Discussion utilisateur:Neantvide

Bienvenue sur Wikipédia, Neantvide !
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Pages utiles

• Aide:Premiers pas pour commencer à contribuer sur wikipédia
• Tout l'indispensable, à lire absolument,

Vous pouvez trouver des explications détaillées à partir des pages :

• Principes fondateurs de Wikipédia à la base du projet. Il s'agit des règles les plus importantes
• Aide:Sommaire, plus complet, à lire à tête reposée.
• Aide:Syntaxe, les conventions d'écriture à connaître.
• Aide:Poser une question, si vous vous sentez perdu.

Vous pourrez ajouter par la suite d'autres pages d'aide ou les informations dont vous pensez avoir besoin dans votre espace utilisateur.

Bonnes contributions ! -Pªɖaw@ne 24 mars 2010 à 09:13 (CET)

Fichier:PLM_Hommes&Choses_1911_medailles.jpg a une description incomplète

Fichier:PLM_Hommes&Choses_1911_medailles.jpgBonjour,

Une image que tu as importée sur Wikipédia, Fichier:PLM_Hommes&Choses_1911_medailles.jpg, comporte plusieurs informations manquantes ou imprécises :

1. La description de l'image ne comporte aucune indication sur son origine. Merci de lire Wikipédia:Description d'une image#Origine de l'image et de préciser clairement l'origine de l'image.
2. La description de l'image ne comporte aucune indication de licence. Merci de lire Aide:Quelle licence utiliser ? et de définir une licence appropriée pour cette image.

Elle sera supprimée si ces informations ne sont pas précisées. Merci de faire le nécessaire ou de remplacer cette image par une compatible avec les règles de Wikipédia.

Une médaille, n'est pas une pièce de monnaie. Pªɖaw@ne 24 mars 2010 à 09:13 (CET)

Annonce de suppression de page

Bonjour, Neantvide,

La page Modèle:Libre ^{(page supprimée)} que vous avez créée vient d'être supprimée par l'administrateur Lgd avec le commentaire : « Bac à sable : Le contenu était « modèle Libre » et l'unique contributeur en était Neantvide ».

Ne recréez pas cette page vous-même. Si vous tentez de la recréer, elle sera automatiquement blanchie par Salebot.

--Salebot (d) 27 mars 2010 à 20:29 (CET)

Fichier:Montereau-Troyes Paul Seguin.jpg

Bonjour, j'ai demandé la suppression de ce fichier, qui apparemment est protégé par le droit d'auteur. Seuls les fichiers distribués sous licence libre (voir cette liste) ou placés dans le domaine public sont acceptés sur Wikipédia. Cordialement, Alchemica (d) 27 mars 2010 à 21:30 (CET)

Pour les mêmes raisons, j'ai demandé la suppression des autres images que vous avez importées, car vous n'apportez pas la preuve qu'elles sont bien libres de droits. Pour info, une image ne devient automatiquement libre que 70 ans après la mort de leur ayant-droits. Cordialement, Alchemica (d) 27 mars 2010 à 21:36 (CET)

Comme indiqué plus haut, le droit d'auteur expire 70 après le décès de l'auteur ou ayant-droits, et non 70 ans après la publication. Pour ces trois images il faudrait donc identifier les auteurs et fournir une preuve que leurs droits ont bien expiré. Cordialement, Alchemica (d) 28 mars 2010 à 00:06 (CET)

Fichier:PLM Hommes&Choses medailles.jpg

Bonjour, je constate que vous avez à nouveau importé cette image. Pouvez-vous fournir la preuve que l'auteur de cette gravure est bien mort, à ce jour, depuis plus de 70 ans, et qu'ainsi cette image est tombée dans le domaine public ? Je ne vois toujours aucune mention du nom de l'auteur dans votre description du fichier. Cordialement, Alchemica (d) 28 mars 2010 à 14:36 (CEST)

