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Théorie développementale des systèmes dynamiques (psychologie)

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La théorie des systèmes de développement (TSD) est une étude du développement biologique, de l'hérédité et de l'évolution.[1] Elle met l'accend sur les contributions croisées des genes; de l'environnement et de facteurs épigénétiques aux processus de développement. Contrairement aux théories conventionnelles, la TSP n'est pas utilisée pour faire des prédictions qui seront testées avec des résultats expérimentaux. Elle est vue comme un regroupement de modèles de développement et d'évolution à la fois philosophiques, psychologiques et scientifiques. Globalement, ces modèles critiquent les pensées évolutionaires modernes qui examinent les structures vivantes en se reposant sur le rôle des gênes et de la sélection naturelle. La théorie des systèmes de développement regroupe un panel de postures qui élargit les interprétations biologiques du développement des organismes et prétend erronée la théorie de l'évolution moderne sur la nature des processus du vivant.

Aperçu[modifier | modifier le code]

Toutes les versions de la théorie des systèmes de développement s'accordent à dire que:

  • Tous les processus biologiques (incluant à la fois l'évolution et le développement) opérent en assemblant continuellement de nouvelles structures.
  • Ces structures transcendent les structurent dont elles originent et ont leurs propres caractéristiques, information, fonctions et lois.
  • De même, chacune de ces structures est irreductible à n'importe que autre niveau inférieur (ou supérieur) de la structure, et peut être décrite et expliquée uniquement selon ses termes propres.
  • Enfin, les processus majoritaires d'opération du vivant, dont l'évolution, l'hérédité et le développement d'organismes particuliers, ne peuvent être expliqués qu'en incorportant d'avantage de couches de structures et de processus que ne le font les concepts conventionnels de gêne et d'environnement.

En d'autres termes, bien qu'elle ne prétende pas que toutes les structures sont équivalentes, la théorie des systèmes de développement est fondamentalement oposée à quelque reductionisme que ce soit. En bref, la TSD tente de formuler une perspective qui ne présuppose pas la priorité causale (ou ontologique) d'entités particulières, et donc s'en tient à une ouverture en terme d'explication sur tous les fronts empiriques.[2] Par exemple, il y a une résistance farouche à l'hypothèse courante qu'on puisse légitimement parler de genes 'pour' des charactères phénotypiques spécifiques ou que l'adaptation consiste en l'évolution 'façonnant' les espèces plus ou moins passives, plutôt que l'adaptation soit les organismes selectionnant activement, définissant, modellant et souvent créant leur niche.[3]


Théorie des systèmes de développement: Thèmes[modifier | modifier le code]

Six Thèmes de la TSD [1][modifier | modifier le code]

1. Détermination jointe par des causes multiples[modifier | modifier le code]

Le développement est le produit de l'intéraction de multiples sources.

2. Sensibilité au contexte et aléas[modifier | modifier le code]

Le développement dépend de l'état actuel de l'organisme.

3. Hérédité étendue[modifier | modifier le code]

Un organisme hérite des ressources de l'environement en plus de gênes.

4. Développement en tant que processus de construction[modifier | modifier le code]

L'organisme contribue à façonner son environnement, de la façon dont un castor construit un barrage pour élever le niveau d'eau afin de construire sa tanière.

5. Distribution du contôle[modifier | modifier le code]

Selon l'idée que aucune source d'influence unique n'a de contrôle centralisé sur le développement d'un organisme.

6. L'évolution comme construction[modifier | modifier le code]

L'évolution d'un système de développement entier, incluant des écosystèmes entiers dont les organismes sont des parties, pas seulement les modification d'un être ou d'une population en particulier.


Developmental systems theory: Topics[modifier | modifier le code]

Six Themes of DST [1][modifier | modifier le code]

1. Joint Determination by Multiple Causes[modifier | modifier le code]

Development is a product of multiple interacting sources.

2. Context Sensitivity and Contingency[modifier | modifier le code]

Development depends on the current state of the organism.

3. Extended Inheritance[modifier | modifier le code]

An organism inherits resources from the environment in addition to genes.

4. Development as a process of construction[modifier | modifier le code]

The organism helps shape its own environment, such as the way a beaver builds a dam to raise the water level to build a lodge.

5. Distributed Control[modifier | modifier le code]

Idea that no single source of influence has central control over an organism's development.

