur de la Chesnaye,.Par Catherine Roucairol (mars 2021) ghcaraibe.org


L'Hôtel qui fut le logement pour un grand nombre de parlementaires et députés aux Etats[modifier | modifier le code]
Derniers Etats de Bretagne à Rennes, réguliers de 1786-1787, la noblesse comptait 733 députés, le clergé 32, et le Tiers Etat 52].
Derniers Etats de Bretagne à Rennes, réguliers de 1786-1787, la noblesse comptait 733 députés, le clergé 32, et le Tiers Etat 52].

: En 1766, 1776, 1782, 1784 et 1786 Liste de nosseigneurs les [États de Bretagne], la liste donne les lieux et adresses des personnes présentes aux Etats de Bretagne. A Rennes chez Nicolas-Paul Vatar, Imprimeur de nosseigneurs les Etats de Bretagne.

Annuaire des adresses de logements des Parlementaires pendant les Etats. Liste de nosseigneurs les États de Bretagne, la liste donne les lieux et adresses des personnes présentes aux Etats de Bretagne.
Annuaire des adresses de logements des Parlementaires pendant les Etats. Liste de nosseigneurs les États de Bretagne, la liste donne les lieux et adresses des personnes présentes aux Etats de Bretagne.


Les [Etats de Bretagne], dont le maintien avait été formellement stipulé dans le pacte d'union de la province à la France comprennent des représentants des 3 classes qui composent alors l'ordre social le clergé, la noblesse et le tiers-état Note: Aux [derniers Etats réguliers de 1786-1787], la noblesse comptait 733 députés, le clergé 32, et le Tiers Etat 52.

: Messieurs de La Guerrande de la Villecoleu. Guy-André[Bernard de Courville, major de la capitainerie de Plancoët] et Louis-Guy Bernard de Courville (1746-1798), fils officier au bataillon de Rhedon, il signa en 1788 la protestation de la noblesse de Bretagne contre la convocation des États généraux. De la Grandville Cherdel, Maire & Député de [Moncontour de Bretagne]. Joseph-Etienne Daubert de Langron. François-Victor de La Moussaye (1715-1778) commissaire de l'ordre de la noblesse pour les Etats de Bretagne, en son hôtel, Reverdiais (58, rue d'Antrain) à Rennes. De la villecoleu de la Guérrande, père. Victor-François-Gervais de La Moussaye (1752-1819), en 1788 il fut l'un des 12 députés que la noblesse des Etats de Bretagne envoya à Versailles à la cour du roi Louis XVI, fils de François Victor et Anne Jeanne Gabrielle Le Mintier, [des Granges]. Philippe de Geslin, Gervais seigneur de Tremargat, président aux requêtes du Parlement de Rennes et Louis-Anne (1742-1795) Geslin, Comte de Trémargat. Capitaine de vaisseau, nommé «Jambe de bois», [Président l'ordre de Ia Noblesse aux Etats de 1784], mort à Londres en 1795. [Maurice Gervais Geslin de Trémargat] (1740-1819), un des chefs de la résistance de la noblesse aux réclamations du thiers aux Etats de 1788. Le gouvernement fait arrêter et mettre à la Bastille le 14 juillet 1788, [douze gentilshommes venus protester devant le Roi du sort réservé à la Bretagne]. De récents édits royaux restreignent en effet le pouvoir des parlements. Les embastillés sont libérés le 25 août 1788 et rentrent en Bretagne. Maurice Gervais Geslin de Trémargat, faisait partie des [embastillés]. [protestation de l'Ordre de la noblesse du 10 janvier 1789, pour la suspension des Etats].

Etats de Bretagne. Convocation à Rennes pour les assises des Etats Généraux et Ordinaire du pays de Bretagne de 1782.
[Etats de Bretagne]. Convocation à Rennes pour les assises des Etats Généraux et Ordinaire du pays de Bretagne de 1782.


Notes et Références[modifier | modifier le code]

[1][La descendance métissée de Saint Domingue d'un aristocrate breton], François de LA MOUSSAYE Catherine Roucairol (mars 2021) ghcaraibe.org

[2][Patrimoine d'intérêt local. Recensement des éléments]. Classification réalisée avec l'inventaire général à partir des études de morphologie urbaine et du pré-inventaire de la D.R.A.C. Ville de Rennes - Direction de l'Aménagement et de l'Urbanisme P.L.U. approuvé le 17 mai 2004. Rennes Métropole - Service Etudes Urbaines modifié le 14 mai 2007.

[3][Archives d’Ille et Vilaine], dép. Saint-Melaine « Actes notariés Min de Le Loué, H, 2, p 667 et suivantes

[4][Pierre Corbineau.  "L’architecte des grands chantiers rennais du 17e siècle"], par Philippe Bohuon, adjoint à l’animateur du patrimoine de l’Office du tourisme de Rennes. Publiée par la Société d’archéologie et d’histoire et de la Mayenne (SAHM) en 2014.