Re, Cette image (il s'agit d'un photomontage signé en bas à droite par "E. de Ruaz") a été créée pour un un ouvrage édité par la Cie du PLM en 1911. Imaginons que ce "E. de Ruaz" soit né en 1911 (l'année de création de ce photomontage !, ce qui est absurde) il aurait aujourd'hui 99 ans. Au surplus, à la fin de l'ouvrage, sous la table des matières, il est indiqué : "Les photographies reproduites dans cet ouvrage proviennent des Maisons : Camille Brion - Boissonas et Manguin - Champagne - E. Dieudonné - Devos - G. Fabre - Ferrari - Gilettza - Hermann et Cie - P. Nadar - Neurdein - Otto - Eugène Pirou - Pierre Petit - Sartony - Waléry". "E de Ruaz" n'est pas cité. --Neantvide (d) 28 mars 2010 à 18:07 (CEST)

Sans trop vouloir insister, si vous ne pouvez pas identifier l'auteur, ou si vous n'avez pas l'absolue certitude que celui-ci est décédé depuis plus de 70 ans, il vaut mieux ne pas importer la photo. L'auteur de ce montage, ou tous ses ayants-droits éventuels, personnes physiques ou morales, doivent avoir disparu depuis 1940. Alors, oui, ce document est vieux, mais pas encore assez pour pouvoir affirmer, sans preuve à l'appui, qu'il est déjà dans le domaine public. Désolé, dura lex sed lex. Cordialement, Alchemica (d) 28 mars 2010 à 18:26 (CEST)

Future présentation au label BA de l'article Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire

Bonjour,

A la suite de mon message sur la page de discussion du projet chemin de fer , Clicsouris m'a signalé que tu étais l'IP qui a massivement contribué à ce qu'est l'article aujourd'hui (très beau travail!). Je t'écris donc sur ta page pour que tu vois le message que j'ai laissé sur la page de discussion du projet si tu ne l'as pas vu.

Cordialement--Lushie (discuter) 13 juillet 2014 à 10:55 (CEST)

Bonjour,

Je vous remercie de l'intérêt porté à cet article que j'ai écrit. Je ne vois aucun inconvénient à ce que vous interveniez sur la forme de cet article. S'agissant des notes et bibliographie, bien qu'elles paraissent fournies elles permettent, par leur exhaustivité (tout est relatif), de rétablir qq vérités et corriger bien des erreurs que j'ai pu lire répétées d'un ouvrage à l'autre sans que leur auteur prennent la peine de revenir aux sources originelles ou de les confronter. J'ai surtout voulu montrer que l'on a pas construit les premières lignes de CDF pour simplement relier un point À à un point B, mais qu'il y avait un contexte technique, économique, financier et relationnels entre individus partageant les mêmes intuitions et ambitions, sous-jacent à l'émergence des compagnies ayant construit les premières lignes de CDF. Outre la compagnie du CDF St Etienne Andrezieux, il y a également la compagnie du CDF saint Etienne à Lyon (dite compagnie Séguin). Cordialement.

Neantvide (discuter)

Bonjour,

Je ne sais pas si c'est toi qui a mis en liens internes ces personnes mais penses-tu que Boggio, Hochet, de Lur-Saluces, Mellet, Henry, Saignol méritent des articles dédiés? Je pense que oui pour Mellet et Henry mais je sais pas trop pour les autres.

Cordialement--Lushie (discuter) 22 juillet 2014 à 10:29 (CEST)

Bonjour,

J'ai créé ces liens internes au cas où j’aurai trouvé des informations plus complètes sur ces personnages autres que celles mentionnées en note dans l'article. Sur Mellet et Henry, je n'ai pas été plus chanceux hormis ces info mentionnée en note 7 de l'article Compagnie du chemin de fer de la Loire ; "Mellet (né à Lodève en 1797) et Henry sont deux ingénieurs civils, anciens élèves de l’École polytechnique, qui ont ouvert un bureau d’études à Paris, 8 rue Laffitte. Après avoir obtenu la concession du chemin de fer Andrézieux-Roanne, ils postuleront, sans succès, pour un Paris-Roanne et un Bourg-Lyon en 1833, pour le Paris-Versailles et un Bordeaux-La teste en 1837, puis à nouveau un Paris Saint-Étienne via Roanne en 1840 (Voir bibliographie G. Ribeill, pages 67 et 82). Ils obtiennent en 1831 la concession d’un Paris-Pontoise qui est finalement annulée par le Conseil d’État. Mellet est également sollicité pour le Montpellier-Cette. Voir quelques informations biographiques relatives à Mellet dans Pascaline Gentil, « Auguste Comte/Caroline Massin. Correspondance inédite (1831-1851) : l'histoire de Caroline Massin, épouse d’Auguste Comte à travers leur correspondance », Paris, L’Harmattan, 2006, page 304."

