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MacDonald remarque que, contrairement à ses limitations pour représenter les formes humaines, la maîtrise de Potter dans la représentation des lapins atteint sa plénitude dans ''la famille Flopsaut''. Elle parvient à évoquer les pensées et les émotions des lapins par la position de leur queue ou de leurs oreilles. Jeannot, Pierre, sa mère et les lapins de Flopsaut sont tout habillés, alors que Flopsaut ne porte qu'un tablier qui laisse voir sa queue. Elle n'est donc pas complètement vêtue, en comparaison avec les membres de sa famille et les standards humains. Mais cette caractéristique, qui montre sa queue, permet justement de montrer son appréhension quand elle s'approche de la maison et traverse la vaste étendue de pelouse à la recherche des ses enfants<ref>{{harvsp|MacDonald|1986|p=41, 42}}</ref>.
MacDonald remarque que, contrairement à ses limitations pour représenter les formes humaines, la maîtrise de Potter dans la représentation des lapins atteint sa plénitude dans ''la famille Flopsaut''. Elle parvient à évoquer les pensées et les émotions des lapins par la position de leur queue ou de leurs oreilles. Jeannot, Pierre, sa mère et les lapins de Flopsaut sont tout habillés, alors que Flopsaut ne porte qu'un tablier qui laisse voir sa queue. Elle n'est donc pas complètement vêtue, en comparaison avec les membres de sa famille et les standards humains. Mais cette caractéristique, qui montre sa queue, permet justement de montrer son appréhension quand elle s'approche de la maison et traverse la vaste étendue de pelouse à la recherche des ses enfants<ref>{{harvsp|MacDonald|1986|p=41, 42}}</ref>.

La lassitude qu'éprouve Potter à peindre des lapins se reflète dans les images du livre. Sur les trente-six illustrations, huit représentent M. Mc Gregor et dix-sept le jardin et ses installations. Il n'y a presque pas de plans rapprochés de lapin et aucun n'est aussi détaillé que ceux que l'on peut trouver dans ''Jeannot Lapin''. Quand les lapins sont représentés, ils sont vus à une distance intermédiaire, de façons à les inclure tous les six, ainsi que des éléments du jardin. Ils sont dépeints avec peu ou pas d'expression sur le visage. Tout se passe comme si Potter (devenue propriétaire d'une ferme à la date de réalisation du livre) en était venue à voir les lapins comme des animaux nuisibles anonymes plutôt que comme des personnages aux caractères différenciés<ref name="Kzr57"/>. Plusieurs illustrations dessins réalisés pour ''la famille Flopsaut'' sont légués au [[British Museum]] de Londres en 1946<ref>{{en}} [http://www.britishmuseum.org/explore/highlights/highlight_objects/pd/b/beatrix_potter,_flopsy_bunnies.aspx Beatrix Potter, Flopsy Bunnies, a drawing in pen and ink with watercolour], {{harvsp|Taylor|1987|p=212}}</ref>.


==Thèmes==
==Thèmes==

Version du 20 février 2012 à 13:08

La famille Flopsaut (titre originale en anglais : The Tale of The Flopsy Bunnies) est un livre pour enfants écrit et illustré par Beatrix Potter paru en juillet 1909 chez Frederick Warne & Co.

Après les deux longs contes Pierre Lapin (The Tale of Peter Rabbit, 1902) et Jeannot Lapin (The Tale of Benjamin Bunny, 1904), Beatrix Potter se lasse des histoires de lapins et ne veut plus écrire d'histoires sur ces animaux. Cependant, elle s'aperçoit que ces histoires, et les illustrations qui les accompagnent plus encore, ont un franc succès chez les enfants. Elle décide alors de reprendre les personnages et l'intrigue des contes précédents pour créer La famille Flopsaut. Les arcades et les parterres de fleurs du jardin semi-formal de sa tante et de son oncle, au pays de Galles, servent de décor pour les illustrations.