[5][Inventaire général des affaires culturelles de Bretagne patrimoine: Le faubourg d'Antrain] se caractérise par une structure linéaire fortement marquée. Sa situation privilégiée, sur les hauteurs de l'Ille, stimule la construction de plusieurs maisons de plaisance, aux 17e et 18e siècles, dont plusieurs subsistent aujourd'hui, notamment l'ancienne maison de la Houblonnière

[6][Maison de la Houblonnière, puis hôtel de la Moussaye] 58 rue d'Antrain (Rennes) l'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne. patrimoine bzh/gertrude-diffusion/dossier

[7][Ancienne ruelle de la Moussaye], actuellement rue Lesage (Rennes)

[8][Richesse monumentale de Rennes] - Musée de Rennes Exposition Juillet et octobre 1965. Publications


Publications et bibliographies

[9][Procédures faites en Bretagne, et devant la Cour des Pairs en 1770]; avec des observations (Affaires de Bretagne Duc d’Aiguillon et La Chalotais.). S .L (sans lieu) 1770. (p.325 et 326)

[10][Liste de nos seigneurs les Etats de Bretagne, tenant à Rennes 1766, 1776 et 1786]. A Rennes chez Nicolas-Paul Vatar, Imprimeur de nos seigneurs les Etats de Bretagne.

[11][Cornon, Raymond. Les hôtels de Rennes au XVIIe siècle. In Bulletin des Amis du Musée de Rennes], n°3, printemps 1979. p 15

[12][Les ateliers de retabliers Lavallois aux XVIIe et XVIIIe siècles. Etude historique et artistique. Jacques Salbert]. Ouvrage honoré d'une subvention du C.N.R.S. 1976. Librairie C. Klincksieck. Paris. Pages : 257, 258, 259, 260, 261, 275, 279, 280, 337, 402,403

[13][Arts de L’Ouest. «Etudes et document. Rennes autour du Palais de 1640 à 1670»] Université de Haute-Bretagne 1980. (p.81-82)

[14][Paul Banéat. [Le vieux Rennes]. Rennes chez Plihon et Hommay en 1904. 584 pages. voir la page 43 - Consultable sur la bibliothèque numérique de l'Université Rennes 2 [archive]

[15][Lucien Decombre. «Les rues de Rennes»]. 1892.

[16][Daniel Derveaux. «Les vieux logis de Rennes»]. 1946.

[17][Cahier du patrimoine. «Rennes mémoire et continuité d’une ville, par Isabelle Barbedor»]. En 1997, une convention quinquennale a été signée entre la Ville de Rennes et l'Inventaire général pour la conduite d'une étude du territoire de la commune de Rennes. Cette étude avait pour objectif de désigner le patrimoine architectural d'intérêt local susceptible de faire l'objet de protections spécifiques dans le cadre de la révision du Plan d'occupation du sol (hors secteur sauvegardé). Page 176: La maison de la Houblonnière, devenue Hôtel de la Moussaye, montre l'implantation possible du modèle du Parlement dans un contexte périurbain, comme le [château de Maurepas] (détruit) ou encore certains manoirs de la couronne de Rennes. Edition 2004, "Cahier du patrimoine 69" 229 pages

[18][Inventaire général des affaires culturelles de Bretagne (DRAC). Edition du patrimoine 2004].

[19][Les demeures de Parlementaires de l'ancien régime Tome 1 "Au pays de Moncontour"] s.d (2008) Annexe II "les Granges (Hénon) Famille Geslin de Témargat" Hôtel de La Moussaye rue d'Antrain à Rennes.

[20][Musée de Bretagne et de l'écomusée du pays de Rennes "Rennes maison de la Houblonnière Négatif sur film Numéro d'inventaire]: 982.0008.4121. "Maison de la Houblonnière, puis hôtel de la Moussaye". Raphaël Louis Félix Binet (18 mars 1880 - 26 septembre 1961) Photographe ; 20e siècle; Rennes.