Cordialement -- Neantvide (discuter) 22 juillet 2014 à 12:02 (CEST)

Image Chemins de fer de la Loire

Bonjour  Neantvide : Tout d'abord bravo pour votre travail sur les compagnies de chemin de fer ! J'ai une interrogation sur cette image des chemins de fer de la Loire. Elle est datée d'autour de 1830 (ou vers 1835 selon la note 140 de l'article Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire) mais il me semblait que les locomotives n'arrivaient pas sur cette ligne avant 1844. Pouvez-vous m'éclairer ? Merci d'avance. Cordialement. O-R (discuter) 18 août 2016 à 14:10 (CEST)

Bonsoir, merci de votre lecture attentive de cet article relatif à la Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire où figure cette [image] montrant une "machine locomotive de Roanne à St Etienne", et que j'ai titré "Chemins de fer de la Loire (circa 1830)".
Cette image naïve est extraite d'une lithographie, non datée, présentant la carte des premiers chemins de fer autour de Saint-Étienne intitulée "Des chemins de fer des départements de la Loire et du Rhône" dressée par J. Nublat, géomètre expert et lithographe à Saint-Étienne". La lithographie présente également à ses quatre coins des petites vignettes représentant des ouvrages d'art de la ligne de Saint-Étienne à Lyon, que j'ai fait figurer dans l'article Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon, ainsi que le profil des trois lignes de CDF autour de Saint-Étienne et un plan de l'époque de la ville de Saint-Étienne. Vous pourrez observez la représentation non réaliste (échelle) des matériels représentés sur cette image issus des différentes compagnies de CDF créées autour de Saint-Étienne. Un exemplaire de cette lithographie est conservée au musée César Filhol à Annonay et est reproduite hors texte dans l’ouvrage de Georges Renaudie et Michel Faure, "Les riches heures de Marc Seguin", les compagnons du livre, Annonay, MCMLXXV.
Cette lithographie a été reprise dans le journal "L'illustration des chemins de fer - organe officiel du cinquantenaire des chemins de fer, n° exceptionnel, novembre-décembre 1889 et janvier 1887" (revue politique, économique et scientifique illustrée publiée sous le patronage et avec le concours d'ingénieurs et de techniciens - 8 Faubourg Montmartre Paris). Ce numéro a été publié à l'occasion de la célébration avortée sur une initiative privée du 50ème anniversaire des chemins de fer en France, qui a été boycottée par les grands compagnies de chemin de fer de l'époque s’offusquant que l'on puisse croire que l'apparition des CDF en France date de 1837 (ouverture de la ligne de Paris au Pecq) alors qu'il avait existé auparavant depuis les années 1820 des CDF dans la Loire autour de Saint-Étienne.
C'est de l'image extraite de cette revue de 1886-1887 que Michel Cotte a écrit son commentaire que j'ai repris à la note 140 de l'article sur la Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire.
Effectivement, comme vous le soulignez, les machines à vapeur ne sont apparues sur ligne (St-Etienne-Andrézieux) qu'après 1840. Le commentaire de Michel Cotte serait donc erroné.
Mais là où l'histoire se corse, c'est qu'une lithographie quasi identique, à l'exception des vignettes au quatre coins et du plan de la ville de Saint-Étienne, est annexée sous format in plano, sur papier chiffon à fort grammage, repliée en fin d'ouvrage de Smith, "Lois européennes et américaines sur les chemins de fer", 1837, Saint Étienne, Typ. de F. Gonin. - Smith, conseiller à la Cour royale de Riom, membre du Conseil général de la Loire. La lithographie est intitulée "Carte des chemins de fer du département de la Loire annexée au rapport de la commission d'enquête de St Etienne par Nublat lithographe à St Étienne". La gravure de la lithographie est fine et l'image en question est présentée machine à vapeur droite, soit de manière inversée à l'image imprimée dans le revue de 1886 précitée. Comment en 1837 a pu être représentée une "machine locomotive de Roanne à St Etienne" ?
L'explication tient vraisemblablement à une erreur du dessinateur de l'image, peu au fait des matériels de chemin de fer comme nombre de ses contemporains, qui en légendant "machine locomotive de Roanne à St Etienne" n'a pas fait de différence entre le CDF de Saint-Étienne à la Loire (Andrézieux) et le chemin de fer de la Loire (Andrézieux-Roanne) sur lequel les premières locomotives à vapeur sont apparues au début des années 1830. C'est sur cette dernière ligne de chemin de fer qu'a circulé la machine anglaise « Jackson » à laquelle fait référence Michel Cotte comme rappelé dans la note 140 précitée .
Bien à vous
Neantvide (discuter) 19 août 2016 à 00:36 (CEST)

