Jean de Madre
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Jean de Madre
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.jpg) Le comte Jean de Magre, en août 1933 (ici vainqueur de la Coupe de Gramont de polo de Deauville, avec trois officiers français). | |||||||||
| Contexte général | |||||||||
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| Sport | Polo | ||||||||
| Biographie | |||||||||
| Nom de naissance | Jean Pie Marie Joseph de Madre | ||||||||
| Nom dans la langue maternelle | Jean de Madre | ||||||||
| Nationalité sportive |  Française
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| Nationalité | France | ||||||||
| Naissance | |||||||||
| Lieu de naissance | Meudon, Seine-et-Oise | ||||||||
| Décès | (à 71 ans) | ||||||||
| Lieu de décès | Paris 7e (à 71 ans) | ||||||||
| Palmarès | |||||||||
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Jean de Madre de Loos (Meudon, Hauts-de-Seine, - Paris, ) (à 71 ans) est un joueur de polo français. En 1900, à 38 ans, il remporta la médaille d'argent en polo aux Jeux olympiques de Paris, avec l'équipe BLO Polo Club Rugby (associé à deux britanniques et un américain)[1].
Tout comme Édouard de Rothschild, il fut membre du Comité directeur du Polo Club, et membre du Comité du Jockey-Club.
Possesseur de plusieurs immeubles sur Paris, il fut également propriétaire d'une résidence à Deauville, et même d'un yacht impérial, "L'Alphée", ayant appartenu au Khédive[2].
Il donne son nom à une Coupe de polo disputée en France durant la deuxième moitié des années 1930, sur le terrain de Bagatelle.
Palmarès[modifier | modifier le code]
Vice-champion olympique de polo en 1900;- Coupe de Gramont de polo de Deauville en août 1933 (Prix du Casino de Deauville -ou Coupe de l'Intransigeant-, avec le lieutenant Jobert, Jean Saint-Georges et R.L. Findlay)[3];
- 1922 (juin): perte du Verdun Challenge Cuper au Ranelagh Club de Londres, face à l'Angleterre (6-8, en présence de Raymond Poincaré, et du Maréchal Philippe Pétain[4]);
- 1932 (avril): perte du Polo Prix club de Cannes (des Tigers -maillot de soie jaune avec tigre brodé, créé par de Madre- face aux Corne d'or (sur les pelouses de Mandelieu[5]).
Galerie[modifier | modifier le code]
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La Coupe de Gramont (et de l'Intransigeant, due à Cartier, août 1933). -
Le comte en 1933 (vu par Wag). -
Le comte Jean de Magre, en août 1933 (Coupe de Gramont).
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Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean de Madre, sur Sports-Reference.
- La Soierie de Lyon : organe du Syndicat des fabricants de soieries, octobre 1933, p.218.
- L'Intransigeant, 15 août 1933, p.2.
- Le Petit Parisien, 18 juin 1922.
- Le Figaro, 8 avril 1932, p.8.
