Discussion:Émissivité

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--Jojo V (discuter) 21 mai 2016 à 14:59 (CEST)[répondre]

Merci à Jojo V pour cette refonte complète de l'article. Cependant, le résumé introductif ne respecte plus les recommandations. Il est désormais impossible de comprendre ce qu’est l’émissivité en lisant seulement l’introduction, alors que le résumé précédent, même si pas assez précis pour un non-spécialiste, vulgarisait bien la notion. De plus, les formules TeX doivent aussi respecter certaines règles typographiques : les différentielles s’écrivent en romain () et les opérateurs également (, …). — Flo, le 18 mai 2016 à 22:49 (CEST)[répondre]

Notification Jojo V : Je n'ai pas relu l'intégralité de l'article, mais je suis d'accord avec Flo (d · c · b) au sujet du RI. Il ne respecte pas les conventions d'usage, n'explique pas de façon simple, les sources devraient être placées dans le corps de l'article, etc.
Pour la suite la typographie mathématique n'est pas respecté ce qui va demander beaucoup de travail de retouche.
En outre, je suis aussi très géné par la suppression d'autorité du tableau réunissant des valeurs typiques d'émissivité des matériaux.
Le premier coup d'oeuil est plutôt inquiétant en tout cas ; une explication serait la bienvenue.
Ellande (Disc.) 19 mai 2016 à 14:56 (CEST)[répondre]
- Je prends note de la remarque sur l'introduction que je vais refaire.
- Pour l'usage des équations de Latex, je ne comprend pas la remarque : je vais voir si je trouve quelque part des règles d'usage.
- S'agissant de la suppression du tableau, j'estime que donner une longue liste de données issues de sources dont une partie n'est plus accessible et l'autre partie non vérifiable n'a aucun intérêt. Trois des rapports accessibles que je cite donnent un millier de références (je n'ai pas souhaité en faire un tableau !). Ces rapports sont connus pour être des sources fiables. Dans le monde scientifique et technique on dit d'ailleurs "le Touloukian" pour désigner ces ouvrages.
Jojo V, 21 mai 2016, 14:46
Notification Jojo V : Pour le RI ː Wikipédia:Résumé introductif. Pour la typo scientifique ː Le petit typographe rationnel à partir de la page 10.
Très bien pour le tableau, je n'avais pas pris la peine d'aller jusqu'en bas. Désolé.
Ellande (Disc.) 21 mai 2016 à 18:30 (CEST)[répondre]
J'ai modifié la typo math. — Ellande (Disc.) 22 mai 2016 à 12:45 (CEST)[répondre]

Section absorptivité[modifier le code]

Notification Jojo V : Je n'arrive pas bien à comprendre le concept de luminance absorbée et de luminance incidente. Le terme luminance est généralement réservé à l'émission comme vous l'avez vous-même très bien indiqué dans la définition « ...la quantité d'énergie radiative émise dans un intervalle de fréquence... ». Ceci et d'autres incohérences me donnent à penser que la suite est un peu suspecte. Pouvez-vous me donner plus de précisions ou quelques sources en ligne ?
Comme je crois toute de même comprendre de quoi il s'agit, il me semble que vous parlez ici du facteur d'absorption qui est synonyme (TI ː Lois Fondamentales En Genie Climatique). Si je comprends, cette section devrait alors être déplacée aux cotés de facteur d'absorption, car il s'agit en définitive du rapport des flux élémentaires spectraux absorbé et reçu. Si je ne comprends rien, il faudra renommer et ajouter la transmitivité qui manque.
Pour sourcer l'émissivité et préciser les termes, j'ai trouvé ceci (TI ː Mesure l'émissivité thermique) qui m'a l'air rigoureux.
Ellande (Disc.) 13 juin 2016 à 22:54 (CEST)[répondre]