Merci beaucoup pour ces explications ! Bien cordialement, O-R (discuter) 19 août 2016 à 09:42 (CEST)

Bonjour Neantvide . Je reprends ce viel échange juste pour confirmer que sur le plan annexé à l'ouvrage de Smith, la série de matériel est effectivement mieux représenté (wagon à charbon avec du charbon et un frein par exemple). Je signale également qu'il y a une distinction entre les matériels roulants et la locomotive (coupure au niveau du "rail"/sol), ce qui admet un changement d'échelle voulu pour la représentation de la machine locomotive, alors que sur le dessin de 1886, la loco est sur le même rail que le matériel roulant mais complètement disproportionné. Bien cordialement. --O-R (discuter) 8 juillet 2020 à 15:40 (CEST)

Analyse automatique de vos créations

Bonjour.

Je suis Phe-bot, un robot dressé par Phe. Je fais l'analyse quotidienne de tous les articles créés deux jours plus tôt afin de détecter les articles en impasse et les articles sans catégorie.

Un article en impasse est un article qui ne contient aucun lien interne. Pour plus de détails sur les liens internes, vous pouvez consulter cette page.

Les catégories permettent une classification des articles. Pour plus de détails sur les catégories, vous pouvez consulter cette page.

Ajouter des liens ou des catégories n'est pas obligatoire, bien sûr, mais cela augmente fortement l'accessibilité à votre article et donc ses chances d'être lu et d'être amélioré par d'autres contributeurs.

Pour tout renseignement, n'hésitez pas à passer voir mon dresseur. De même, si vous constatez que mon analyse est erronée, merci de le lui indiquer.

Si vous ne souhaitez plus recevoir mes messages, vous pouvez ajouter « * [[Utilisateur:Neantvide]] » en bas de cette page. Phe-bot (discuter) 4 novembre 2016 à 12:09 (CET)

OK, c'est noté (Neantvide (discuter) 4 novembre 2016 à 17:11 (CET)).

Analyse du 4 novembre 2016

• Joseph Marie Stanislas Becquey-Beaupré est :
  • un article non catégorisé

Phe-bot (discuter) 4 novembre 2016 à 12:09 (CET)

C'est fait. ( Neantvide (discuter) 4 novembre 2016 à 17:09 (CET) )

Nombre de voyageurs en 1835 sur les lignes de la Loire

Bonjour Neantvide . Je suis à la recherche du nombre de voyageurs sur la ligne Andrézieux-Roanne en 1834 ou 1835. Vous êtes l'auteur d'un tableau comparatif des trafics mais je n'ai pas toutes les sources que vous mentionnez. Pourriez-vous m'indiquer le nombre recherché ? Vous semblez avoir mis quelque chose comme 20 ou 25000 voyageurs, non ? Et pourquoi avoir mis 0 pour la ligne Sainté-Andrézieux alors que des sources indiquent qu'il y avait 100 voyageurs par jour en 1835 et qu'il y avait un service de transport depuis au moins 1832 ? Cordialement. --O-R (discuter) 20 octobre 2019 à 16:37 (CEST)