6. Evolution As Construction[modifier | modifier le code]

The evolution of an entire developmental system, including whole ecosystems of which given organisms are parts, not just the changes of a particular being or population.

Une métaphore informatiqueA computing metaphor[modifier | modifier le code]

Selon une métaphore informatique, les réductionnistes qui s'opposent à la Théorie des systèmes de développement pré-supposent que les facteurs causaux peuvent être répartis entre 'processus' et 'données', comme dans l'architecture informatique d'Harvard. Des données (données d'entrée, ressources, contenus, etc) sont nécessaires pour tous les processus, et doivent souvent d'inscrire dans un certain cadre pour que le dit processus aie un résultat 'normal'. Toutefois, la donnée seule est incapable de créer cette sortie, tandis que le processus peut être 'satisfait' d'un éventail considérable de données alternatives.

La théorie des systèmes de développement, par contraste, suppose que la distinction entre processus et donnée peut au mieux prêter à confusion, au pire être completement fausse. De plus, bien qu'elle puisse aider pour des raisons très pratiques ou théoriques de traiter une structure ici comme processus, là comme donnée, il y a toujours le risque (auquel les réductionnistes succombent par habitude) que cet avantage méthodologique amènera une conclusion onthologique.[4] En réalité, pour les partisants de la TSD, soit toutes les structures sont à la fois des processus et des données, dépendant au contexte, ou bien de façon plus radicale aucune structure n'est ni aucun des deux.

To adopt a computing metaphor, the reductionists whom developmental systems theory opposes assume that causal factors can be divided into ‘processes’ and ‘data’, as in the Harvard computer architecture. Data (inputs, resources, content, and so on) is required by all processes, and must often fall within certain limits if the process in question is to have its ‘normal’ outcome. However, the data alone is helpless to create this outcome, while the process may be ‘satisfied’ with a considerable range of alternative data.

Developmental systems theory, by contrast, assumes that the process/data distinction is at best misleading and at worst completely false, and that while it may be helpful for very specific pragmatic or theoretical reasons to treat a structure now as a process and now as a datum, there is always a risk (to which reductionists routinely succumb) that this methodological convenience will be promoted into an ontological conclusion.[4] In fact, for the proponents of DST, either all structures are both process and data, depending on context, or even more radically, no structure is either.

Fundamental asymmetry L'importance de l'asymétrie[modifier | modifier le code]

Pour les réductionnistes il y a une asymétrie fondamentale entre des facteurs causaux différents, tandis que pour la TSD de telles asymétries ne peuvent être justifiées que par des raisons spécifiques, et ils argumentent que beaucoup des raisons (souvent non dites) pour lesquelles de telles asymétries (souvent exagérées) ont été utilisées sont illégitimes scientifiquement. Ainsi, pour la TSD, beaucoup des distinctions asymétriques et entiérement légitimes courament utilisées par les biologistes (entre, par exemple, les facteur génétiques qui créent du potentiel et les facteurs environnementaux qui sélectionnent les aboutissements, ou les facteurs génétiques de détermination et les facteurs environnementaux de réalisation) acquierent cette légitimité de la clarté conceptuelle et spécificité de leur application, au lieu d'avoir tiré une vérité ontologique profonde et irréductible sur la causalité biologique..[5] Un problème peut être résolut en inversant la direction de causalité qui aurait été identifiée correctement dans un autre. Cette parité de traitement est particulièrement importante pour la comparaison d'explications de l'évolution et du développement d'un unique trait d'un organisme.

For reductionists there is a fundamental asymmetry between different causal factors, whereas for DST such asymmetries can only be justified by specific purposes, and argue that many of the (generally unspoken) purposes to which such (generally exaggerated) asymmetries have been put are scientifically illegitimate. Thus, for developmental systems theory, many of the most widely applied, asymmetric and entirely legitimate distinctions biologists draw (between, say, genetic factors that create potential and environmental factors that select outcomes or genetic factors of determination and environmental factors of realisation) obtain their legitimacy from the conceptual clarity and specificity with which they are applied, not from their having tapped a profound and irreducible ontological truth about biological causation.[5] One problem might be solved by reversing the direction of causation correctly identified in another. This parity of treatment is especially important when comparing the evolutionary and developmental explanations for one and the same character of an organism.

