Discussion utilisateur:Iluvalar/résuméOGM

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Ceci était ma première ébauche du résumé.

Controverses et débats[modifier le code]

Opposants aux OGM[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM est très actif en Europe, et particulièrement en France, au Royaume-Uni[1] en Allemagne, en Autriche, au Luxembourg, en Hongrie et en Suisse. Il n’a pas pris corps majoritairement dans l’opinion publique américaine, mais se manifeste également au Canada[2].

Les mouvements anti-OGM communiquent au public les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM.

Défenseurs de l'utilisation d'OGM[modifier le code]

Les défenseurs de l'utilisation des OGM sont des scientifiques qui s’appuient sur le fait qu'à ce jour aucun effet nocif sur la santé humaine de la consommation des OGM commercialisés n'a été démontré et que l’ONU comme la communauté scientifique concluent à une absence de nocivité[3].

Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés et qu’elles ne s'appuieraient « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire »[4].

Des agriculteurs et des semenciers défendent également l'utilisation des OGM au nom de la rentabilité économique et du développement durable.

Traitement médiatique des OGM[modifier le code]

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[5] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[6]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[7]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[8].

Questionnements soulevés[modifier le code]

Conséquences possibles des hybridations sur la flore:

Des risques sont évoqués dans les cas où des transgènes sont diffusés par croisement entre OGM et les autres plantes cultivées ou sauvages. Ceci pouvant modifier la biodiversité si le gène inséré confère à l'organisme un avantage sélectif par rapport à son équivalent non modifié.

Les risques environnementaux pourraient également être liés aux gènes de sélection. Ces derniers sont des gènes insérés en même temps que le gène d'intérêt, mais dont le rôle est de permettre la sélection des cellules modifiées. Les gènes de résistance à un antibiotique peuvent être utilisés dans ce but. Ils correspondent à des gènes conférant la résistance à un antibiotique donné et qui ne sont plus utilisé dans les secteurs de la santé humaine ou animale. D’autres risques sont aussi liés à la diffusion de ces gènes de résistance à d'autres espèces, et l'apparition de nouvelles résistances aux antibiotiques chez les bactéries pathogènes pour l'homme et l'animal (les bactéries colonisant l'homme et les animaux sont à 90% résistants à ces antibiotiques, d'où l'arrêt de leur utilisation en santé publique). La conclusion de nombreuses études consiste à supprimer ce gène de sélection. Dans tous les cas, ces questions se posent pour toutes les PGM antérieures à 2005 puisqu'à partir du 1er janvier 2005, ces gènes marqueurs sont interdits pour toute nouvelle PGM.

Développement de résistances

L'utilisation massive du "même" OGM sur de grande surface peut conduire à une vulnérabilité face à certain ravageurs et maladies. C'est à dire qu'un ravageur adapté à une souche particulière dans un champ pourrait s'attaquer l'ensemble du champ dans une culture unique avec plus d'aisance qu'il ne pourrait s'attaquer à une culture traditionnel comportant plusieur souches distinctes.[9].

Gains économiques:

L’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[10].

Résolution des problèmes de famine:

On a parfois mit de l'avant que les OGM était la solution pour règler le problème de la famine par l'homme, mais la majorité des chercheurs ne sont pas aussi catégorique[réf. nécessaire]. Robert Watson, chercheur du département britannique pour l'Environnement, la Nourriture et les Affaires Rurales, déclarent dans la presse qu'à la question de savoir si les OGM peuvent résoudre la faim dans le monde, « la réponse simple est non »[11]. Il spécifie, entre autre, « Nous devons stimuler l'économie des pays d'Afrique [...] et y travailler pour rencontrer les standards de sécurité alimentaire ».