Bonjour O-R Le graphique en question est tiré de la thèse d'histoire de Michel Cotte (1995, volume 2, page 887), indiqué dans la bibliographie de l'article Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon, qui cite les Annales des Ponts et Chaussées (1834, 1^er trimestre) pour le CDF Liverpool-Manchester, le fonds Seguin aux Archives départementales de l'Ardèche pour le CDF St-Etienne Lyon (résultats d'exploitation 1833-1834-1835, repris in Cotte, op. cit., annexe 24-A, pages 1130-1131) et Smith,, Lois européennes et américaines sur les chemins de fer..., page 160 pour le tonnage du CDF St-Etienne Andrezieux. J'ai ajouté au graphique de Cotte, des informations relatives au CDF Stockton-Darlington issues de Perdonnet. Pour le Nb de voyageur du CDF St Etienne-Andrézieux et le trafic (marchandise et voyageur) du CDF Andrézieux Roanne, c'est uniquement un « décalque » réalisé par moi-même du graphique de Michel Cotte qui ne cite pas de sources pour ces informations là. Toutefois, si vous avez des sources pour ces informations, je pourrai modifier le graphique. Cordialement. --Neantvide (discuter) 21 octobre 2019 à 20:19 (CEST)

Merci pour votre réponse Neantvide (d · c · b) !

Alphonse Peyret (Statistique industrielle du département de la Loire, 1835, p. 207 et p.214) indique qu'il y a "plus de 100 voyageurs par jour" pour la ligne Sainté-Andrézieux (https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO0100137001102705147/IMG00000229#) et en moyenne 80 par jour pour la ligne de Roanne (https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO0100137001102705147/IMG00000236). Il devait donc y avoir plus de 35.000 voyageurs annuels pour Andrézieux et près de 30.000 pour Roanne vers 1834-1835.

Quand il est question des premiers voyageurs ferroviaires en France, ce qui me parait étrange est que le rapport Smith indique p.30 que la ligne d'Andrézieux est la première à avoir transporté des voyageurs (je ne pense pas qu'il parle uniquement du transport de la comtesse Bertrand à l'été 1827) et que les lignes étaient ouvertes aux voyageurs dès leur achèvement (y compris partiellement : le transport de voyageurs fonctionne à l'été 1832 sur une partie de la ligne de Roanne). On est donc pas dans l'idée d'un transport qui s'opère pour la première fois en 1831 sur la ligne de Lyon. En 1830, le fils du roi faisait l'expérience du voyage sur un tronçon des lignes de Lyon et d'Andrézieux. Le transport de voyageurs étaient-ils réservés uniquement aux hôtes de marque ? Entre 1827 et 1831/32, il devait probablement déjà y avoir des transports de voyageurs mais probablement pas de manière très organisée. Qu'en pensez-vous ?

Cordialement. --O-R (discuter) 23 octobre 2019 à 11:45 (CEST)

Bonjour O-R . Je n'ai pas trouvé dans Smith page 30 l'information "que la ligne d'Andrézieux est la première à avoir transporté des voyageurs" (erreur de page ?, parle-t-on du même rapport ?). Ces premiers CDF (St Etienne Andrézieux et St Etienne Lyon) étaient de nature industrielle et n'avaient pour vocation que le transport du charbon. C'est parce qu'il est apparu très rapidement après l'ouverture des lignes, à certains téméraires, plus commode de d'utiliser les wagons (vides ou chargés) pour se rendre à un lieu sur la ligne plutôt que de s'y rendre à pied que les exploitants de ces CDF ont pris conscient qu'il y avait un profit à tirer du transport de personne. Pour le CDF St Etienne-Lyon, ce phénomène est apparue dès aout 1830, d'ailleurs à l'initiative de l'exploitant lui-même. Aussi, les exploitants de ces CDF ont-il mis en place un service voyageur, soit confié à une entreprise de diligence qui chargeait une caisse sur un châssis ferroviaire, soit exploitait ce service avec ses propres voitures construites spécialement comme ce fut le cas pour le CDF St Etienne-Lyon. C'est un processus qui se mit en place au fil du temps, non du jour au lendemain, car il fallut définir progressivement une nouvelle réglementation pour ce type de transport non prévu originellement (surveillance, contrôle, sécurité...) . Bien à vous--Neantvide (discuter) 24 octobre 2019 à 17:53 (CEST)

