Discussion:Opération de récupération de cadavres suspendus dans le Mont Tanigawa

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Deux zones d'ombre[modifier le code]

Il y a pour moi deux zones d'ombre un peu dans cette affaire (c'est moi qui ai traduit l'article en japonais), j'ai cherché sur internet mais je n'ai pas trouvé et l'article en japonais n'est pas non plus très clair là-dessus.

1 Comment se fait-il que les deux personnes soient mortes alors qu'elles étaient pourtant attachées avec des cordes. 2 Comment est-ce que les autorités pouvaient être sur que les deux alpinistes étaient bel et bien morts, puisque avec une simple observation avec des jumelles, même minutieuses (les corps étaient à plus de 200m du sol), ça me semble difficile de conclure à un décès, peut-être que les deux personnes ont juste perdu connaissance non ?

J'ai cherché d'autres sources sur internet, mais je n'ai pas réussi vraiment à trouver une réponse satisfaisante à ces deux questions, si d'autres ont plus de chance (toutes les sources sont en japonais par contre à ma connaissance), ce serait sympa d'enrichier l'article là-dessus.

Je vais poser ces deux questions sur la page en japonais tiens, comme ça il y aura peut-être des réactions --Furansowakun (discuter) 28 septembre 2014 à 19:14 (CEST)[répondre]

Non. S'agit pas de zones d'ombres, mais des logiques de l'alpinisme et du secours en montagne (1960!). Pour moi, les formulations sont correctes, et ont retrouve d'ailleurs les même formulations pour les récits actuels sur les accidents/secours en montagne.
  • être encordé n'empêche ni de chuter ni de mourir : progression en corde tendue, ancrage arraché, choc qui tue, etc.
  • Les secouristes (montagne) savaient que les gars étaient morts (ou bien que c'était tout comme avec le temps nécessaire pour les approcher). Conditions montagne, évaluation de la hauteur de chute, aspect désarticulé des corps, etc. En plus, immobile et suspendu dans le baudrier, une personne meurt avant 1-2 heures d'arrêt cardiaque (syndrome du harnais). Pas les mêmes logiques que pour l'accident domestique. Même à notre époque dans les Alpes, les secouristes qui survolent les corps en hélico estiment « ils sont morts » (et prennent les décisions secours en rapport), avant d'envoyer éventuellement le médecin sur place faire la constatation.
Bref, y'a rien de bizarre dans le récit pour celui qui est familier de la montagne. -- Irønie (discuter) 15 mai 2015 à 15:08 (CEST)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 06 mai 2024 à 13:00)