Conseils utiles à la personne qui appose le bandeau
1.
Préciser le motif de la pose du bandeau.
Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=octobre 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}}
ou
Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable)
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=octobre 2024|motif=pdd}}
2.
Informer les utilisateurs concernés.
Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion :
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Evadé d’un camp de STO, Francis RAPP rejoint au printemps 1943 à Lyon l'équipe de Daniel Cordier : Laure Diebold, Suzanne Olivier, Joseph Van Dievort, Laurent Girard, Hugues Limonti, Georges Archimbaud et Hélène Vernay.
Dénoncé à Lyon pour ses activités d’agent de liaison, il rejoint la majorité de cette équipe montée à Paris afin d'installer en Zone occupée la délégation générale de Jean Moulin.
Le 23 septembre 1943, Francis Rapp est arrêté à Paris, par le Sipo-SD, avec Georges Archimbaud et Laurent Girard.
Torturé et emprisonné à Fresnes, Francis Rapp est déporté en Allemagne par le convoi parti de Compiègne le 22janvier1944. Il est détenu au camp de Buchenwald puis au camp de travail SS Dora, appelé « le tunnel de l’Enfer ». Il devra subir une longue marche de la mort sous la contrainte des nazis qui fuyaient l’avancée des alliés. Libéré par les Américains le 5 avril 1945, il est rapatrié en mai1945. Il sera décoré de la médaille de la Résistance avec rosette et de la Croix de Guerre.
Francis Rapp est décédé le 4 septembre 1974 à Saint Romain Le Puy (42).
Bibliographie
· Daniel Cordier, alias Caracalla, Paris, Gallimard, 2009