Bonsoir Neantvide (d · c · b) ! Désolé, j'avais mal repris mes notes ! C'est pages 90/91 : les chemins de fer construits en Angleterre ayant ouvert leurs rails à la circulation des personnes, les compagnies françaises suivirent leur exemple au fur et à mesure de l'achèvement de leurs entreprises. Le chemin de fer d'Andrézieux en fit le premier l'expérience, et celui de Lyon organisa peu après les moyens de transport pour les voyageurs et pour les marchandises.. Beaunier comme Seguin sont allés en Angleterre et ont pu constater, a priori, que le transport de voyageurs était possible. Dès le mois d'août 1827, Beaunier met la comtesse Bertrand dans un wagon pour lui faire faire le voyage de Saint-Etienne à Andrézieux. Il serait étonnant qu'il ait fait un test en one-shot avec elle et qu'il n'y ait eu aucun voyageur après elle et jusqu'en 1830 ou 1832. Et en 1830, Coste et Perdonnet signalent que Seguin espère "un grand nombre de voyageurs". En 1831, il y a déjà 10.000 voyageurs sur la ligne de Lyon. Bien cordialement. --O-R (discuter) 24 octobre 2019 à 23:21 (CEST)

Bonjour O-R . Marc Seguin fait deux voyages en Angleterre. Mais il faut savoir que dans son entourage proche d’autres personnes ont fait le déplacement en Angleterre et que lui-même est abonné à des revues britanniques. Ses connaissances sur les techniques et l’industrie anglaise et, en particulier les machines à vapeur, sont étayées et approfondies. Une première fois il se rend en Angleterre à l’hiver 1824/1825 à la recherche d’une machine à vapeur pour son bateau de halage sur le Rhône. Il est accompagné de son frère Paul et d’Auguste Montgolfier. Il passe par Paris aux forges de Charenton et de Chaillot, puis à Londres pour discuter d’un achat avec Taylor & Martineau, se rend à Leeds où il voit les locomotives de Blenkinsop sur le CDF de Middleton qui lui fait mauvais effet, se rend au CDF Darlington-Stockton où il voit des locomotives à vapeur du dernier perfectionnement de G Stephenson, se rend sur le CDF d’Hetton à Sunderland, puis rencontre G. Stephenson à Newcastle. Il poursuit son voyage jusqu’en Écosse, à Greenock, pour rencontrer le Dr Brewster qui est le dépositaire de la mémoire et des écrits de James Watt natif de la ville. Il revient à Londres où il achète une machine à vapeur pour son bateau à Taylor et Martineau. De tous les chemins de fer que Marc Seguin à visiter aucun ne transporte de voyageur ; ce ne sont que des CDF industriels pour le convoyage de la houille de la mine à un canal ou une rivière. Une seconde fois, Marc Seguin se rend en Angleterre à l’hiver 1827/1828. Il a déjà conçu son plan pour le CDF St Etienne-Lyon pour lequel dès l’origine du projet il veut faire appel à la traction par locomotive à vapeur. Au départ du voyage en Angleterre, Marc Seguin pensait s’adresser à Taylor & Martineau pour les fournitures du chemin de fer. Mais c’est la poursuite du voyage de son frère Charles Seguin à Newcastle et le compte-rendu de ses entretiens avec Rennie et G. Stephenson qui conduit Marc Seguin à confier la construction de deux locomotives à Stephenson. Michel Cotte précise que la commande des deux locomotives a été faite par Charles Seguin à Robert Stephenson mi-mars 1827, sous la forme d’une option d’achat, au retour du ce voyage en Angleterre. Marc Seguin n’est resté en Angleterre que le mois de janvier 1827. Après de longs échanges à Londres (15-18 janvier) avec Taylor & Martineau pour faire le bilan du matériel livré pour les bateaux de halage sur le Rhône, Marc et Charles, accompagnés de l’ingénieur de la compagnie du chemin de fer Gauliard et de Hallette, visitent à nouveau le chemin de fer de Darlington. Par la suite, Charles se rend seul sur le chantier du Liverpool-Manchester et rencontre Rennie et G. Stephenson. Ce n’est qu’à l’ouverture du CDF Liverpool-Manchester que le transport de voyageur est réalisé en Angleterre. Auparavant il n’y en avait aucun. Le premier transport de voyageur sur le CDF Rive-de-Gier Lyon a lieu en août 1830 pour une raison purement accidentelle (cf. article Wikipédia). Bien à vous. --Neantvide (discuter) 25 octobre 2019 à 19:37 (CEST)

