Claude Marinower
La forme de cet article ou de cette section n’est pas encyclopédique et ressemble trop à un curriculum vitæ ().
Modifiez l'article pour aider à le transformer en article neutre et encyclopédique — notamment grâce à des sources secondaires indépendantes qui analysent le sujet — ou discutez-en.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
| Député de la Chambre des représentants de Belgique |
|---|
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activités |
| Parti politique |
|---|
Claude Marinower, né le à Anvers, est un homme politique belge. Il a notamment été député fédéral.
Biographie
Claude Marinower étudie le droit au sein de la Vrije Universiteit Brussel (VUB). Diplômé en 1978, il devient par la suite avocat au barreau d’Anvers, sa patrie, puis s’engage en politique dans sa ville natale comme conseiller communal. Membre du parti des Libéraux et démocrates flamands (Open VLD), il est élu député au parlement fédéral de Belgique en 2003.
D'origine juive, il s’est investi dans cette communauté, d’abord comme étudiant, puis comme président de structures attachées au devoir de mémoire.
Carrière
- Président du Jeune barreau à Anvers : 1999 - 2000
- Président de l'union des étudiants juifs d'Europe : 1977 - 1978
- Membre du conseil d'administration du Musée juif de la déportation et la résistance
- Conseiller communal à la ville d'Anvers depuis 1989 (interruption durant un mandat)
- Député au parlement fédéral de Belgique : 2003 - 2007
En 2011, il est choisi comme chef de groupe de l'Open VLD au conseil communal d'Anvers. Il succède alors à Annick De Ridder.
Il est également président du Mémorial national aux martyrs juifs de Belgique, à Anderlecht, et vice-président de la Caserne Dossin.
Début juillet, il succède à Natan Ramet comme président du Musée juif de la déportation et la résistance à Malines.
