PlanetRomeo

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PlanetRomeo
logo de PlanetRomeo

Création 2002
Siège social Amsterdam
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Activité Site de rencontres gratuit pour tous.
Produits LGBT social networking service (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.planetromeo.com

PlanetRomeo (anciennement GayRomeo) est un site web de rencontre pour hommes et un site web de réseautage social créé en 2002.

Historique[modifier | modifier le code]

Le site avait initialement pour vocation de mettre en relation des escorts avec des clients.

En 2003, le siège du site s'installe à Berlin.

En 2009, à la suite de sa fusion avec le site Guysformen.com, GayRomeo devient PlanetRomeo[1], provoquant un raz-de-marée de mécontentement chez les membres historiques[2].

Disponible en 15 langues, le site de rencontres homosexuelles se développe aujourd'hui à l’international. Il est la référence aux Philippines et en Italie, en plus des pays germanophones où il totalise plus de 400 000 utilisateurs inscrits. La France arrive quant à elle en quatrième position pour son nombre d’inscrits.[réf. nécessaire] Les villes françaises qui comptent le plus d'utilisateurs (données ) sont Paris (22 000 inscrits) Lyon (4000) Strasbourg (2700) Marseille-Aix (2200) Nice (1900) Toulouse (1800) Lille (1800) et Montpellier (1400)[3]. En 2017, le site annonce qu'il arrive à plus de 2 millions de membres dans le monde.

PlanetRomeo est aussi le 1er site de rencontre gay à lancer son application de rencontre compatible iPad, iPhone et Android.

Faits divers[modifier | modifier le code]

Luka Rocco Magnotta, alors recherché par Interpol, arrive en France et passe la nuit du chez un francilien rencontré sur PlanetRomeo[4].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Historique du site
  2. « GayRomeo - qu'est devenu est le site classique GayRomeo ? », Rencontre Gay,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « gayinlyon.com/web/gayromeo-pro… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. « Une rencontre courtoise sans sexe avec Magnotta, assure un témoin », sur La Presse, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]