DST approach L'approche de la Théorie des Systèmes de Développement[modifier | modifier le code]

Une conséquence de cette approche est que la TSM prétend que ce qui est hérité de génération en génération est bien plus que simplement des gênes (ou même que d'autres facteurs, comme le zygote fécondé, qui sont parfois concédés). Ainsi, une grande part du cadre conceptuel qui justifie le modèle du 'gêne égoïste' est considérée par la TSD comme non seulement faible, mais fausse. Non seulement des élèments majeurs de l'environnement sont construits et hérités de façon aussi matérielle que n'importe quel gène, mais des modifications actives à l'environnement par l'organisme (par exemple, un terrier de termites ou un barrage de castor) deviennent des facteurs environnementaux majeurs vers lesquels les adaptations futures tenderont. Ainsi, une fois que les termites ont commencé à construire leur nid monumental, c'est le cadre de ceux vivants dans ce même nid auquel les futures générations de termites devront s'adapter.

One upshot of this approach is that developmental systems theory also argues that what is inherited from generation to generation is a good deal more than simply genes (or even the other items, such as the fertilised zygote, that are also sometimes conceded). As a result, much of the conceptual framework that justifies ‘selfish gene’ models is regarded by developmental systems theory as not merely weak but actually false. Not only are major elements of the environment built and inherited as materially as any gene but active modifications to the environment by the organism (for example, a termite mound or a beaver’s dam) demonstrably become major environmental factors to which future adaptation is addressed. Thus, once termites have begun to build their monumental nests, it is the demands of living in those very nests to which future generations of termite must adapt.

Cet héritage peut prendre de nombreuses formes et opérer à des échelles différentes, avec une multiplicité de systèmes d'héritage complétant les gènes. depuis des effets maternels et de position sur l'expression des gènes, l'héritage épigénétique [6], à la construction active et la transmission intergénérationnelle de niches persistantes[3], la théorie des systèmes dynamiques argumente que non seulement l'héritage, mais l'évolution entière peut être comprise uniquement en prenant en compte un panel bien plus large de 'reproducteurs' ou de 'systèmes d'héritage' - génétiques, épigénétiques, de comportement et symboliques [7] - que celui des gènes 'atomiques' et les 'reproducteurs' semblables à des genes du neo-Darwinisme.[8] La TSD considère chaque niveau des structures biologiques comme étant susceptibles d'influencer depuis toutes les tructures qui les entourent, que ce soit par le dessus, le dessous, ou toute autre direction - une proposition qui questionne certaines des affirmation (populaires et professionnelles) les plus centrales et célébrées de la biologie, dont le 'dogme central' de la génétique de Mendel, toute détermination directe du phénotype par le génotype, et la notion que tout aspect de l'activité biologique (ou psychologique, ou tout autre forme supérieure) ou expérience est capable d'une 'explication' directe ou exhaustive, génétique ou évolutionnaire..[9]

This inheritance may take many forms and operate on many scales, with a multiplicity of systems of inheritance complementing the genes. From position and maternal effects on gene expression to epigenetic inheritance [6] to the active construction and intergenerational transmission of enduring niches,[3] development systems theory argues that not only inheritance but evolution as a whole can be understood only by taking into account a far wider range of ‘reproducers’ or ‘inheritance systems’ – genetic, epigenetic, behavioural and symbolic [7] – than neo-Darwinism’s ‘atomic’ genes and gene-like ‘replicators’.[8] DST regards every level of biological structure as susceptible to influence from all the structures by which they are surrounded, be it from above, below, or any other direction – a proposition that throws into question some of (popular and professional) biology’s most central and celebrated claims, not least the ‘central dogma’ of Mendelian genetics, any direct determination of phenotype by genotype, and the very notion that any aspect of biological (or psychological, or any other higher form) activity or experience is capable of direct or exhaustive genetic or evolutionary ‘explanation’.[9]

La théorie des systèmes de développement est radicallement incompatible avec à la fois le néo-Darwinisme et la théorie du traitement de données. Tandis que le néo-Darwinisme définis l'évolution en tant que changements dans la distribution génétique, la possibilité qu'un changement important pour l'évolution puisse surgir et être entretenue sans directement correspondre à des changements dans les fréquences génétiques est une hypothèse élémentaire de la théorie des systèmes de développement, de la même façon que l'"explication" néo-Darwinienne de phénomènes en termes d'aptitude reproductrice est considérée comme étant fondamentalement superficielle. Même l'équation mécanistique répendue de 'genes' avec une séquence ADN spécifique a été remise en question,[10] ainsi que les interprétations analoques de l'évolution et de l'adaptation.[11]