Sur la toxicité des OGM:

Il est bien entendu, tout à fait possible de créer un OGM toxique si c'était l'objectif visé.[réf. nécessaire] Cependant, les organisme génétiquement modifié que de par quelques gêne ont beaucoup plus de chance d'avoir une composition chimique très près de leur "version" d'origine.[réf. nécessaire] Selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. »[12]. Initialement, les autorisations de mise sur le marché des OGM par la FDA, l'EPA et l'USDA reposaient essentiellement sur l'établissement de l'équivalence en substance appelé principe d'équivalence en substance qui met en oeuvre les méthodes permettant le dosage des différents constituants biochimiques présents dans les organismes GM comparativement aux témoins. Si des différences significatives apparaissent, alors des tests complémentaires sont alors réalisés alors que la réglementation Européenne les demandent a priori (tests de toxicité aiguë, sub-chronique et d'alimentarité).[réf. nécessaire] L'impartialité et l'efficacité de ces test sont souvent remis en question par le Mouvement anti-OGM.

Débat éthiques:

Selon Alain-Michel Boudet professeur de biologie végétale (UPS/CNRS) et membre de l’Académie des Sciences[13], « la génétique, et singulièrement les OGM, nous amène à nous poser la question du rapport à la nature. Je remarque par ailleurs que les plantes hybrides, qui existent depuis longtemps, ne sont pas remises en question alors qu’elles sont obtenues par des mélanges de gènes beaucoup plus incertains quant à leurs agencements et à leurs conséquences. Est-ce la précision et la multiplicité dans la palette d’applications qui participent au rejet des OGM ? [..] mettre un gène de chien dans un maïs provoque a priori un rejet fort et une question sur l’ordre de la nature. Mais si cette transgénèse permettait de soigner des maladies graves et fréquentes, on sent bien que la limite de ce rejet serait largement repoussée. Cette idée qu’on ne touche pas à la nature, n’est pas une règle écrite par l’homme, et elle n’est pas fréquemment exprimée dans l’histoire. L’homme n’a jamais cessé d’avancer dans la maîtrise de la nature. On oppose, par exemple, les OGM au développement durable. Mais on peut aussi se poser la question d’OGM qui, comme beaucoup de techniques, seraient au service du développement durable, au service de la préservation de l’environnement. Si la progression de la connaissance et la maîtrise de la nature me semble inexorables, le problème est de savoir si l’homme peut les utiliser pour son bien être. »

opinions diverses:

La plupart des créationnistes sont fortement opposés aux OGM[réf. nécessaire], car selon eux, Dieu ayant tout créé de façon parfaite, c'est un sacrilège grave de tenter de modifier un génome.

Reprise de la suggestion de MaCRo avec une structure allégée

Les OGM présentent des avantages, dont une partie sont controversés, à la fois sur les plans économique, sanitaire et environnementaux.

L’utilisation de plantes transgéniques permet dans la majorité des cas aux agriculteurs d’accroître la productivité de leurs terres et de diminuer les intrants de pesticides, ce qui réduit l’impact des cultures sur l’environnement[10]. Les petits propriétaires des pays en développement sont selon l’ISAAA les principaux bénéficiaires de l'introduction des OGM[10], mais ce point ne fait pas l’unanimité.

L’ensemble des biologistes s’accordent sur un risque de contamination des plantes sauvages par les nouveaux gènes introduits dans les plantes. Ce risque est pris en compte lors des autorisations de culture ; les autorités sanitaires autorisent l’utilisation d’OGM lorsqu’elles considèrent que le risque d’atteinte à la biodiversité est faible, cependant les mouvements anti-OGM considèrent que le risque demeure trop fort, et que les OGM ne doivent pas être autorisés à la culture.

Concernant les risques alimentaires, l’introduction de nouveaux gènes dans des plantes amnène dans une partie des cas à la production de substances toxiques pour l’homme. Les partisans des OGM considèrent que les échantillons qui satisfont aux tests des autorités sanitaires sont sains à la consommation, et notent d’ailleurs que d’après l’ONU aucun cas d’effet sur la santé humaine n’a été détecté[12]. L’ensemble des risques liés aux OGM ne font pas l'unanimité auprès de tous les acteurs du débat.

Acteurs des débats et traitement médiatique[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM, très actif en Europe, peu au Canada, et minoritaire dans l’opinion publique américaine, communique au public sur les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM. Ils sont considérés par les partisans des OGM comme des opposants au progrès de la science, pénalisant la recherche agroalimentaire et la compétitivité de leur propre pays au profit d’autres.

