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Utilisateur:Frédérique Bonhoure/Brouillon

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Eugène Reess est un architecte français né le 11 mars 1878 à Besançon et décédé le 8 février 1946 à Montbéliard.

Il est issu d'une famille de Montbéliard. Son père est Charles Reess (1833-1916), ingénieur aux chemins de fer des Batignolles et sa mère Angiola de Castiglioni (1843-1878), d'origine italienne.

Il fait ses études à l'Ecole spéciale d'Architecture de Paris, dont il sort diplômé en 1897.

Atteint dès 1935 de la maladie de Parkinson, Eugène Reess meurt chez lui, dans sa maison du Bannot, 1 rue Guynemer, à Montbéliard, en 1946. Il n'a pas eu d'enfants

Réalisations

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Liste non exhaustive des réalisation de Reess[1].

Immeuble Brunschwig, 1909[2]

École primaire, écoles, foyer municipal, immeubles, 1913, 1934

Ensemble industriel Japy

Maison et salle des fêtes , 1910

École [1]

Montbéliard

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Immeubles inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel :

10, 12 rue Cuvier

68 rue Cuvier 1930

31 place Saint-Martin Maison du Docteur Tuefferd modifiée en 1909

21 place Saint-Martin Maison agrandie en 1922 pour devenir le siège de la Banque de France

14, 16 rue de la Sous-Préfecture Maison dont l'intérieur a été modifié entre 1931 et 1936

2 rue du Puits Ecole maternelle Saint-Georges, 1907

rue de Velotte, 27 bis place Albert Thomas modifications en 1907,

1 rue de Velotte, 27 rue Cuvier1908

Piscine, établissement de bains [2]

Chapelle des Menonnites [3], 1930

Mont-de-Laval

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Réservoir hydraulique

Poste [4]

Sainte Marie

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Cimetière

Séloncourt

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Aménagement d'un logement dans l'usine d'horlogerie Boname-Beaudroit, 1910

Cimetière

Égout

École

Maison

Valentigney

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Cercle Peugeot frères dit Cercle de Beaulieu, 1912

Réservoir hydraulique

Maison

Villers-le-lac

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Douane des Pargots, 1930

Département du Jura

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Sanatorium

Cité ouvrières

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Cité jardin de la Citadelle à Montbéliard. Eugène Reess. 1930

L'identité architecturale du pays de Montbéliard sera profondément marquée par les nombreuses cités ouvrières qu'Eugène Reess y a construites, accompagnant ainsi l'essor économique de cette région[3].

Cité ouvrière Japy dite Cité n. 4, 1927

Cité ouvrière Japy dite cité du Mont-Bart, rue du Mont-Bart, 1920

Fesches-le-Châtel

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Cité ouvrière Japy dite Cité du champ de l’œil, rue des Voironnes

Montbéliard

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Cité jardin de la Citadelle et ici [5] 

Cité ouvrière Peugeot dite Cité du Congo

Voujeaucourt

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Cité ouvrière Japy, 1 à 16 rue des Cités, 1924

Distinctions

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Membre de la Commission d'Architecture du Département du Doubs

Membre de la Société des Architectes du Doubs

Conseiller municipal de Montbéliard

Officier d'Académie, 8 avril 1911

Croix de guerre, 1919

Chevalier de la Légion d'honneur

Président de la Société des Officiers de réserve du Pays de Montbéliard

Notes et références

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Travaux d'architecture, 1904-1934. Eugène Reess, Jean Portet, Montbéliard, Jura, Doubs – Société française d'édition d'art. Strasbourg 1935

Dossier « des cités et des hommes » réalisé par l'agence d'urbanisme et de développement du pays de Montbéliard

Fonds Eugène Reess, archives municipales de Montbéliard

Base de données du patrimoine français http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr



  1. Eugène Reess - Jean Portet, Travaux d'architecture 1904-1934 (Montbéliard, Jura, Doubs), Société française d'édition d'art - Strasbourg, , 16 pages
  2. « Le Béton armé », Mensuel, no 161,‎ , p. 158 (lire en ligne)
  3. Agence d'urbanisme et de développement du pays de Montbéliard, Des Cités et des hommes,