Developmental systems theory is plainly radically incompatible with both neo-Darwinism and information processing theory. Whereas neo-Darwinism defines evolution in terms of changes in gene distribution, the possibility that an evolutionarily significant change may arise and be sustained without any directly corresponding change in gene frequencies is an elementary assumption of developmental systems theory, just as neo-Darwinism’s ‘explanation’ of phenomena in terms of reproductive fitness is regarded as fundamentally shallow. Even the widespread mechanistic equation of ‘gene’ with a specific DNA sequence has been thrown into question,[10] as have the analogous interpretations of evolution and adaptation.[11]

De la même façon, les modèles pleinement génériques, fonctionnels et anti-développementaux proposés par la théorie du traitement de l'information sont mis en défaut par les preuves de la TSD que rien n'est expliqué sans une analyse structurelle et développementale à des niveaux appropriés. Ainsi, ce qui peut être qualifié d''information' dépend coplètements du contenu est du contexte dont cette information est issue, au sein duquel elle est traduite et auquel elle s'applique.[12]

Likewise, the wholly generic, functional and anti-developmental models offered by information processing theory are comprehensively challenged by DST’s evidence that nothing is explained without an explicit structural and developmental analysis on the appropriate levels. As a result, what qualifies as ‘information’ depends wholly on the content and context out of which that information arises, within which it is translated and to which it is applied.[12]

Criticism Critiques[modifier | modifier le code]

Bien que non opposé à la théorie des systèmes de développement, le philosophe Neven Sesardić argumente qu'elle ne prends pas en compte le fait que le rôle entre des niveaux d'intéraction est une question empirique, qui ne peut pas être réglée par des scpéculation à priori. Sesardic observe que, bien que l'émergence du cancer du poumon est un un processus hautement complexe qui implique l'action combinée de multiples facteurs et intéractions, cela ne signifie pas qu'il est irresonnable de supposer que fumer a une conséquence sur le développement du cancer du poumon. Ainsi, bien que même à un certain niveau les processus développementaux sont hautement interactifs, dépendants du contenu et extrêmement complexes, il est incorrect d'en conclure, juste à cause de ce 'désordre', que les principaux effects de l'hérédité et de l'environnement sont peu probables d'être trouvés. Sesardic ajoute que l'idée que changer les effets d'un facteur dépend toujours sur ce qui arrive aux autres facteurs est une affirmation empirique, ainsi que fausse; par exemple, la bactérie Bacillius Thuringiensis produit une protéine qui est toxique aux chenilles. Les genes de cette bactérie ont été placés dans des plantes vulnérables aux chenilles etles insects meurent après avoir mangé la plante, en consommant la proteine toxique. Ainsi les approches développementales doivent être évaluées sur une base de cas par cas et selon Sesardic, la théorie des systèmes développementaux n'offre pas grand chose si elle est seulement posée en termes généraux. [13] La biologiste Linda Gottfredson argumente que, bien qu'il soit vrai que des interactions aient lieu, cela ne signifie pas que tenter d'identifier les contributions génétiques et environnementales, tandis que la théorie des systèmes développementaux tente de déterminer la voie typique du développement humain. Il est ainsi possible d'essayer de déterminer la proportion de variations phénotypiques qui est en correlation avec les variations génétiques, contrairement aux variation environnementales..[14]


while not dismissive of developmental systems theory, argues that its proponents forget that the role between levels of interaction is ultimately an empirical issue, which cannot be settled by a priori speculation; Sesardic observes that while the emergence of lung cancer is a highly complicated process involving the combined action of many factors and interactions, this does not mean that is unreasonable to believe that smoking has an effect on developing lung cancer. Thus while even if at some level developmental processes are highly interactive, context dependent and extremely complex, it is incorrect to conclude that just because of this "messiness" that the main effects of heredity and environment are unlikely to be found. Sesardic argues that the idea that changing the effect of one factor always depends on what is happening in other factors is an empirical claim, as well as a false one; for example, the bacterium Bacillus thuringiensis produces a protein that is toxic to caterpillars. Genes from this bacterium have been placed into plants vulnerable to caterpillars and the insects proceed to die when they eat part of the plant, as they consume the toxic protein. Thus developmental approaches must be assessed on a case by case basis and in Sesardic's view, developmental systems theory does not offer much if only posed in general terms.[13] Biologist Linda Gottfredson argues that while it is true interaction occurs, this does not mean that attempting to identify the genetic and environmental contributions is meaningless. Gottfredson argues that behavioural genetics attempts to determine how much of the variation between humans can be accounted for by genetics, whereas developmental systems theory is attempting to determine the typical course of human development. One can thus try to determine how much phenotype variation correlates to genetic variation, as opposed to environmental variation.[14]