Bonsoir Neantvide Merci pour ces précisions et cet échange !

Par contre, il me semblait que les premiers voyageurs transportés sur une voie de chemin de fer dataient de 1807 avec le en:Swansea and Mumbles Railway et que le Chemin de fer de Stockton et Darlington en transportait aussi. C'était à traction animale mais le principe était là, non ?

Et du coup, comment interprétez-vous le transport de la comtesse Bertrand en août 1827 sur le Sainté-Andrézieux et la remarque de Smith ?

Bien à vous. --O-R (discuter) 25 octobre 2019 à 21:19 (CEST)

Bonjour O-R . Il est exact que le Swansea and Mumbles Railway ait été le premier CDF à transporter des voyageurs bien qu’à l’origine sa vocation était industrielle (transport du charbon, du minerai de fer et du calcaire des carrières de Mumbles à Swansea, par traction hippomobile). Pour le Stockton et Darlington, le transport de voyageurs ne débuta qu’en 1826 ; à l’origine le Bill du parlement (Westminster) autorisant ce CDF ne le permettait pas (il y a un historique sur cet aspect à ce lien internet). Il est vrai également que le jour de l’inauguration de ce CDF en 1825, les curieux intrépides ont été transportés dans les tombereaux destinés au transport de la houille. Mais le convoi avançait au pas du cheval le précédant pour ouvrir la voie. S’agissant de la comtesse Bertrand, son voyage est mentionné dans Jean-Claude Faure, Gérard Vachez et les « Amis du rail du Forez », La Loire, berceau du rail français, Saint-Étienne, 2000, Amis du Rail du Forez, page 95 « La comtesse Bertrand, qui se rendant à Montbrison le 21 août 1827, emprunta toute la ligne. » Et plus précisément dans Maryse Angelier, Voyages en train au temps des compagnies (1832-1937), LVDR, 1998, page 13 « Le Mercure Ségusien [du 21 août 1827] qui a parlé du char pavoisé sur lequel la comtesse a parcouru toutes la ligne, doit rectifier, le 1er septembre, précisant que les pavoisement sont réservés aux hauts personnages officiels. » Il y a tout lieu de croire que ce transport était exceptionnel eu égard à la personnalité de la comtesse, femme d’un général d’Empire, car le cahier des charges du CDF ne prévoyait pas le transport de voyageur. Comme indiqué précédemment, cela est venu par la suite forcé par les événements. CDLT--Neantvide (discuter) 26 octobre 2019 à 15:15 (CEST)

Bonjour Neantvide . Pour votre parfaite information, je me permets de vous préciser le texte complet du Mercure Ségusien du 1er septembre 1827 : Nous avons été induit en erreur, relativement à la visite faite par Madame la comtesse Bertrand, du chemin de fer de Saint-Etienne à la Loire. Cette dame a bien en effet parcouru la ligne, mais on nous avait trompé en nous assurant que le char qu'elle a monté avait été pavoisé. Un tel honneur n'est réservé qu'aux princes et aux grands dignitaires.. Mettre à l'honneur une proche de Napoléon ne devait pas être bien vu, surtout avec un Bourbon à la tête -couronnée- de la France… Par contre, pour la visite du fils du roi Louis-Philippe, 5 "waggons" ont été pavoisés pour lui et sa suite. Beaunier était assis à côté du prince. Ils sont partis du "port sec des Mottelières" pour se rendre au plan incliné du Treuil puis aux mines du Treuil, de Méons et du Soleil, enfin au Pont-de-l'Ane (Mercure Ségusien du 20 novembre 1830). Bien à vous. --O-R (discuter) 26 octobre 2019 à 18:12 (CEST)

Découverte d'un rail de 1827

Bonjour Neantvide .

