Michel d'Iméréthie (en géorgien : მიქაელი, Mik'aili ; mort en 1329) est un souverain de Géorgie occidentale du XIVe siècle. Descendant des anciens rois de la Géorgie unifiée, il prétend au trône de l'Iméréthie dès l'arrivée au pouvoir de son frère Constantin Ier en 1293, mais ne l'obtient qu'après une guerre civile de près de 35 ans en 1327. Son règne est symbolisé par la division de son royaume en plusieurs principautés et seigneuries, dont la majorité subsiste en tant que domaines de facto indépendants jusqu'au XIXe siècle.
Entre 2014 et 2018, les investissements directs étrangers ont baissé de 1 813 à 1 265 millions de dollars.
En 2018, ces investissements provenaient principalement d'Azerbaïdjan (19,5%), des Pays-Bas (16,7%), de Grande-Bretagne (14,1%), des États-Unis (8,1%), de Chine (5,9%), de Panama (5,8%), de Russie (5,5%), de Turquie et du Luxembourg (3,9%)
Georgian Manganese obtient un accord avec une partie de ses 3 000 employés en grêve depuis le 23 avril, incluant une augmentation de salaire de 250 GEL.
un affrontement se déroule entre membres de l'Église orthodoxe géorgienne dans la ville de Martvili, où le nouvel évêque Stéphane est accusé de vouloir vendre les domaines historiques de Salkhino (photo) à un entrepreneur. Plusieurs blessés aggravent la crise au sein de l'Église.
24 avril : Artchil Talakvadzé démissionne comme président du Parlement de Géorgie. Le député Kakha Koutchava (RG) est élu pour le remplacé.
23 avril : Chalva Lomidzé est nommé comme directeur du Service d'Intelligence de Géorgie après plus d'un an de service par intérim.
22 avril : le procureur général accorde le statut de victime à Afghan Moukhtarli, un journaliste-dissident azéri enlevé de son exil en Géorgie en 2017 avant de faire surface dans une prison à Bakou qui accuse les autorités géorgiennes d'avoir contribué à sa disparition.
21 avril : l'ONG Georgia Democracy Initiative porte pleinte auprès de la CEDH contre le gouvernement géorgien au sujet de l'« affaire des cartographes », le procès engagé par le ministère des Affaires intérieures contre deux anciens dignitaires diplomatiques géorgiens accusés d'avoir cédé illégalement des terres à l'Azerbaïdjan en 2006 lors de négociations pour la démarcation des frontières.
20 avril : Charles Michel visite la Géorgie pour la seconde fois depuis le début de l'année pour confirmer la signature des Accords du 19 avril entre les partis politiques géorgiens.
19 avril : sept partis politiques parlementaires signent l'« Accord de Charles Michel » suivant un appel à l'action de la présidente Salomé Zourabichvili, qui promet de signer un acte de clémence pour l'activiste Guiorgui Rouroua. La signature se déroule au Palais des Orbeliani avec la présence des médiateurs européens et américains, de la présidente Zourabichvili et la présence virtuelle de Charles Michel, qui déclare la fin de la crise politique géorgienne qui a débutée en juin 2019. Le MNU, le plus large parti d'opposition, refuse de signer l'accord.
18 avril : le président Charles Michel du Conseil européen propose un nouvel accord entre les forces politiques géorgiennes pour surmonter la crise nationale, envisageant la libération de Nika Melia (dirigeant du MNU en prison pour avoir violer ses conditions d'arrêt à domicile) et de Guiorgui Rouroua (activiste d'opposition en prison pour port d'arme illégal), une promesse vers des réformes judiciaires et éléctorales, une amnistie pour les emprisonnés des manifestations du 20 juin 2019, ainsi que de nouvelles éléctions parlementaires dans le cas où le RG remporte moin de 43 % aux éléctions municipales d'octobre.
Le 9 avril1991, le Parlement géorgien, suite au référendum du 31 mars déclarant que 90,08% des Géorgiens étaient pour le rétablissement de l'indépendance de leur pays, la proclama officiellement. Le président du Conseil Zviad Gamsakhourdia, premier Président de la RSS de Géorgie non-communiste, fut élu président de la République le 26 mai, avec 86,5%.
Toutefois, ce jour n'est pas considéré comme Fête nationale par le gouvernement géorgien. En effet, celle-ci est célébrée le 26 mai, soit le jour de l'indépendance de 1918.