Sesardic a également affirmé que s'il est impossible de déterminer combien un trait est influencé par la génétique, et combien par l'environnement, alors cela voudrait dire qu'il ne peut être pertinent de dire qu'un trait a été causé par l'environement (puisque les genes et l'environnement sont, selon la théorie des systèmes de développement, inséparables). Pourtant cela ne pose pas de problèmes aux partisants du développementalisme de mener des recherches sur les effets environnementaux, ce que Sesardic affirme être incohérent.[15] Barnes et al ont également fourni des critiques similaires, en observant que tandis que le langage est une capacité humaine innée, la langue spécifique que parle un individuest déterminée par son environnement, ainsi il est en principe possible de séparer les effets des genes et de l'environnement.[16] Steven Pinker argumente que si les genes et l'environnement ne pouvaient pas être concrêtement séparés, cela pourrait être critiqué par exemple que les personnes parlant couramment Anglais et Japonais ont une prédisposition génétique à leurs langues maternelles, mais nécessitaient de l'exposition pour l'apprendre. Pinker prétend que bien que cela soit cohérent avec l'idée d'une interaction entre genes et environnements, c'est néanmoins une position absurde, puisque les preuves empiriques montrent que l'ascendance n'a pas d'impact sur la langue qu'une personne peut apprendre, montrant que les effets environnementaux peuvent être séparés des effets génétiques.[17]

Sesardic also argued that if it is impossible to determine how much a trait is influenced by genetics and how much by environment, then this would mean that it cannot be meaningfully said that a trait was caused by environment (since genes and environment are, under developmental systems theory, inseparable), yet those advocating developmentalism do not have an issue with research into environmental effects, which Sesardic argues is inconsistent.[15] Barnes et al made similar criticisms, observing that while language is an innate human capacity, the specific language a person speaks is determined by their environment, thus it is in principle possible to separate the effects of genes and environment.[16] Steven Pinker argued that if genes and environment couldn't actually be separated, it would have to be argued, for example, that the English and Japanese speakers had a genetic predisposition to their native languages but required exposure to learn it all. Pinker argues that while this is consistent with the idea of the interaction of genes and environment, it is nonetheless an absurd position, since empirical evidence shows that ancestry has no effect on the language a person can acquire, showing that environmental effects can be separated from genetic ones.[17]

Related theories Théories connexes[modifier | modifier le code]

Les frontières entre la théorie des systèmes développementaux et d'autres modèles est poreuse. Les principales idées qui y sont liées (avec des textes clés) incluent:

- L'effect Baldwin[18]

- La biologie du développement évolutionnaire

- Le darwinisme neural[19]

- L'épigénétique probabiliste[20]

- Les systèmes de développement rationnel[21]

Developmental systems theory is not a narrowly defined collection of ideas, and the boundaries with neighbouring models are porous. Notable related ideas (with key texts) include:

See also Voir aussi[modifier | modifier le code]

