André Karman

	André Karman
Fonctions
Maire d'Aubervilliers
	1957 – 1984; (27 ans)
Prédécesseur	Émile Dubois
Successeur	Jack Ralite
Conseiller général de la Seine ; puis de la Seine-Saint-Denis
	1957 – 1984; (27 ans)
Successeur	Jean-Jacques Karman
Biographie
Date de naissance	10 mars 1924
Lieu de naissance	Aubervilliers
Date de décès	31 mai 1984 (à 60 ans)
Parti politique	PCF
Enfants	Jean-Jacques Karman
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André Karman, né à Aubervilliers le 10 mars 1924 et mort le 31 mai 1984, est un homme politique français.

Biographie

Résistant, déporté au camp de concentration de Dachau, il a été maire PCF^[1] d'Aubervilliers de 1957 à 1984 et conseiller général de la Seine de 1957 à 1967 (canton d'Aubervilliers), puis de la Seine-Saint-Denis de 1967 à 1984.

Il était ouvrier fraiseur de profession^[2].

Il est le père de Jean-Jacques Karman.

L'ancienne rue de la Goutte d'Or à Aubervilliers a été dénommée « Rue André-Karman » ainsi qu'à un stade de la ville dont il fut maire, 1 rue Firmin-Gémier^[3].

Bibliographie

Monique Houssin, Résistantes et résistants en Seine-Saint-Denis : Un nom, une rue, une histoire, Éditions de l'Atelier, 2004, 272 p. (ISBN 978-2-7082-3730-8, lire en ligne), p. 18-19

Notes et références

↑ Il adhère au PCF en 1941 après avoir été membre de la Jeunesse communiste dès 1937
↑ Julian Mischi, « Comment le Parti communiste français a changé de base », sur Le Monde diplomatique, 1^er janvier 2015
↑ Monique Houssin, op. cit. en bibliographie.

Liens externes

Jean-Jacques Karman, « Les dates qui marqueront la vie et la personnalité d’André KARMAN », sur http://jeanjacqueskarman.elunet.fr, 30 mai 1984 (consulté le 3 avril 2015)
« M. André Karman est mort : M. André Karman, maire (PC) d'Aubervilliers, conseiller général de la Seine-Saint-Denis, est décédé le jeudi 31 mai », Le Monde,‎ 2 juin 1984 (lire en ligne).

[1] Il adhère au PCF en 1941 après avoir été membre de la Jeunesse communiste dès 1937

[2] Julian Mischi, « Comment le Parti communiste français a changé de base », sur Le Monde diplomatique, 1^er janvier 2015

[3] Monique Houssin, op. cit. en bibliographie.

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