Notes et références - Publications et bibliographies

  1. Catherine Roucairol Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines, « La descendance métissLa descendance métissée d'un aristocrate breton, François de LA MOUSSAYE » Accès libre,
  2. MORPHOLOGIE URBAINE ET DU PRE-INVENTAIRE DE LA D.R.A.C, « Patrimoine d`intérêt local - Recensement des éléments (PBIL) » Accès libre ["pdf"],
  3. Archives d'Ille et Vilaine, « dép. Saint-Melaine « Actes notariés Min de Le Loué, H, 2, p 667 et suivantes », sur Archives d'Ille et Vilaine,
  4. Philippe Bohuon, adjoint à l’animateur du patrimoine de l’Office du tourisme de Rennes. Publiée par la Société d’archéologie et d’histoire et de la Mayenne (SAHM) en 2014., « Pierre Corbineau. "L’architecte des grands chantiers rennais du 17e siècle" » ["pdf"],
  5. L'inventaire du patrimoine culturel de Bretagne, « Ancien faubourg d'Antrain (Rennes) se caractérise par une structure linéaire fortement marquée. Sa situation privilégiée, sur les hauteurs de l'Ille, stimule la construction de plusieurs maisons de plaisance, aux 17e et 18e siècles, dont plusieurs subsistent aujourd'hui, notamment l'ancienne maison de la Houblonnière »,
  6. L'inventaire du patrimoine culturel de Bretagne, « Maison de la Houblonnière, puis hôtel de la Moussaye, 58 rue d'Antrain (Rennes) »,
  7. L'inventaire du patrimoine culturel de Bretagne. Isabelle Barbedor, « Ancienne ruelle de la Moussaye, actuellement rue Lesage (Rennes) » Accès libre,
  8. Musée de Rennes, « [Richesse monumentale de Rennes] - Musée de Rennes Exposition Juillet et octobre 1965. » ["pdf"],
  9. Procédures faites en Bretagne, et devant la Cour des Pairs en 1770, Procédures faites en Bretagne, et devant la Cour des Pairs en 1770; avec des observations (Affaires de Bretagne Duc d’Aiguillon et La Chalotais.). S .L (sans lieu) 1770., Paris - S.N., S.N, , 682 p. (lire en ligne), (p.325 et 326)
  10. Annuaire adresses et lieux des parlementaires, Liste de nos seigneurs les Etats de Bretagne, tenant à Rennes 1766, 1776 et 1786., A Rennes chez Nicolas-Paul Vatar, Imprimeur de nos seigneurs les Etats de Bretagne., Rennes chez Nicolas-Paul Vatar, Imprimeur de nos seigneurs les Etats de Bretagne., 1766, 1776 et 1786.
  11. Cornon, Raymond. Architecte des monuments historiques, Les hôtels de Rennes au XVIIe siècle. In Bulletin des Amis du Musée de Rennes, n°3, printemps 1979. p 15, Rennes, Bulletin des Amis du Musée de Rennes, , 115 p., page 15
  12. Jacques Salbert., Les ateliers de retabliers Lavallois aux XVIIe et XVIIIe siècles. Etude historique et artistique. Ouvrage honoré d'une subvention du C.N.R.S., Paris, Librairie C. Klincksieck. Paris., , 480 p., p. 257, 258, 259, 260, 261, 275, 279, 280, 337, 402,403
  13. Arts de L’Ouest. Université de Haute-Bretagne, «Etudes et document. Rennes autour du Palais de 1640 à 1670», Rennes, Université de Haute-Bretagne, , 285 p., pages 81-82
  14. Paul Banéat, Le vieux Rennes, Rennes, Plihon et Hommay, , 584 p. (lire en ligne), page 43 - Consultable sur la bibliothèque numérique de l'Université Rennes 2 [archive]
  15. Lucien Decombre, Les rues de Rennes, Rennes, La Découvrance, 1892., 251 p., p. 71
  16. Daniel Derveaux, Les vieux logis de Rennes, Rennes, Editions Daniel Derveaux, , 315 p., p. 68
  17. Cahier du patrimoine. Rennes mémoire et continuité d’une ville». 2004 par Isabelle Barbedor, Cahier du patrimoine. «Rennes mémoire et continuité d’une ville». En 1997, une convention quinquennale a été signée entre la Ville de Rennes et l'Inventaire général pour la conduite d'une étude du territoire de la commune de Rennes. Cette étude avait pour objectif de désigner le patrimoine architectural d'intérêt local susceptible de faire l'objet de protections spécifiques dans le cadre de la révision du Plan d'occupation du sol (hors secteur sauvegardé). page 176 : La maison de la Houblonnière, devenue Hôtel de la Moussaye, montre l'implantation possible du modèle du Parlement dans un contexte périurbain, comme le château de Maurepas (détruit) ou encore certains manoirs de la couronne de Rennes., Rennes, Editeur Monum Patrimoine Eds Dupatrimoine "Cahier du patrimoine 69", , 229 p., page 176
  18. Inventaire général des affaires culturelles de Bretagne (DRAC). Edition du patrimoine 2004., « Inventaire général des affaires culturelles de Bretagne (DRAC). Edition du patrimoine 2004. » ["pdf"], sur Inventaire général des affaires culturelles de Bretagne (DRAC). Edition du patrimoine 2004.,
  19. Cahier Les demeures de Parlementaires de l'ancien régime, Les demeures de Parlementaires de l'ancien régime Tome 1 "Au pays de Moncontour" s.d (2008) Annexe II "les Granges (Hénon) Famille Geslin de Témargat" Hôtel de La Moussaye rue d'Antrain à Rennes., S. L., contes d'auteur, , 128 p., p. 25
  20. Musée de Bretagne et de l'écomusée du pays de Rennes, Musée de Bretagne et de l'écomusée du pays de Rennes "Rennes maison de la Houblonnière Négatif sur film Numéro d'inventaire : 982.0008.4121. "Maison de la Houblonnière, puis hôtel de la Moussaye". Raphaël Louis Félix Binet (18 mars 1880 - 26 septembre 1961) Photographe ; 20e siècle; Rennes., Rennes, Musée de Bretagne et de l'écomusée du pays de Rennes,