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Discussion:Affaire de la profanation du cimetière juif de Carpentras

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Le titre le plus exact pour cet article ne serait-il pas plutôt : "affaire de la profanation du cimetière juif de Carpentras" ? Franckiz {m'écrire} 6 septembre 2007 à 04:27 (CEST)[répondre]

D'accord avec cela ! --Ampon 6 septembre 2007 à 09:56 (CEST)[répondre]

C'est fait. Franckiz {m'écrire} 6 octobre 2007 à 13:53 (CEST)[répondre]

Référence nécessaire[modifier le code]

J'ai enlevé le [réf. nécessaire] car les éléments de cet article sont repris des références cités en bas. Felipe ° 6 octobre 2007 à 16:28 (CEST)[répondre]


Le documentaire d'Arte "Jeux de rôles à Carpentras" de 1998[modifier le code]

Le documentaire d'Arte "Jeux de rôles à Carpentras" a parfaitement mis en lumière la manière dont a été orchestrée les pressions sur la juge, pour qui travaillait le préfet de la république ("qui n'en avait que le nom", sic le narrateur du documentaire), en liaison avec un membre des services généraux à son compte et le présentateur de Témoins numéro 1 (leur conversation ont été enregistrées par les RG qui surveillaient également leurs agissements), qui fut ensuite écarté des émissions télévisées suite à la révélation de son implication dans l'opération.

L'acharnement télévisuel contre le jeu de rôles était lié, selon le documentaire, au fait que le fils du maire de Carpentras était un joueur de rôles. Si la juge cédait au pression du préfet et de témoins numéro 1, le jeune homme aurait été mis en prison, et le RPR qui convoitait alors la mairie, augmentait ses chances de remporter les élections.

Toutes les attaques contre le jeu de rôles venaient d'un seul médecin, introduit à la télévision par Mireille Dumas.

Le reportage d'Arte souligne que les medias ne relèvent pas que la date de la profanation correspond à l'anniversaire de la mort d'Hitler (point à vérifier si vous avez l'occasion de revoir le documentaire). Il souligne que le Front National est directement mélé à l'affaire, car les profanateurs en étaient proches. Le Front National espérait aussi profiter de la mise en examen du fils du maire pour remporter la mairie.

Le reportage contient de nombreux interviews, et les extraits des transcriptions des conversations enregistrées par les renseignements généraux.

Sources : http://www.artepro.com/fr_fichiers/fichiers/01677975.pdf http://www.artepro.com/programmes/23883/presentation.htm

Les rumeurs de Carpentras[modifier le code]

La ville de Carpentras n'en est pas à sa première rumeur.

C'est un cas d'école que j'ai étudié lors de mes études de droit : les tenanciers juifs de boutiques de modes de Carpentras furent accusés de faire la traite des jeunes filles blanches. La rumeur fourmillait de détails sur par exemple la manière dont les salles d'essayages étaient aménagées avec des trappes et ainsi de suite. Tout était faux bien entendu, à commencer par le fait qu'aucune jeune fille n'était portée disparue.

c'est pas à Orléans plutôt ça ? y'a un bouquin là-dessus en tous cas. 82.225.164.246 (d) 2 août 2011 à 12:34 (CEST)[répondre]

à vérifier[modifier le code]

entre autres sourcé avec un site non neutre car antisémite www.zundelsite.org. Galufa (d) 30 décembre 2007 à 16:05 (CET)[répondre]

La source en question est en effet non neutre, je l'ai donc enlevée. Par conséquent je propose que l'on enlève le bandeau à vérifier. Assalit (d) 5 mars 2008 à 23:29 (CET)[répondre]

Erreur de formulation?[modifier le code]