- La luminance (luminance énergétique, également nommée intensité par les physiciens) est le terme recommandé (voir le lien Photométrie (optique) ou Photometry (optics), plus complet) pour décrire l'énergie transportée par un rayonnement indépendamment de son émission ou de son absorption.
- Dans l'article facteur d'absorption on parle de la même chose : le "flux lumineux" de cet article est l'émittance. Je ne connais pas le terme recommandé pour nommer la quantité "facteur d'absorption" ou "absorptivité", nommée "absorptance" en anglais.
- Il ne me paraît pas souhaitable de déplacer cette partie dans la mesure où on parle du lien très étroit entre émissivité et "absorptivité".
- Ajouter la transmittance est sans doute souhaitable mais représente un travail non négligeable.
--Jojo V (discuter) 14 juin 2016 à 18:27 (CEST)[répondre]
  • Dans les deux articles cités, la luminance caractérise les sources uniquement. Mais je veux bien croire que ce terme soit utilisé pour des quantités reçues ou transmises, on mesure bien la luminance du ciel. De la même façon, j'aimerais bien que vous m'en disiez davantage sur ce qui vous fait écrire que la luminance est le terme recommandé ? Recommandé pour quoi et par qui ? Et dans quel domaine utilise-t-on intensité ? Selon moi le flux est la grandeur la plus simple et la plus adaptée pour quantifier la puissance et donc l'énergie transmise.
  • Il n'est pas question de chercher ce qui est recommandé (si le terme est couramment employé, son usage doit être indiqué) mais il s'agit d'éviter les redondances entre articles. Le développement sur l'absorptivité peut très bien être fait dans l'article détaillé, le développement de l'émissivité fait ici et la mise en relation ici également.
  • Si ce n'est pas un article centré sur l'émissivité, il faut alors lui trouver un nouveau nom.
  • Même chose pour la transmitivité.
Pour l'instant, mais je peux changer d'avis, je ne partage pas votre point de vue sur l'organisation de cet article. Je vais attendre l'avis d'autres wikipédiens et me contenter de quelques retouches en attendant.
Ellande (Disc.) 14 juin 2016 à 22:21 (CEST)[répondre]
  • Le vocabulaire est défini dans Photométrie (optique). Il semble qu'il s'agisse de la norme ISO 80000-7 [1]. Le terme "intensité" continue d'être utilisé chez les astrophysiciens. La luminance est un flux (spectral ou non) par unité d'angle solide et l'émittance un flux tout court puisqu'il s'agit de la luminance intégrée sur un hémisphère. Il s'agit bien de flux et non de puissance puisque tout est ramené à l'unité de surface.
  • Je n'ai rien contre séparer la partie "absorptivité" à condition de bien montrer le lien étroit qui existe avec l'émissivité. Si on adopte la définition différente de l'absorptivité proposée dans le premier lien externe (qu'il faudrait peut-être mentionner dans une note) émissivité et absorptivité ne sont qu'une seule et même quantité physique dans le cas d'un matériau opaque. Cela provient de la réversibilité de l'interaction matière-onde électromagnétique.
  • Il existe un article Transmittance qui ne parle pas seulement d'optique. Il ne fait pas le lien avec les grandeurs dont on parle ici. Le problème est le même que pour le lien absorptivité-émissivité.
--Jojo V (discuter) 15 juin 2016 à 12:11 (CEST)[répondre]
  • Excellent document dont je n'avais pas connaissance. Je pense que vous faites une petite confusion entre l'intensité et la luminance (. L'intensité est fort pratique pour les étoiles qui sont considérées comme des points. ...et je veux toujours bien une source pour la luminance reçue ou transmise...
  • Comme dit plus bas, il faut éviter les redondances avec Loi du rayonnement de Kirchhoff et ne pas traiter deux fois le même sujet.
  • Pour Transmittance, je n'ai pas encore d'idée sur la question de toute façon.

Section Emissivité[modifier le code]

Après relecture, j'ai quelques petites questions pour éclaircir certaines parties.