Dans La famille Flopsaut, Jeannot Lapin, son cousin Pierre et sa cousine Flopsaut sont devenus adultes. Jeannot et Flopsy sont mariés et parents de six petits lapins appelés simplement les « lapins Flopsaut ». Du fait du manque de nourriture pour pouvoir aux besoins de cette grande famille, ils se rendent sur le tas d'ordure où Monsieur McGregor jette ses légumes pourris afin de s'en nourrir. M. McGregor capture les six petits Flopsaut après que ceux-ci se sont endormis sur le tas d'ordure, les enferme dans un sac avec l'intention de les revendre pour s'acheter du tabac. Alors que M. McGregor est distrait, les six petits sont libérés par Madame Trotte-Menu, un mulot, et le sac rempli de légumes pourris par Jeannot et Flopsaut. Une fois rentré chez lui, M. McGregor annonce à sa femme qu'il ramène des lapins. Quand celle-ci s'aperçoit du contenu du sac, elle croit que son mari se moque d'elle et lui admoneste une sévère réprimande.

Les critiques modernes diffèrent. Pour les uns, les visages des lapins sont trop inexpressifs, pour les autres, la position des oreilles ou de la queue compensent ce que les visages n'expriment pas. Une critique pense que ce conte n'a pas autant de vitalité que Pierre Lapin, qui est né d'une image et d'une lettre écrite à un enfant. La plupart sont cependant d'accord sur le fait que les représentations du jardin sont exquises et font partie des meilleurs illustrations créées par Beatrix Potter.

Contexte

La façade d'Hill Top.

Helen Beatrix Potter naît dans le quartier de Kensington, à Londres, le 28 juillet 1866, dans une famille aisée. Elle est éduquée à domicile par différents précepteurs et gouvernantes. Très tôt, elle montre un certain talent artistique et dessine des mammifères, insectes, reptiles, amphibiens, fleurs et plantes de toutes sortes. Au début des années 1890, elle connaît son premier succès artistique en vendant six dessins à un éditeur de cartes de vœux[1]. Le 16 décembre 1901, publie le conte Pierre Lapin à compte d'auteur. Ce conte est publié dans un édition commerciale le 2 octobre 1902 par Frederick Warne & Co, avec un grand succès[2]. Elle publie d'autres contes de la même veine chez Warnes au cours des années suivantes et, en 1904, Jeannot Lapin, une suite de Pierre Lapin[3]. En juillet 1905, Potter achète Hill Top, une ferme située dans le Lake District, tout au nord de l'Angleterre, avec les revenus apportés par ses livres et un petit héritage laissé par une de ses tantes. Cette maison devient sa résidence lors qu'elle n'est pas à Londres, puis son refuge artistique. En quelques années, Potter a lancé sa carrière, assuré son revenu et acheté sa maison[4].

Beatrix Potter en 1912.

Pierre Lapin et les trois autres contes de la série sont les livres les plus connus de Beatrix Potter, et ceux qui ont le plus de succès. L'auteur éprouve depuis longtemps une grande affinité pour les lapins : elle en possède plusieurs comme animaux de compagnie et les observe avec attention depuis plusieurs années. Bien qu'elle ait écrit que les lapins sont des animaux « de nature chaleureuse et versatile »[Citation 1] et sont « superficiels et extrêmement transparents »[Citation 2], elle donne à ses lapins une grande variété de comportements compatibles avec le caractère de cet animal. Tous ses contes de lapins sont inspirés en partie par les histoires d'Oncle Rémus de Joel Chandler Harris, que Potter a commencé à illustrer dès 1893 dans l'espoir de faire carrière et aussi, probablement, parce que le personnage principal est un lapin. Bien qu'elle incorpore les "rabbit-tobacco" et "lippity-clippity, clippity-lippity" (remplacé par "lippity-lippity") de Harris dans son vocabulaire littéraire, elle ne parvient pas à transposer les personnages en gentlemen victoriens dans un jardin de la campagne anglais. Ils restent figés en esclaves noirs et propriétaires terriens du Sud américain d'avant la Guerre de sécession. Le Frère Lapin roublard de Harris est motivé par la vengeance et parvient à ses fins par la ruse, mais les lapins de Potter n'ont pas une telle motivation et ne doivent leurs succès qu'à leur esprit aventureux et à leur chance[5].

