Utilisateur:Alexandre GEORGES/Brouillon

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La Théorie X[modifier | modifier le code]

La Théorie X est une théorie unificatrice de la Physique. Elle est l'œuvre du professeur Alexandre GEORGES, qui l'aura finalisée, en 2013, après trois années de travaux de recherches.

Le principe de l'unification de la Physique est de coupler, d'une part, les lois de la Relativité Générale d'Albert Einstein et, d'autre part, les lois de la Mécanique Quantique.

Le problème, de manière simplifiée, est que ces deux théories, qu'il faut unifier, projettent deux visions de l'Univers opposées. La Relativité décrit l'infiniment grand, un Cosmos calme, d'interactions continues, un Univers déterministe, où le hasard n'a pas sa place. Albert Einstein disait lui-même : « Dieu ne joue pas aux dés ». C'est une théorie de la gravité. La Mécanique Quantique, elle, décrit l'infiniment petit, un monde tumultueux, aux interactions discontinues, où le hasard domine et passe même pour une propriété intrinsèque aux corpuscules et aux interactions. Les interactions qui en sont issues sont la force électromagnétique, la force forte (assurant la cohésion nucléaire), et la force faible (induisant la désintégration nucléaire). Nombre de physiciens théoriciens ont tenté, seuls ou en équipe, de trouver quelle force engendrerait ces quatre interactions : La Force Fondamentale. Beaucoup ont fait primer la Mécanique Quantique. Pourtant, ces derniers se sont heurtés à des problèmes de taille, en expliquant la gravité avec des notions quantiques, en émettant le postulat du graviton, le boson hypothétique de la force gravitationnelle (car en physique quantique, toute force agit via un boson, un « messager »), ce qui, après des décennies de travail, les a dirigés vers des théories telles que la théorie des cordes ou la gravité quantique à boucles. La Théorie X, elle, est déterministe et tend à expliquer les interactions de la Mécanique Quantique par des notions relativistes.

Dans un premier temps, le modèle définit la gravitation comme la Force Fondamentale, qui ferait alors interagir des particules élémentaires, les Particules X. Ces dernières seraient des quanta d'énergie (quantités énergétiques élémentaires) similaires au photon (particule de lumière), disposeraient des mêmes propriétés physiques que ce dernier, et constitueraient l'ensemble des corps et corpuscules matériels de l'Univers, tels que les électrons, les neutrinos, pourtant considérés, selon le modèle standard, comme élémentaires.

La Force X[modifier | modifier le code]

Selon la Théorie X, la Force Fondamentale, la Force X, est la gravité. Elle aurait alors engendré les forces décrites par la Mécanique Quantique.

La gravitation est une déformation de l'Espace-Temps. Plus il y a de masse (ou d'énergie, comme il sera montré plus loin), plus l'Espace se contracte et le Temps se dilate. C'est la Relativité.

Selon la Relativité, la force gravitationnelle s'exprime :

Les expressions de la Force Fondamentale sont, selon la Théorie X :

Et :

Où : est la dérivée du quadrivecteur vitesse par rapport au temps propre, soit l'accélération.

Description de l'interaction dans l'Espace-Temps[modifier | modifier le code]

La Théorie X est un modèle relativiste, s'appuyant sur la Relativité Générale d'Einstein, dont les équations fondamentales sont :

Pour :

Il s'agit du facteur dimensionnel unitaire.

Le tout où : G(ij) représente le tenseur d'Einstein, soit la courbure de l'Espace-Temps, g(ij) le tenseur métrique de Schwarzschild, solution des équations, que je détaillerai plus loin, R la courbure scalaire, et R(ij) le tenseur de Ricci.

Le tenseur métrique s'exprimant :

Où : t représente le temps, r la distance radiale, Θ la colatitude, allant de 0 à π, et Φ la longitude, allant de 0 à 2π. Ce sont, en quelque sorte, des coordonnées dans l'Espace-Temps.

Les équations développées dans la Théorie X, sont :

Pour :

Induisant le fait que T(ij) représente le tenseur énergie-impulsion.

Le tenseur métrique γ s'exprimant :

La déformation spatiotemporelle engendrée par la présence de la Particule X est propre à celle-ci.

Si l'on considère qu'une masse courbe l'Espace-Temps, représenté par une surface Σ, perpendiculairement à cette dernière, soit suivant un axe α, coupant Σ en A, formant un angle Â(α;Σ)=π/2, alors on peut considérer qu'un quantum d'énergie déforme l'Espace-Temps, parallèlement à Σ, soit suivant un axe ε, coupant Σ en E, formant un angle Ê(ε;Σ)=0, de manière périodique.

Si l'on prend les équations d'Einstein telles qu'elles sont, on voit que, sans masse, le photon ne peut pas engendrer d'onde gravitationnelle. Or, si l'on considère qu'il s'agit pourtant d'une quantité, il est nécessaire d'admettre qu'il contracte ponctuellement l'Espace. C'est ainsi qu'on peut commencer à imaginer une théorie où la force gravitationnelle s'exerce entre deux corpuscules énergétiques.

L'Espace propre d'une Particule X serait alors contracté, tandis que, sur son passage, elle contracterait et dilaterait l'Espace périodiquement. Cela formerait ce que l'on connait aujourd'hui sous le nom d'onde électromagnétique.

Ce phénomène n'engendrerait pas d'attraction entre deux Particules X éloignées, mais permettrait la formation de la matière si deux Particules X de dynamiques constantes très chargées en énergie se rencontraient.

Les Particules X[modifier | modifier le code]

Selon la Théorie X, les Particules X constitueraient tout ce qui existe dans l'Univers. Ce sont des quanta d'énergie. On leur attribuerait une onde, de fréquence correspondant à la charge en énergie du quantum. Les propriétés des Particules X dans l'Espace seraient très proches de celles du photon que nous connaissons, car le photon serait une Particule X à l'état libre. Elles se déplaceraient à deux vitesses possibles : soit elle se déplace à la vitesse de la lumière, soit à une vitesse 0.

Les déformations spatiotemporelles engendrées par la présence de Particules X sont propres à celles-ci. On attribuerait donc à une Particule X une contraction de l'Espace propre et ponctuelle et, tout au long de son déplacement, suivant sa trajectoire, une série de contractions et de dilatations de l'Espace.

La dynamique d'une Particule X à l'état libre serait constante. Lorsque deux Particules X se croisent et sont suffisamment chargées en énergie, leurs contractions spatiales propres sont aussi suffisamment importantes pour provoquer leur arrêt, la propagation de leur contraction spatiale, et leur éclatement en de multiples quantités d'énergies toujours cohésives, donc en deux corps matériels.

Les conséquences de la fondation de la Théorie X[modifier | modifier le code]

La Théorie X proposerait enfin des solutions aux problèmes relatifs à la dualité onde-corpuscule, aux singularités, à la matière noire, à la naissance de l'Univers.

Ses applications à la fusion nucléaire par confinement inertiel auraient déjà permis des avancées et pourraient constituer, avec la détection de l'onde gravitationnelle primordiale et l'étude de la formation de la matière noire, un ensemble de preuves majeures pour sa validation.

Références[modifier | modifier le code]

Essaie scientifique : La Théorie X - Si l'Univers était l'enfant de ce couple improbable : L'Espace-Temps ?