Pour info : reportage TV locale et Article dans le journal local -édition abonnés.

Bonne journée. --O-R (discuter) 22 décembre 2019 à 13:09 (CET)

Bonjour O-R Merci bien pour ces informations qui donnent un motif supplémentaire pour se rendre à Andrézieux-Bouthéon et visiter le futur centre d'interprétation de la première ligne de chemin de fer "L'Aventure du Train". Une observations toutefois, l'article du Progrès n'est accessible qu'aux abonnés. Cordialement. --Neantvide (discuter) 23 décembre 2019 à 18:20 (CET)

Bonjour Neantvide cadeau de Noël. Passez de bonnes fêtes. --O-R (discuter) 24 décembre 2019 à 12:34 (CET)

Première course !?

Bonjour Neantvide et meilleurs vœux pour la nouvelle année !

« elle a fait la première course sur ce chemin qui avait été disposé à cet effet, et a donné l’ordre de départ des premiers charriots qui, en France, auront circulé sur un chemin de fer. ». Vous comprenez bien la même chose que moi ? La dauphine serait montée dans le "train" ?

--O-R (discuter) 5 janvier 2020 à 17:41 (CET)

Dans le compte-rendu de son séjour complet, dans l'édition du 10 juillet 1826, il est seulement fait mention de son rôle "d'observatrice"... --O-R (discuter) 5 janvier 2020 à 20:15 (CET)

Bonjour O-R J'ai complété la référence en fonction de votre dernière information et en ai profité pour la remettre dans l'ordre chronologique des sources citées. Bien cordialement --Neantvide (discuter) 5 janvier 2020 à 23:40 (CET)

Photos

Bonsoir. Pour info,

Mis dans Compagnie du chemin de fer de la Loire :

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Dans Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire, j'ai rajouté quelques photos en fin d'article. J'ai également la photo ci-dessous. A voir la pertinence de la mettre ou non ? Au moins, ça donne une idée de la taille du rail et de ses dés…

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Bonjour O-R En effet pourquoi pas ? (Dans la rubrique "Vestige") CDLT --Neantvide (discuter) 12 janvier 2020 à 23:56 (CET)

Cordialement. --O-R (discuter) 12 janvier 2020 à 18:34 (CET)

Carte du rapport Smith ?

Bonjour Neantvide

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Est-ce que la carte de la ligne Sainté-Andrézieux que vous avez téléversée sur Wikimédia est complète ou bien vous n'en avez mis qu'une partie ? En auriez-vous une version dans une définition de scan encore plus importante pour un projet IRL ? Il n'y a pas de cartes similaires pour les deux autres lignes de la région ?

Je ne trouve aucun visuel dans les deux versions numériques du rapport Smith que j'ai à disposition…

Cordialement--O-R (discuter) 18 janvier 2020 à 16:55 (CET)

Bonjour. J'ai pu voir la carte complète : on voit le réseau complet de la Loire. Cordialement. --O-R (discuter) 22 janvier 2020 à 18:47 (CET)

AG Chemin de fer

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Bonsoir Neantvide Magnifique ce document ! Merci pour cette trouvaille et ce partage ! Bien cordialement. --O-R (discuter) 8 février 2022 à 22:34 (CET)

A vrai dire, ce doc se trouve dans un carton d'archives dans lequel il ne devrait pas se trouver. Ce sont les aléas des cartons d'archives des premiers chemins de fer qui n'ont pas fait l'objet, depuis leur versement, d'un classement systématique. Ainsi ce doc se trouve dans un carton d'archives du chemin de fer de la Loire (Andrézieux-Roanne) et non, comme on aurait pu le penser, dans celui du chemin de fer de St-Etienne à Andrézieux. On y trouve également qqs docs de la Compagnie du chemin de fer du Grand Central. Moralité, il faut prendre son temps en étant attentif doc par doc, feuille par feuille ; on a qqs surprises ! Cordialement. Neantvide (discuter) 8 février 2022 à 22:51 (CET)