Au début de l'automne 1908, Potter écrit à son éditeur Harold Warne qu'elle a plusieurs idées de nouveaux livres. Elle lui envoie le texte de The Tale of the Faithful Dove, un conte situé à Rye écrit quelques années auparavant et pour lequel elle à réalisé quelques esquisses. Elle joint à cet envoi une suite à Jeannot Lapin, dont les personnages principaux sont les enfants de Jeannot : La famille Flopsaut[6]. Bien quelle se plaigne parfois que les personnages lapins soient devenus « ennuyeux »[Citation 3],[7], elle écrit à un jeune admirateur, William Warner, que les enfants aiment surtout ses lapins et qu'elle devrait écrire un autre livre sur ces animaux. Elle envoie à Warne un troisième conte : une histoire sur la boutique du village de Sawrey. « J'aimerais me débarasser de l'une d'entre elles, écrit-elle au sujet de ces idées de contes. Quand quelque chose est imprimé, il disparaît de mes rêves ! Peu importe ce que deviennent les relecteurs. Mais une accumulation d'idées à demi achevées devient lassante. »[Citation 4] La famille Flopsaut et l'histoire de la boutique (The Tale of Ginger and Pickles) sont choisies en 1909 pour être publiées[6]. La famille Flopsaut est achevée en mars 1909 et publiée en juillet de la même année[8].

Avec ce conte, Potter écrit des lettres attribuées à la famille Flopsaut. La longueur et la qualité d'écriture de chaque lettre correspond au niveau supposé du lapin qui l'a écrite. Ainsi, celles des deux plus jeunes de la fratrie ne sont composées que de gribouillis et de baisers. Thomasina Trotte-Menu, l'héroïne providentielle de ce conte, devient le personnage principal d'un autre livre en 1910, auquel elle donne son nom : Madame Trotte-Menu (The Tale of Mrs. Tittlemouse)[9].

Synopsis

Dans la famille Flopsaut, Jeannot Lapin et Pierre Lapin sont adultes, et Jeannot a épousé sa cousine Flopsaut. Ce couple est parent de six petits appelés simplement « les lapins de Flopsaut ». Jeannot et Flopsaut sont « très imprévoyants et plein d'entrain »[Citation 5] et ont des difficultés à nourrir leurs nombreux enfants. Parfois, ils demandent l'aide de Pierre, qui est devenu fleuriste et tient une pépinière, mais il arrive que Pierre ne puisse pas leur donner les choux qu'ils lui demandent. Alors, les lapins de Flopsaut traversent le champ pour se ravitailler sur le tas d'ordures où M. McGregor jette ses légumes pourris[10].

Une laitue.

Un jour, ils y trouvent des laitues dont M. McGregor s'est débarrassé car elles ont fleuri. Ils s'en rassasient et, sous leur effet « soporifique », s'endorment sur le tas d'ordures. M. McGregor les découvre là par hasard. Il les capture, les met dans un sac, qu'il ferme puis laisse sur place, occupé par une autre tâche. Jeannot et Flopsaut sont incapables de secourir leurs enfants, mais une souris des bois pleine de ressources nommée Thomasina Trotte-Menu ronge le sac pour y percer un trou, et les petits lapins peuvent s'échapper. Leurs parents remplissent le sac avec des légumes pourris et tous ces animaux vont se cacher sous un buisson pour observer la réaction de M. McGregor[10].

Une souris des bois semblable à Mme Trotte-Menu.

M. McGregor ne remarque pas la supercherie, et ramène le sac chez lui. Il annonce sa trouvaille à sa femme, qui réclame les peaux de lapins, car elle veut en faire une doublure pour son vieux manteau. Mais, quand elle ouvre le sac, elle découvre les légumes pourris et accuse son mari de lui avoir fait une mauvaise farce. Dans la dispute, une courge pourrie est lancée et atteint le plus jeune des lapins, qui écoutaient à la fenêtre. Les parents décident qu'il est temps de rentrer. Pour le Noël suivant, la souris héroïque se voit offrir une grande quantité de poils de lapin, avec lesquels elle se confectionne un manteau, une cagoule, un manchon et des mitaines[10].