Modèle:Portal

References[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Oyama, Griffiths et Gray 2001
  2. Moss in Oyama, Griffiths et Gray 2001, p. 90
  3. a b et c Lewontin 2000
  4. a et b See, for example, Oyama's discussion of the use and misuse of norms of reaction in Oyama, Griffiths et Gray 2001, p. 179-184.
  5. a et b Oyama in Oyama, Griffiths et Gray 2001, p. 177-184
  6. a et b Jablonka and Lamb 1995.
  7. a et b Jablonka in Oyama, Griffiths et Gray 2001
  8. a et b Dawkins 1976, 1982.
  9. a et b Oyama 1985; Oyama, Griffiths et Gray 2001; Lewontin 2000.
  10. a et b Neumann-Held 1999; Moss in Oyama, Griffiths et Gray 2001, p. 90-91
  11. a et b Levins and Lewontin 1985.
  12. a et b See Oyama 2000 for a detailed critique of information processing theory from a developmental systems perspective)
  13. a et b Sesardic, Neven. Making sense of heritability. Cambridge University Press, 2005, pp.15-16, 73-75
  14. a et b Gottfredson 2009, p. 11-65
  15. a et b Sesardic, Neven. Making sense of heritability. Cambridge University Press, 2005, p.27
  16. a et b Wright, John Paul, J. C. Barnes, Brian B. Boutwell, Joseph A. Schwartz, Eric J. Connolly, Joseph L. Nedelec, and Kevin M. Beaver. "Mathematical proof is not minutiae and irreducible complexity is not a theory: A final response to Burt and Simons and a call to criminologists." Criminology 53 (2015): 113.
  17. a et b Pinker, Steven. "Why nature & nurture won't go away." Daedalus 133, no. 4 (2004): 5-17.
  18. a et b Baldwin 1895
  19. a et b Edelman 1987; Edelman and Tononi 2001
  20. a et b Gilbert Gottlieb, 1971, 2007.
  21. a et b Willis F. Overton, « A New Paradigm for Developmental Science: Relationism and Relational-Developmental Systems », Applied Developmental Science, vol. 17, no 2,‎ , p. 94–107 (DOI 10.1080/10888691.2013.778717)

Bibliography[modifier | modifier le code]

Reprinted as: J. Mark Baldwin, « Psychology », The American Naturalist, vol. 30, no 351,‎ , p. 249–255 (ISSN 0003-0147, DOI 10.1086/276362, JSTOR 2452622)
(en) J. Mark Baldwin, « A New Factor in Evolution », The American Naturalist, vol. 30, no 354,‎ , p. 441–451 (ISSN 0003-0147, DOI 10.1086/276408, JSTOR 2453130, lire en ligne)
J. Mark Baldwin, « A New Factor in Evolution (Continued) », The American Naturalist, vol. 30, no 355,‎ , p. 536–553 (ISSN 0003-0147, DOI 10.1086/276428, JSTOR 2453231)
(en) J. Mark Baldwin, Development and Evolution, New York : Macmillan, (lire en ligne)
  • Dawkins, R. (1976). The Selfish Gene. New York: Oxford University Press.
  • Dawkins, R. (1982). The Extended Phenotype. Oxford: Oxford University Press.
  • Edelman, G.M. (1987). Neural Darwinism: Theory of Neuronal Group Selection. New York: Basic Books.
  • Edelman, G.M. and Tononi, G. (2001). Consciousness. How Mind Becomes Imagination. London: Penguin.
  • Goodwin, B.C. (1995). How the Leopard Changed its Spots. London: Orion.
  • Goodwin, B.C. and Saunders, P. (1992). Theoretical Biology. Epigenetic and Evolutionary Order from Complex Systems. Baltimore: Johns Hopkins University Press.
  • Jablonka, E., and Lamb, M.J. (1995). Epigenetic Inheritance and Evolution. The Lamarckian Dimension. London: Oxford University Press.
  • Kauffman, S.A. (1993). The Origins of Order: Self-Organization and Selection in Evolution. Oxford: Oxford University Press.
  • Levins, R. and Lewontin, R. (1985). The Dialectical Biologist. London: Harvard University Press.
  • (en) Richard C. Lewontin, The Triple Helix: Gene, Organism, and Environment, Harvard University Press, (ISBN 0-674-00159-1)
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  • Waddington, C.H. (1957). The Strategy of the Genes. London: Allen and Unwin.

Further reading[modifier | modifier le code]

  • Depew, D.J. and Weber, B.H. (1995). Darwinism Evolving. System Dynamics and the Genealogy of Natural Selection. Cambridge, Massachusetts: MIT Press.
  • Eigen, M. (1992). Steps Towards Life. Oxford: Oxford University Press.
  • Gray, R.D. (2000). Selfish genes or developmental systems? In Singh, R.S., Krimbas, C.B., Paul, D.B., and Beatty, J. (2000). Thinking about Evolution: Historical, Philosophical, and Political Perspectives. Cambridge University Press: Cambridge. (184-207).
  • Koestler, A., and Smythies, J.R. (1969). Beyond Reductionism. London: Hutchinson.
  • Lehrman, D.S. (1953). A critique of Konrad Lorenz’s theory of instinctive behaviour. Quarterly Review of Biology 28: 337-363.
  • Thelen, E. and Smith, L.B. (1994). A Dynamic Systems Approach to the Development of Cognition and Action. Cambridge, Massachusetts: MIT Press.

External links[modifier | modifier le code]