Discussion:Hydrogénoarsénite de cuivre
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Vert de Paris
[modifier le code]Le vert de Paris me semble être l'acéto-arsénite de cuivre & l'arsénite de cuivre, le vert de Scheele. François GOGLINS (d) 25 septembre 2011 à 18:19 (CEST).
- p-ê bien d'autant que le plus grand méli-mélo semble régner aussi dans la chimiebox de cet article. J'ai exposé le prob dans Discussion Projet:Chimie --The Titou (d) 25 septembre 2011 à 19:04 (CEST)
Texte à utiliser pour un artcile sur le vert de Paris
Le Vert de Paris est le nom commun pour l'arsénite de cuivre, ou "Pigment vert CI 21", un produit chimique bleu-vert très toxique. Il est utilisé dans quatre principales fonctions :
- pigments,
- poisons pour animaux (le plus souvent rodenticides),
- insecticides,
- colorant bleu pour les feux d'artifice.
Ce pigment Vert de Paris, fut très utilisé autrefois par les artistes peintres. La luminosité de ce pigment n'a pas été compensée par des pigments modernes de la chimie. L’imitation moderne est appelé "vert permanent".
Il était autrefois utilisé pour tuer les rats dans les égouts parisiens, d'où le nom commun de "Vert de Paris". Il fut également utilisé en Amérique et ailleurs comme produit insecticide sur les pommes. Vers 1900, il fut mélangé avec de l'arséniate de plomb. Ce mélange très toxique aurait brûlé les mauvaises herbes autour des arbres et les arbres également.
Les artistes préparaient leur propre peinture à l'huile avec le "Vert de Paris" obtenu à partir d'un mélange toxique. Les vapeurs toxiques de l'arsenic se dégagent de la peinture finie. Des impuretés mais également les molécules se dégradent spontanément. La création d'un gaz pyrophorique très toxique l’arsine issu de l’arsenic. Le peintre Cézanne utilisa beaucoup de Vert de Paris. Ce pigment fut également largement utilisé par d'autres artistes de cette époque, tel que Van Gogh. Cézanne développa un grave diabète qui est un symptôme chronique de l’intoxication à l’arsenic. La cécité de Monet et les troubles neurologiques de Van Gogh furent très certainement liés à leur utilisation du Vert de Paris, mais également par l’intoxication aux pigments de plomb, à base de mercure Vermillon, et des solvants tels que l'essence de térébenthine.
Liens externes
[modifier le code]Écosse
[modifier le code]L'affirmation de la présence d'arsenic dans les bonbons se fondant sur une mauvaise lecture de la source (qui n'est plus visible que dans l'archive, je la retire :
« par exemple dans le blanc-manger de Greenock : depuis, les bonbons de couleur verte ne se vendent plus en Ecosse<ref>« Media Release »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Aberdeen Web Team, University of Aberdeen Web Team</ref> »
était censé rendre compte de
« In the 19th century the people of Greenock had a fatal fascination for green, often observed in papers used to line grocers shops and in lurid green food colouring used for sweets and cake icing. Unfortunately the green colour was achieved using poisonous arsenic pigments. A cake decoration so coloured had the inscription "for the bairnies" - it contained seven times the fatal adult dose of arsenic. This experience pervaded the Scottish attitude to green confection well into the 20th century with the Professor of Forensic Medicine at Glasgow University in 1954 stating "Fewer green sweets are sold in Scotland than in any other country" going on to say "It is astonishing why the idea of green colour in confections should suggest the stupid impression that arsenic is present". »