Dans son analyse, M. Daphne Kutzer remarque que le rôle de M. McGregor est plus important dans la famille Flopsaut que dans les deux histoires de lapins précédentes, mais aussi qu'il fait moins peur que dans Pierre Lapin car son rôle de « méchant » est diminué quand il devient un personnage comique dans la scène finale[11]. Malgré tout, pour les jeunes lecteurs, il reste un personnage terrifiant car il a capturé, non seulement des petits lapins, mais surtout des enfants que leurs parents n'ont pas réussi à protéger[12].

Illustrations

En février 1909, Beatrix Potter se rend à Hill Top où, ne pouvant guère sortir à cause du mauvais temps, elle travaille d'arrache-pied sur les illustrations de la famille Flopsaut. Auparavant, elle s'est inspirée de plusieurs jardins (Camfield Place, Lakefield, Lingholm, Tenby au Sud du pays de Galles, Bedwell Lodge et Gwaeynynog) pour les décors de Pierre Lapin[13] et de Fawe Park, à Kenswick, pour Jeannot Lapin[14]. Pour la famille Flopsaut, le décor est un jardin semi-formal avec des arcades, des allées et des parterres de fleurs situé au pays de Galles, à Denbigh, dans une propriété nommé Gwaeynynog[15]. Gwaeynynog est la maison des Burton, un oncle et une tante de Beatrix Potter. En vacances à Gwaeynynog en 1909, Potter fait des croquis de leur jardin clos et, une fois rentrée chez elle, décide de déplacer Pierre, Jeannot et leurs familles au pays de Galles pour un nouvel épisode de la série[10]. Un certain nombre de ces esquisses préparatoires sont conservées[15].

Depuis sa première visite à Gwaeynynog, quatorze ans avant la réalisation de la famille Flopsaut, Potter a dessiné de nombreuses fois ce jardin. Elle le décrit ainsi, après une visite en 1895 : « Le jardin est très grand, entouré aux deux tiers par un mur de briques rouges avec de nombreux abricotiers et, à l'intérieur, un cercle de vieux pommiers gris en espaliers. Il est très productif mais pas ordonné. Un très joli jardin, où d'éclatantes fleurs anciennes poussent au milieu des buissons de groseillers »[Citation 6],[13]. Au début de l'année 1909, elle écrit à son éditeur : « J'ai fait de nombreux croquis (pas tous sur le sujet) et je vais maintenant essayer de finir la famille F. sans plus tarder. »[Citation 7],[16].

Dessin de sept cochons d'Inde sous une laitue, extrait de The History of the Seven Families of Lake Pipple-popple, d'Edward Lear, qui a pu inspirer Beatrix Potter pour la famille Flopsaut[17].

MacDonald remarque que, contrairement à ses limitations pour représenter les formes humaines, la maîtrise de Potter dans la représentation des lapins atteint sa plénitude dans la famille Flopsaut. Elle parvient à évoquer les pensées et les émotions des lapins par la position de leur queue ou de leurs oreilles. Jeannot, Pierre, sa mère et les lapins de Flopsaut sont tout habillés, alors que Flopsaut ne porte qu'un tablier qui laisse voir sa queue. Elle n'est donc pas complètement vêtue, en comparaison avec les membres de sa famille et les standards humains. Mais cette caractéristique, qui montre sa queue, permet justement de montrer son appréhension quand elle s'approche de la maison et traverse la vaste étendue de pelouse à la recherche des ses enfants[18].

