Discussion:Format de fichier audio

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Il y a une raison pour utiliser ces cadres pas très esthétiques ? Metoule 3 août 2006 à 17:51 (CEST)[répondre]

sorry, mais je ne me sers pas encore très bien des possibilitées de graphisme de wikipédia, cela viendra j'espères ;-) Tienstwatrankil 17 décembre 2006 à 17:00 (CEST)[répondre]

plus de 16 bits...[modifier le code]

Aujourd'hui, la norme CD a prouvé ses limites, tant au niveau de sa fréquence d'échantillonnage, que dans sa définition de 16 bits. Aidé par les nouveaux supports informatiques, le son peut être numérisé en 24 bits, voire 32 bits. La fréquence quant à elle est passée à 96 ou 192 Khz. Cette avancée nous permet d'avoir un son plus dynamique et plus détaillé dans les transitoires donc d'être plus proche de l'oreille humaine.

Ici, il est dit que les meilleurs personnes entendent jusqu'à 24khz, mais que la moyenne n'entend rien au delà de 15khz. http://fr.wikipedia.org/wiki/Acuit%C3%A9_auditive

La norme CD est à 44,1khz soit une bande passante max de 22khz proche du maximum humain et largement au dela de la moyenne.

Quand a la précision de 16 bits, elle correspond à un rapport signal sur bruit de 96 db. Une précision 24 bits monte à 144 db. Du materiel hifi de qualité à du mal à garder un rapport s/b supérieur à 100db. Donc, dans les faits, un son 24 bits n'est exploité réellement que sur 18 ou 19 bits sur du materiel haut de gamme.

Mais il y a pire. La plus part des CD audio actuelles sont mal enregistrés. Le son est souvent enregistré trop fort ce qui produit des écrétages qui détruient complètement la qualité à ce moment là. De plus, des filtres anti-bruit de fond sont appliqués qui détruisent ou modifie les hautes fréquences.

Bref, tous ces nouveaux formats ne servent pas à grands choses. A part pour renouveler une 3ième fois sa collection de disques.

Il y a eu des essais bien plus impressionnant avec des enregistrements multipistes avec restitution 3D au travers de "murs" sonores qui permettent de situer chaque instrument d'un quatuors par exemple.

Intéressantes remarques, mais l'article ici présent ne ce veux qu'une réflexion sur les possibilités des différents codec. Ceci dans des conditions par forcement d'écoute mais aussi d'enregistrement, d'archivage, ou que sais je. La "norme CD" est sans doute suffisante pour la plupart des auditeurs, soit. Mais il y a aussi les paramètres psychoaccoustiques qui entre en jeux, les infra basse ou des sons au delà de 20 khz sont parfois perçu par une partie de notre corps. Et puis surtout, pour parler de l'enregistrement, le 24 bits voir le 32 bits est accueilli par les gens du son avec grande joie pour la raison que vous évoqué justement : comment utiliser au moins 16 bits tout en ayant de la réserve si le son augmenter lors de l'enregistrement. Vous admettrez donc que la norme CD dans ce genre de cas montre belle et bien ces limites - Blitz Christophe - 2/10/2007
<< Mais il y a pire. La plus part des CD audio actuelles sont mal enregistrés. Le son est souvent enregistré trop fort ce qui produit des écrétages qui détruient complètement la qualité à ce moment là. >> => http://en.wikipedia.org/wiki/Loudness_war

Travaux - structure - mises à jour[modifier le code]

Cet article a besoin d'être mis à jour et organisé autour des deux familles de fichiers :

  • Les formats de captation (enregistrement source) et de production (peu nombreux)
  • Les formats de diffusion (très nombreux)

Un autre aspect qui mérite d'être développé est celui des métadonnées celles qui sont basiques et celles à disposition des créateurs de codec, les sous-formats multipiste (comme le MBWF et le RF64) et le XML ainsi que le iXML. La tâche est complexe puisque cet article est censé renvoyer aux articles détaillés de chaque format décrit qui eux aussi donc méritent d'êtres enjolivés Émoticône sourire . Cordialement — Wfplb [blabla] 6 décembre 2009 à 13:09 (CET)[répondre]

Format JO[modifier le code]

Retiré de la section formats propriétaires

« JO

le Jo est un format audio écrit pour une utilisation sous linux. Il peut se trouver sous cinq formes, de 2 octets à 5 octets par fronts. Il peut se trouver aussi sous forme d'application écrite en C qui construit les variations des fronts et se nomme alors adn. Nous pouvons encore le rencontrer sous une autre forme qui n'est que la représentation en ASCII des octets, il se nomme alors joa »

