Aller au contenu

Nicolas Perseval

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 7 avril 2022 à 16:22 et modifiée en dernier par 90.35.196.207 (discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Nicolas Perseval
Autoportait, Reims.
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 92 ans)
ReimsVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nationalité
Activité
Vue de la sépulture.

Nicolas Perseval, né le à Chamery et mort le à Reims, est un artiste-peintre français.

Biographie

Il fut jusqu'à ses vingt-deux ans vigneron, activité familiale avant d'aller aux cours d'arts de l’Académie de dessin de Reims sous Jean-François Clermont, où il obtint un premier prix, puis en 1773 des cours d'art à Liège. Il a été professeur de dessin au collège royal de Pont-de-Voy en 1778. Il s'est établi à Reims où il eut une activité de peintre pour les églises, cathédrale de Reims, mairie de Chalons, église de Trigny...

Il eut comme élèves Germain de Reims et Liénard de Chalons.

Il a épousé en premières noces Marguerite Laval puis Jeanne-Marguerite Constant et eurent une fille, Marguerite Perseval qui fut également peintre, de même que le second mari de celle-ci, Jean-Hubert Rêve.

Il est inhumé au cimetière du Nord de Reims[1].

Œuvres

Modèle:Message galerie

Hommages

Tombe des deux Perseval ; canton 3 du cimetière du nord.

Une rue de Reims porte son nom.

Notes et références

  1. La vie rémoise [1]
  2. Maître chirurgien à Reims, (1725-1804)
  3. « autel », notice no IM51001018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Bibliographie

  • Henri Jadart, Nicolas Perseval : peintre rémois (1745-1837), sa vie, ses œuvres et celles de son gendre Hubert Rève, Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1908, 36 p. (mémoire lu à la réunion des Sociétés des Beaux-Arts des départements, tenue dans l'hémicyle de l'École des Beaux-Arts à Paris, le ), en ligne sur Gallica [2]

Liens externes