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Je lis « une série d'harmoniques, dans un rapport rationnel ou irrationnel avec la fréquence fondamentale. » Si ce sont des harmoniques, c'est qu'ils sont dans un rapport rationel avec la fondamentale. Qu'ils le soient ou non, ce sont des partiels, comme l'indique du reste l'article Partiel (acoustique) -- PolBr (discuter) 16 décembre 2013 à 00:12 (CET)[répondre]
Il y a une erreur dans le schéma présenté : la Note de départ est doublement octaviée (c'est-à-dire à la 15e inférieure (Hé, hé ! 2 x 8 = 15). Pourquoi ne pas l'écrire simplement deux lignes supplémentaires en-dessous de la clé de fa "normale" ? — Hautbois[canqueter]7 juillet 2010 à 11:16 (CEST)[répondre]
Il est communément admis que l'intervalle de fréquences audibles par l'être humain est compris entre 20Hz et 20 000 Hz, comme par exemple le mentionne ces articles de : Champ auditif, [1], [2], [3]
Cet intervalle est majoritairement admis et très répandu sur internet.
Cette valeur est discutable à l'infini, puisque les limites en fréquence des sons perceptibles dépendent du volume du son, de sa nature (son pur ou complexe), de la procédure choisie pour les expériences. La valeur 20Hz-20kHz est la valeur publicitaire retenue pour la Hi-Fi. Les ouvrages de psychoacoustique retiennent plutôt 16-16k, tandis que la radiodiffusion analogique a adopté 50-12500. Pour ce qui importe dans un article c'est que la valeur citée corresponde à celle de la source en référence. Dans le cas de Spectre sonore, C'est Castellengo 2015, qui a l'avantage d'être centrée et récente. On pourrait citer aussi Laurent Demany, « Perception de la hauteur tonale », dans Botte & alii, Psychoacoustique et perception auditive, Paris, Tec & Doc, , avec une rapide discussion de la question, longuement développée dans (en) Hugo Fastl et Eberhard Zwicker, Psychoacoustics: Facts and Models, Springer, (ISBN978-3-540-23159-2).
Dans d'autres articles, la concordance entre la source citée et le texte a explique qu'il peut y avoir des limites différentes (minimes en l'occurence, d'un tiers d'octave). Cordialement, PolBr (discuter) 16 avril 2023 à 15:11 (CEST)[répondre]
Bonjour,
Merci de votre argumentation détaillée. Dans l'absolu, je partage votre avis sur le fait que ces valeurs 20 Hz à 20 kHz peuvent être discutées puisqu'elles n'ont pas de caractère absolu. Néanmoins un consensus se dégage pour admettre l'échelle que je mentionne, que ce soit sur Wikipedia ou ailleurs [4][5][6] donc y compris de l'ANSES. Sauf erreur de ma part, si un maximum d'occurrences sur le web arrive aux mêmes données, c'est ce qui devrait être retenu.
Je ne vois pas comment on pourrait écrire 20-20k avec comme source un ouvrage qui indique 16-16k, au motif la plage indiquée est plus populaire (du fait de la publicité du « Hi-Fi » dans les années 60). PolBr (discuter) 16 avril 2023 à 18:10 (CEST)[répondre]
Geiss : En outre, l'intervalle 20-20k est strictement celui de la Hi-Fi. Les courbes d'égale perception sonore, s'interrompent à la fréquence de la série normalisée des tiers d'octave, 16k. Les limites du domaine audible selon Fastl et Zwicker 2006, p. 17, aussi dans Mario Rossi, Audio, Lausanne, Presses Polytechniques et Universitaires Romandes, , 1re éd. (ISBN978-2-88074-653-7) sont indéfinies au delè de 16k, mais en aucun cas ne vont jusqu'à la limite du graphe à 20k. Cordialement, PolBr (discuter) 16 avril 2023 à 18:33 (CEST)[répondre]
"Un son pur est une vibration sinusoïdale de l'air", c'est exact.
"à une certaine fréquence et avec une certaine amplitude", en revanche est moins exact. Un son reste sinusoïdal et donc pur si sa fréquence ou son amplitude varient lentement. En musique, une variation lente de l'amplitude d'un son (sinusoïde ou autre) s'appelle "trémolo", alors qu'on appelle "vibrato" la variation de la fréquence. Dans les deux cas, le son reste pur. Au contraire, si fréquence ou amplitude varient très rapidement, des partiels sont créés, en fonction de l'amplitude des variations..
La définition du son pur implique l'existence d'une fréquence et d'une amplitude constantes. Les sons purs appartiennent exclusivement au domaine de la théorie. Il s'agit d'une épure, d'un concept explicatif. Si la fréquence ou l'amplitude varie, que ce soit lentement ou pas, le son n'est plus exactement pur. Cette définition mathématique est indispensable à l'analyse spectrale. Vous pouvez très facilement faire l'analyse spectrale du trémolo que décrit l'équation : vous obtenez deux sons purs . Même raisonnement avec le vibrato : même mathématisés à l'extrème, ce ne sont pas des sons purs.
Je suis d'avis de ne pas confondre musique et mathématique. La musique non seulement n'a pas de son -- même approximativement-- pur, mais encore les a en horreur : c'est pourquoi il y a de grands orchestres, des instruments fortement inharmoniques (cuivres), des trémolos et des vibratos, des accords joués au piano avec l'accord au tempérament égal. On parle de sons riches. L'analyse spectrale exige des mathématiques, qui lui assignent aussi, avec le principe d'incertitude, des limites de précision.
On ne saurait supprimer ce que vous souhaitez : cela fait partie de la définition.