Propriétaire et Linux ? Que signifie la description ? PolBr (discuter) 24 janvier 2014 à 19:27 (CET)[répondre]

  • Il faut des sources.
  • d'après www.openthefile proprietary format = format particulier
  • d'après linux-audio.4202.n7.nabble.com « j'ai créé un nouveau format audio destiné à linux. Je suis à la recherche d'aide pour finir le langage C, pour tester, et pour créer une nouvelle générationde carte audio. J'arrive à créer des fichier audio avec des voix humaines de plusieurs Ko avec seulement 10 octets. », le 29 juin 2011. On demande à ouir cette compression merveilleuse.
  • www.letime.net semble être la page du projet qu'elle décrit dans des termes inhabituels. Pourrait être une synthèse par ondelettes. Ne semble pas avoir de procédé d'acquisition audio.

Ce format ne me semble pas réunir les conditions de notoriété pour figurer dans un article, et je n'arrive ni à le situer, ni à écrire une synthèse de la page citée.

PolBr (discuter) 24 janvier 2014 à 19:47 (CET)[répondre]

Bonjour,
"Pourrait être une synthèse par ondelettes" sont des termes décalés, et une totale incompréhension du format audio.
"Ne semble pas avoir de procédé d'acquisition audio." Ceci est totalement faux, je donne de quoi modéliser et capturer.
"pas réunir les conditions de notoriété" Si le format n'avais pas les conditions, comment se fait-il qu'il soit sous wikimedia ? Il suffit de gratter un peu pour voir qu'il les remplit largement et je ne vais pas reprendre ici le travail d'inventaire fait pour wikimedia.
Sincèrement, je me satisfais des traces que laissent les propos comme celui-ci qui montrent la crédibilité des "juges" et de ceux se présentant comme sachant.
Quand les discutions courtoises tournent au lynchage sans support de réalité, je me marre d'avoir la tache aussi facile pour dénoncer. Je ne cherche même plus à prouver, tellement les attaques sont grossières et rend les intervenants honteux.
sans signature ni date (2 février 2014 à 18:46‎ 9temps (discuter | contributions)‎

Aucun lynchage ici.

  • C'est précisément parce qu'il n'y a pas de juge que vous devezappuyer votre contribution sur une publication fiable. Wikipedia:Citez vos sources vous indique ce qu'on entend par publication fiable. Au contraire, vous faites apparaître votre contribution comme le compte-rendu d'un travail original. Les recherches originales ne sont pas admissibles dans wikipedia, pour la simple raison qu'une encyclopédie participative ne dispose pas de comité de lecture de personnes compétentes. Nous devons nous en remettre à d'autres pour discerner les illusions des innovations. Les critères d'admissibilité donnent des idées sur la façon dont les contributeurs ont réfléchi à ce problème.
  • S'agissant d'un format créé sous Linux, on peut estimer qu'à défaut d'une communication dans une revue à comité de lecture, la présence dans une des distributions serait une preuve de notoriété. Je n'ai trouvé que les posts du concepteur.

PolBr (discuter) 2 février 2014 à 22:59 (CET)[répondre]

Suppression[modifier le code]

Relecture, et suppressions

  • CDA (CDA ne contient pas de données audio.
  • RAW : pas de documentation. En tout état de cause, ce n'est pas un codec.

PolBr (discuter) 15 juillet 2016 à 10:15 (CEST)[répondre]

Le codage des sons[modifier le code]

« Les formats de codage audio dérivent d'études psychoacoustiques »

Cette affirmation ne tient pas compte des formats de codage sans pertes. C'est pour cela que je l'avais changée.

Que pensez vous de ça :

Les formats de codage audio ont pour objectif de limiter la quantité d'information dans le signal de façon à réduire le débit (et donc le poids du fichier).
Dans le cas des codages avec compression irréversible, les procédés dérivent d'études psychoacoustiques, de façon à  ce que l'altération du signal tienne compte de la perception humaine des sons et de la qualité de reproduction qu'elle tolère.

