Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Erik Bovin, a été validée par Fanfwah et va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil après un passage dans l’antichambre Épidémie :
La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités
(surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents.
Directement publiée en page d'accueil en 2007. [indice de similitude 7.6/10]:
n/aLa plus ancienne trace du VIH provient d’une analyse datant de 1959, faite en Afrique, ce qui corrobore l’origine simienne de ce virus.
Proposée par Fanfwah le 29 septembre 2017, et rejetée le 24 octobre 2017 (voir la discussion archivée). [indice de similitude 5/10]:
En 2016, l'UE et les USA ont protesté lorsque l'ONU a exclu les ONGLGBT d'une réunion sur l'éradication du VIH, sous la pression de l'OCI.
Temps d'exécution total : 1 sec (détails : travail du bot: 1 sec, lecture des anecdotes en base: 62 millisecondes)
Discussion :
J'ai repris la tournure de l'article mais peut-être que les moins averti-e-s risquent de ne pas comprendre les termes techniques ("zoonose", "simienne") ? --EB (discuter) 17 avril 2020 à 00:49 (CEST)[répondre]
Bon, je n'avais pas vu qu'il y avait déjà eu une publication sur le sujet... mais elle n'est pas un peu maladroitement tendancieuse, la publication de 2007 ? --EB (discuter) 17 avril 2020 à 01:38 (CEST)[répondre]
Par rapport au doublon, on peut plaider que ce qui était corroboré est maintenant reconnu, et que la datation estimée, ici mise en avant, était absente. --Fanfwah (discuter) 17 avril 2020 à 10:46 (CEST)[répondre]
« Vérité » aujourd'hui, « imposture » demain. Cette histoire de virus baladeur et de gens convaincus d'avoir « trouvé » ce qu'on ne leur demande pas de chercher ne présente pas un grand intérêt. De plus l'emploi du conditionnel ne fait jamais une bonne anecdote (sauf si cela présente un côté « énorme », mais là, bof...)--JPCdes questions ?17 avril 2020 à 13:11 (CEST)[répondre]
40 ans d'expérience dans le domaine hospitalo-financier m'autorisent à penser que les chercheurs ne cherchent que dans le sens où les intérêts économiques font pencher la caisse. La recherche médicale coûte chère, elle demande de très lourds investissements avec un plateau technique en renouvellement accéléré (et géré en "pôle de compétitivité"), employant des personnes hyper qualifiées. Le secteur privé représente, en France, 70% de l’activité et ce ne sont pas mécènes. C'est tout.--JPCdes questions ?17 avril 2020 à 17:41 (CEST)[répondre]
Autrement dit, ce qu'on peut reprocher aux chercheurs, c'est de ne chercher que dans le sens où « on » (en l'occurrence, « les intérêts économiques ») leur demande de le faire. Dans ce sens-là, je comprends mieux. --Fanfwah (discuter) 17 avril 2020 à 18:03 (CEST)[répondre]