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Alfred de Surian

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Alfred de Surian
Fonctions
Président
Société artistique des Bouches-du-Rhône (d)
jusqu'en
Député des Bouches-du-Rhône
-
Conseiller municipal de Marseille
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 58 ans)
MarseilleVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Famille
Parentèle
Autres informations
Parti politique
Membre de

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Thomas-Joseph-Marie-Alfred de Surian-Bras (, Marseille - , Marseille), est un avocat, collectionneur et homme politique français.

Biographie

Alfred de Surian est le fils de Jean-Baptiste Joachim de Surian-Bras, préposé en chef de l'octroi de Marseille, et de Marie-Antoinette Le Vacher. Parent de Mgr Jean-Baptiste Surian et arrière petit-fils de Joachim de Surian, premier échevin de Marseille, il est le beau-frère d'Eugène-Anne-Adolphe de Boyer de Castanet de Tauriac et épouse Marie-Angèle de Paul[1], petite-fille du collectionneur d'art Guillaume de Paul[2]. Il est l'oncle du maire Antoine de Jessé-Charleval et du général Alphonse de Jessé, et le grand-oncle de Gustave de Surian.

Avocat et propriétaire à Marseille, il fut élu, le , député du 3e collège des Bouches-du-Rhône (Marseille). Réélu, le , il siégea dans l'opposition légitimiste, auprès de Berryer, et vota pour les incompatibilités, pour l'adjonction des capacités, contre la dotation du duc de Nemours, contre les fortifications de Paris et contre l'indemnité Pritchard.

Rentré dans la vie privée aux élections de 1846, il n'a pas fait partie d'autres assemblées.

Il était conseiller municipal de Marseille.

Collectionneur d'art, il est président de la Société artistique des Bouches-du-Rhône et élu membre de l'Académie de Marseille le 18 avril 1861[3].

Références

  1. ↑ Armorial de la ville de Marseille: recueil officiel, dressé par les ordres de Louis XIV, publié pour la première fois d'après les manuscrits de la Bibliothèque impériale, Gueidon, 1864
  2. ↑ Emile Perrier, Les bibliophiles et les collectionneurs provençaux: anciens et modernes. Arrondissement de Marseille, Berthelet, 1897
  3. ↑ [1]

Sources

Liens externes

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