Dans l'article il est ecrit:
Pour Yves Bertrand, la profanation du cimetière de Carpentras fut une manipulation anti-FN orchestrée par François Mitterrand[5]. Celui-ci aurait alors voulu empêcher toute possibilité d'alliance entre le Front national et la droite parlementaire.
Je suppose que ce dont il est question c'est de la mediatisation de l'affaire et non de l'affaire elle meme, a moins que Yves Bertrand considere comme nuls les aveux qui ont mene au denouement de l'affaire ce qui serait tout de meme tres etonnant. En l'etat la phrase laisse planer des soupcons de type theorie du complot pour le moins facheux.--Kimdime69 (d) 29 mars 2008 à 19:19 (CET)[répondre]

manque de neutralité du fait de l'utilisation de "néonazi"[modifier le code]

Aucune référence n'est citée pour cela, c'est donc un parti pris, alors que le terme néonazi est utilisé tout au long de l'article. Les seules justifications par l'Humanité et Libération ne sont pas acceptables en terme de neutralité étant donné que ces journaux considèrent le FN comme néonazi. Dans les articles de ces journaux, tout est utilisé sans subtilité, skins, facho, néonazi, etc... ; alors qu'il y a des skins d’extrême gauche, et qu'on ne peut pas confondre un nationaliste, un fasciste et un nazi (même néo). Quand au PNFE, sur wiki il est lui-même défini comme : "groupuscule nationaliste, qualifié d'extrême droite par des observateurs bien que son président le décrivît comme « ni de gauche, ni de droite mais nationaliste". Enfin, l'antisémite n'est pas l'apanage des néonazis. De mon avis, il faut soit utiliser le terme de "nationaliste" soit il faut prouver que les condamnés aient appartenu ou étaient sympathisants d'un mouvement reconnu comme néonazi par une source neutre.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 83.156.159.205 (discuter), le 19 août 2013

Consulter d'autres sources de l'époque permet d'y trouver des analyses sur ce groupuscule comme Le Monde ou L'Express qui le qualifient également de néonazis. Un ouvrage universitaire de 2017 sur l'extrême droite en Europe l'analyse également dans ce sens. Accessoirement, "source neutre" ne veut rien dire : vous confondez avec la neutralité de point de vue qui est une manière globale de présenter les informations sur Wikipédia, détaillée ici : Wikipédia:Neutralité de point de vue. --Eunostos|discuter 16 juin 2024 à 23:06 (CEST)[répondre]

Citation d'Hubert Védrine : une source imprécise et détournée[modifier le code]

Dans "Conséquences politiques", une phrase cite Hubert Védrine : « Hubert Védrine, conseiller de François Mitterrand et porte-parole de la présidence de la République (), a déclaré, sur France Culture le , à propos de ces événements : « Carpentras, c'était une manipulation, largement ». »

Cette phrase n'est pas satisfaisante pour un article d'encyclopédie. En effet, on ignore ce que Védrine veut dire : pourquoi était-ce une manipulation ? De qui par qui, pour quoi faire ? Bref, c'est beaucoup trop vague pour un article rédigé dans un style encyclopédique digne de ce nom (Aide:Style encyclopédique). J'ai donc écouté l'interview entière (qui dure 6 minutes) pour tâcher de clarifier ce passage. Il s'agit d'une brève interview sur France Culture de 2015, peu après les attentats contre Charlie Hebdo : « La tuerie de Charlie Hebdo : la possibilité d'un moment historique grâce à l'unité du peuple français », Le Monde selon Hubert Védrine, sur radiofrance.fr, France Culture, (consulté le ).

Malheureusement, l'écoute de l'interview complète ne clarifie qu'une chose : c'est que Védrine ne dit rien de précis au sujet de Carpentras. Il ne fait qu'affirmer qu'on ne peut pas comparer les attentats de Charlie Hebdo avec l'affaire Carpentras... et c'est tout. En l'état, cette source ne sert donc à rien. Pire : prise hors contexte, elle se prête à une lecture complotiste. Insérée dans le contexte de l'article dans son état actuel, elle semble sous-entendre que globalement tout est de la faute de Mitterrand, alors qu'en écoutant la source on ne peut absolument pas savoir ce que Védrine voulait dire. C'est donc un détournement de source. Je supprime donc ce paragraphe puisqu'en l'état la source ne peut apporter aucune information précise à l'article.--Eunostos|discuter 16 juin 2024 à 22:25 (CEST)[répondre]