  • Vous citez la loi de Kirchhoff, or quand je suis le lien je ne trouve que ce que je savais ː loi des nœuds et des mailles. Erreur ou pas ? Argument thermodynamique ː lequel ? Argument ou hypothèse ? Si la relation entre et est une des questions centrales de l'article, elle mériterait d'être amenée plus en détail.
  • « ...une luminance incidente isotrope... » ː plutôt une luminance incidente uniforme angulairement ? (si j'arrive à me faire à l'idée qu'une luminance puisse être reçue.

Ellande (Disc.) 14 juin 2016 à 22:58 (CEST)[répondre]

--Jojo V (discuter) 15 juin 2016 à 12:11 (CEST)[répondre]
  • Parfait pour faire apparaître le lien entre émissivité et absorptivité, c'est l'article fait pour. Il faut faire attention à éviter les redondances entre ces deux articles. Je jetterai un œil à l'occasion.
  • Il existe des sources isotropes, nécessairement ponctuelles auxquelles on peut attribuer une intensité mais pas de luminance. Quand une source est étendue, on parle de source orthotrope (Luminance#Sources orthotropes) si la luminance est est la même dans toutes les directions. Je pense que c'est de ça dont vous voulez parler. En tout cas, ce n'est jamais la luminance qui est isotrope ou orthotrope mais la source. Vous noterez qu'on ne parle que de sources un peu partout...
Ellande (Disc.) 15 juin 2016 à 16:01 (CEST)[répondre]
Par définition le terme orthotropie désigne un milieu possédant 3 plans de symétrie orthogonaux (un ellipsoïde) ayant des axes de longueurs différentes. Le cas dégénéré correspond à la sphère et dans ce cas on parle d'isotropie. Une distribution de luminance lambertienne est par définition isotrope. Elle est de ce fait bien sûr orthotrope puisque c'est un cas particulier d'orthotropie. Ce mot est à éviter dans ce cas car il prête à confusion. On parle bien de luminance isotrope car le rayonnement existe dans un volume excluant toute source (je précise : le rayonnement émis par une source extérieure au volume référencé).
--Jojo V (discuter) 15 juin 2016 à 19:13 (CEST)[répondre]
Je précise ce que j'ai dit ci-dessus car en relisant ça ne paraît pas très clair, je dirais même pas très lumineux. Les problèmes de rayonnement se séparent en deux parts :
  • le transfert radiatif dans un milieu ouvert où seule sont sont éventuellement présentes des sources en volume. Les autres sources (planes, linéaires ou ponctuelles) sont traitées comme conditions aux limites du problème sur les frontières du domaine. Dans ce cadre l'équation du rayonnement permet de calculer la luminance en tout point et les quantités qui en dérivent : l'émittance (le vecteur donnant le flux de luminance), la pression (tenseur représentant le flux de quantité de mouvement), etc. Cette luminance caractérise le rayonnement en un point par sa distribution angulaire qui peut être ou non isotrope. Un cas particulier est celui où il n'y a que de la propagation libre dans le milieu et donc où tout le problème est renvoyé aux limites. C'est l'exemple des facteurs de forme.
  • les propriétés des sources ou puits de rayonnement, c'est-à-dire la caractérisation des conditions aux limites du problème précédent : émissivité, absorptivité, transmittance et réflectivité. Ce dernier problème est souvent très complexe et traité approximativement en même temps que l'absorptivité et la transmittance par les méthodes de la réflectivité bidirectionnelle.
Un détail : une source ponctuelle génère une luminance comme toute autre source et, dans le cas d'une propagation libre, en tout point de l'espace cette luminance est totalement anisotrope puisqu'elle est constitué par une distribution de Dirac, un rayon se propageant sur la droite joignant le point considéré à la source. On ne peut cependant pas définir la luminance au point source.
--Jojo V (discuter) 16 juin 2016 à 10:30 (CEST)[répondre]
Et bien, merci pour ces explications. J'ai trouvé assez facilement quelques sources utilisant le terme luminance isotrope. J'avais une idée préconçue sur la question.
Ellande (Disc.) 17 juin 2016 à 14:53 (CEST)[répondre]