AdrienGF (discuter) 16 juillet 2016 à 14:50 (CEST)[répondre]

Tous les formats dérivent d'une étude d'ordre psychoacoustique et d'une autre, d'ordre économique. Si on n'avait pas commencé l'enregistrement numérique sur des magnétoscopes déjà existants, la fréquence d'échantillonnage du CD ne serait pas 44.1 kHz.
  1. La formulation initiale doit tenir compte de tous les contextes que l'article présente. Supposons que vous disposiez d'un canal à 56kbits/seconde (téléphonie). L'encodage avec pertes est le PCM (f=7kHz, q=8bits μ) : vous perdez beaucoup moins de signal avec un échantillonnage à 22 kHz 16 bits suivi d'un codec psychoacoustique, rapport 6.
  2. Il en va de même, avec moins d'évidence, pour l'ensemble des encodages. L'encodage avec pertes est celui qui sonne moins bien. Le 16 bits 44.1 kHz sans dither des premiers CD sonne certainement moins bien qu'un enregistrement effectué avec dither et proprement réduit par un codec psychoacoustique à 300 kb/s VBR (rapport 4.7). Le premier a un bruit de quantification corrélé au signal, ce qui équivaut à payer en termes de taille de fichier pour ajouter de la distorsion, le second élimine des informations inaudibles. Une étude psychoacoustique a conclu que le bruit non corrélé du dither était moins sensible que le bruit, plus faible mais corrélé, de l'enregistrement sans dither : psychoacoustique à l'œuvre dans le format PCM.
  3. Les codages sans pertes sont évidemment le fruit d'une étude économique, puisqu'ils dépendent de l'étude psychoacoustique de leur source. Plus faible taille de fichier, contre nécessité de plus de traitement à la lecture.
La rédaction que vous proposez me semble donc inutilement limitative. Les formats de codage audio ont pour objectif de transmettre à un auditeur humain un signal sonore, avec le moins possible de données. Les études psychoacoustiques déterminent ce qui est audible dans le signal. Elles envisagent aussi l'impact respectif et comparé de la présence d'éléments qui ne devraient pas faire partie du signal et du manque d'autres, qui devraient s'y trouver. Les études économiques proposent des options qui associent une qualité de reproduction, c'est-à-dire l'existence dans le signal d'éléments qui ne devraient pas s'y faire entendre et l'absence de sons qui devraient être audibles, à des dépenses en poids de fichier. PolBr (discuter) 16 juillet 2016 à 16:30 (CEST)[répondre]

Sections renommées[modifier le code]

Le nom de la section suivante était bien trop vague.

  • Formats Audio

Le noms des sections

  • Codecs audio de données brutes
  • Codecs audio avec compression réversible
  • Codecs audio avec compression irréversible

impliquaient le terme codec, qui peut signifier Codage-décodage (méthode) ou bien Codeur-décodeur (dispositif). On trouve souvent sur wikipedia des définitions qui vont dans le sens du dispositif.

Personnellement je ne me prononce pas sur cette question, je pense juste que le terme format de compression (employé par Jean-Noël GOUYET dans Formats-conteneurs de médias numériques aux éditions Techniques de l'ingénieur) est bien plus approprié et moins sujet à confusion.

Je pense également que l'article devrait être renommé en Formats Audio, puisqu'il traite des formats de fichier et des formats de compression dont certains sont dédiés à la téléphonie et d'autre s'emploient aussi en streaming. On pourrait ainsi y ajouter une section sur les formats de transmission (AES, SPDIF, ADAT, I2S, etc..) qui ne sont pour l'instant rassemblés nul part sur wiki.

AdrienGF (discuter) 17 juillet 2016 à 16:56 (CEST)[répondre]

J'en suis bien d'accord ; je pensais plutôt à la solution inverse, suppression des formats de flux téléphonie et streaming pour que le contenu corresponde au titre. Il fallait demander l'opinion des auteurs respectifs. Le principal, Tienstwatrankil (d · c · b), n'a plus contribué depuis 2009. Il avait créé la page déjà avec les formats d'audio téléphoniques. J'ai donc laissé tomber. PolBr (discuter) 17 juillet 2016 à 19:45 (CEST)[répondre]

Le 15 juin 2019 à 09:19 Domsau2 (d · c · b) a ajouté au début de Formats de fichiers audio « Bien qu'il existe quelques formats de fichier ASCII et des convertisseurs, ils sont presque tous binaires ». 1. Il faudrait pouvoir citer un format existant réellement, qui utilise des ASCII. 2 On peut convertir tous les formats en ASCII, de diverses manières ; on divise le flux en hexets (six bits), qu'on fait équivaloir aux six bits (hors caractères de contrôle, dont l'effet sur un programme pourrait aboutir à un désastre) du code ASCII. Cette transposition qui permet de passer sur des canaux qui ne supportent qu'ASCII, avec un type MIME adéquat, ne fait pas partie de la définition du format de fichier audio. Comme la numérisation de l'audio ne produit que des nombres, utiliser des codes ASCII avant n'a pas de sens. PolBr (discuter) 31 août 2019 à 21:36 (CEST)[répondre]