Les défenseurs de l'utilisation des OGM soulignent les avantages économiques et environnementaux que présenteraient les OGM et s’appuient sur le fait qu'à ce jour les principaux organismes sanitaires et scientifques, comme l’ONU ou le Conseil international pour la science, concluent à une absence de nocivité. Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés, ne s’appuyant « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire[14] ».

Selon une étude de Sylvie Bonny (INRA), le débat autour des OGM en Europe et tout particulièrement en France est focalisé sur les risques et non sur les avantages ; les medias de masse ont adopté une posture critique ou même négative, ont fait de la publicité aux mouvements anti-OGM, et cela expliquerait en partie l'opposition de la société civile. De même, plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que les débats autour des OGM restent scientifiques ; ils considèrent que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Jean de Kervasdoué écrit : « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque[15]. » Dans le reste du monde, selon Marc Van Montagu, le débat serait également « centré sur des arguments émotionnels plutôt que sur l'examen des preuves scientifiques[16]. »

Aspects controversés des OGM[modifier le code]

Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion, qui conduisent à une absence de consensus au sein des opinions publiques nationales, concernant les aspects économiques, environnementaux, et éthiques. Les avantages prouvés ou potentiels apportés par les OGM s’opposent à des risques sanitaires potentiels et à des craintes sur une éventuelle atteinte à la biodiversité.

Les décisions règlementaires des décideurs politiques varient fortement en fonction des pays et des périodes (multiples autorisations en Amérique du Nord ou au Brésil, autorisation de culture puis interdiction en France, etc.). Elles seraient prises sur des bases principalement politiques.

  • Aspects économiques:
    Alors que l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[10], les partisans d'une agriculture paysanne voient au contraire dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale et un prolongement du choix d'une agriculture productiviste qui s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire dans les pays dont la production agricole est principalement destinée à l'exportation[réf. nécessaire][17].
  • Aspects éthiques:
    Des critiques des OGM portent sur la rupture qu'opèreraient les OGM en franchissant la barrière des espèces. Des scientifiques pensent cependant que les modifications génétiques se placent dans le prolongement des opérations de sélection des plantes et des animaux, et d’hybridation réalisées par l’Homme depuis les débuts de l'élevage et de l'agriculutre. Des notions philosophiques ou religieuses sont également invoquées pour analyser et caractériser l’ensemble des enjeux éthiques.
  • Risques sanitaires:
    Des associations et des scientifiques ont émis des doutes sur l’innocuité des OGM sur la santé des consommateurs. Les OGM pourraient contenir des substances toxiques, des allergènes. Pour l’ONU, le Conseil international pour la science, et les autorités sanitaires nationales des pays ayant autorisé les OGM pour la consommation, ces OGM autorisés sont sains.
  • Risques pour l'environnement:
    Les OGM seraient selon les anti-OGM porteurs de risques sur la diversité génétique, provoquant des pollinisations croisées entre plantes parentes.
  • Coabitation avec l'agriculture biologique:
    Le label « agriculture biologique » est soumis à des normes obligeant les produits alimentaires à respecter une teneur en OGM inférieure à 0,9 %. Des cas de « contamination » entre champs OGM et champs d'agriculture biologique peuvent avoir lieu si l’éloigenement entre cultures n’est pas suffisamment grand. Des controverses portent sur une durée de vie des graines longues qui pourraient dès lors se retrouver foruitement dans des champs des années après les cultures d’OGM.
  • Autres:
    Plus de précision sur l'article détaillé débat autour des OGM.

Médiatisation des ogm[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM, très actif en Europe, peu au Canada, et minoritaire dans l’opinion publique américaine, communique au public sur les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM. Ils sont considérés par les partisans des OGM comme des opposants au progrès de la science, pénalisant la recherche agroalimentaire et la compétitivité de leur propre pays au profit d’autres.

Les défenseurs de l'utilisation des OGM soulignent les avantages économiques et environnementaux que présenteraient les OGM et s’appuient sur le fait qu'à ce jour les principaux organismes sanitaires et scientifques, comme l’ONU ou le Conseil international pour la science, concluent à une absence de nocivité. Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés, ne s’appuyant « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire[18] ».

Selon une étude de Sylvie Bonny (INRA), le débat autour des OGM en Europe et tout particulièrement en France est focalisé sur les risques et non sur les avantages ; les medias de masse ont adopté une posture critique ou même négative, ont fait de la publicité aux mouvements anti-OGM, et cela expliquerait en partie l'opposition de la société civile. De même, plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que les débats autour des OGM restent scientifiques ; ils considèrent que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Jean de Kervasdoué écrit : « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque[19]. » Dans le reste du monde, selon Marc Van Montagu, le débat serait également « centré sur des arguments émotionnels plutôt que sur l'examen des preuves scientifiques[20]. »

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[21] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[22]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[23]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[24].Christian Vélot, chercheur au CNRS, et identifié malgré lui comme anti-ogm considère que cette mission est une vocation de l'institution à laquelle il appartient[25].

De leur côté, les acteurs du mouvement anti-ogm regrettent que le public ne soit pas instruit de la question. Par ailleurs, les acteurs du mouvement anti-ogm s'insurgent de la présentation faite par les média d'un mouvement anti-ogm qui serait rétrograde[26]et surtout contre les ogm médicaux quand leur opposition se limite aux ogm agricoles.[réf. nécessaire]

Médiatisation-2[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM, très actif en Europe, communique au public sur les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs.

Les défenseurs de l'utilisation des OGM soulignent les avantages économiques et environnementaux que présenteraient les OGM et estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés, ne s’appuyant « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire[27] ».

Selon une étude de Sylvie Bonny (INRA), le débat autour des OGM en Europe est focalisé sur les risques et non sur les avantages ; les medias de masse ont adopté une posture critique ou même négative, ont fait de la publicité aux mouvements anti-OGM, et cela expliquerait en partie l'opposition de la société civile. De même, plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que les débats autour des OGM restent scientifiques ; ils considèrent que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Jean de Kervasdoué écrit : « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque[28]. » Dans le reste du monde, selon Marc Van Montagu, le débat serait également « centré sur des arguments émotionnels plutôt que sur l'examen des preuves scientifiques[29]. » Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[30]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme »[31]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[32].Christian Vélot, chercheur au CNRS, considère que cette mission est une vocation de l'institution à laquelle il appartient[33].

les acteurs du mouvement anti-OGM s'insurgent de la présentation faite par les média d'un mouvement anti-ogm qui serait rétrograde[34]et surtout contre les ogm médicaux quand leur opposition se limite aux ogm agricoles.[réf. nécessaire]

  1. mention du « anti-GM lobby » (lobby anti-OGM) : (en) GM debate cut down by threats and abuse, Times higher education, 24 octobre 2003 ; Suspicion isn't proof, Telegraph, 07 mars 2004
  2. Résumé des sondages sur les OGM au Québec et au Canada 1994-2004, site de Greenpeace
  3. Voir section #La question des risques sanitaires
  4. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  5. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  6. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  7. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  8. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  9. [PDF]Analyse scientifique de Monsanto, pages 5
  10. a b c et d [PDF] (en) Rapport 2006 de l'ISAAA, retrospective sur 10 ans, pages viii, xv, 36, 40
  11. (en) Geoffrey Lean, « Exposed: the great GM crops myth »], The Independent, 20 avril 2008, article consulté le 22 avril 2008
  12. a et b Selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. », p. 3, [PDF] (fr) « 20 questions sur les aliments transgéniques », sur le site de l’ONU (consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « ONU » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  13. Entretien agrobiosciences, 28 octobre 2003
  14. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  15. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  16. (en)Hungary overreacting on GMO issue, claims expert
  17. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  18. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  19. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  20. (en)Hungary overreacting on GMO issue, claims expert
  21. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  22. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  23. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  24. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  25. Fondation science citoyenne Présentation de Christian Vélot mars 2008
  26. Du danger des OGM médicaux Leur culture en plein champ présente des risques de contamination non maîtrisés Fondation science citoyenne septembre 2003
  27. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  28. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  29. (en)Hungary overreacting on GMO issue, claims expert
  30. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  31. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  32. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  33. Fondation science citoyenne Présentation de Christian Vélot mars 2008
  34. Du danger des OGM médicaux Leur culture en plein champ présente des risques de contamination non maîtrisés Fondation science citoyenne septembre 2003