La lassitude qu'éprouve Potter à peindre des lapins se reflète dans les images du livre. Sur les trente-six illustrations, huit représentent M. Mc Gregor et dix-sept le jardin et ses installations. Il n'y a presque pas de plans rapprochés de lapin et aucun n'est aussi détaillé que ceux que l'on peut trouver dans Jeannot Lapin. Quand les lapins sont représentés, ils sont vus à une distance intermédiaire, de façons à les inclure tous les six, ainsi que des éléments du jardin. Ils sont dépeints avec peu ou pas d'expression sur le visage. Tout se passe comme si Potter (devenue propriétaire d'une ferme à la date de réalisation du livre) en était venue à voir les lapins comme des animaux nuisibles anonymes plutôt que comme des personnages aux caractères différenciés[19]. Plusieurs illustrations dessins réalisés pour la famille Flopsaut sont légués au British Museum de Londres en 1946[20].

Thèmes

Style

Rééditions et traductions

Bibliographie

  • (en) Hazel Gatford, Beatrix Potter: Her art and inspiration, The National Trust, (ISBN 1-94359-105-7[à vérifier : ISBN invalide])
  • (en) Camilla Hallinan, The Ultimate Peter Rabbit: A Visual Guide to the World of Beatrix Potter, DK Publishing Inc., (ISBN 0-7894-8538-9)
  • (en) M. Daphne Kutzer, Beatrix Potter: Writing in Code, London & New York, Routledge, (ISBN 0-415-94352-3)
  • (en) Linda Lear, Beatrix Potter: A Life in Nature, New York, St. Martins Griffin, (ISBN 978-0-312-37796-0)
  • (en) Leslie Linder, The History of The Tale of Peter Rabbit, Frederick Warne, (ISBN 0-7232-1988-5)
  • (en) Ruth K. MacDonald, Beatrix Potter, Boston, Twayne Publishers, (ISBN 0-8057-6917-X)
  • (en) Judy Taylor, Joyce Irene Whalley, Anne Stevenson Hobbs et Elizabeth M. Battrick, Beatrix Potter 1866–1943: The Artist and Her World, F. Warne & Co. and The National Trust, (ISBN 0-7232-3561-9)
  • (en) Judy Taylor, Beatrix Potter: Artist, Storyteller and Countrywoman, Frederick Warne, (ISBN 0-7232-4175-9)

Notes et références

Citations anglaises

  1. Citation originale : « warm volatile temperaments »
  2. Citation originale : « shallow and extremely transparent »
  3. Citation anglaise : « wearisome »
  4. Citation anglaise : « I should like to get rid of one of them. When a thing is once printed I dismiss it from my dreams! & don't care what becomes of the reviewers. But an accumulation of half finished ideas is bothersome. »
  5. Citation originale : « very improvident and cheerful »
  6. Citation originale : « The garden is very large, two-thirds surrounded by a red brick wall with many apricots, and an inner circle of old grey apple trees on espaliers. It is very productive but not tidy, the prettiest kind of garden, where bright old-fashioned flowers grow amongst the currant bushes. »
  7. Citation originale : « I have done lots of sketches — not all to the purpose — and will now endeavour to finish up the F. Bunnies without further delay. »

Notes

  1. Gatford 2004, p. 4, 15
  2. Taylor 1996, p. 72, 76
  3. Kutzer 2003, p. 50, 65
  4. Kutzer 2003, p. 67
  5. MacDonald 1986, p. 23, 24
  6. a et b Lear 2007, p. 224, 225
  7. MacDonald 1986, p. 42
  8. Lear 2007, p. 225
  9. Lear 2007, p. 234
  10. a b c et d MacDonald 1986, p. 40 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « MacD40 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  11. Kutzer 2003, p. 56
  12. Kutzer 2003, p. 55, 56
  13. a et b Lear 2007, p. 154
  14. Taylor 1987, p. 116
  15. a et b Taylor 1987, p. 140
  16. Taylor 1996, p. 113
  17. Hallinan 2008, p. 76
  18. MacDonald 1986, p. 41, 42
  19. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Kzr57
  20. (en) Beatrix Potter, Flopsy Bunnies, a drawing in pen and ink with watercolour, Taylor 1987, p. 212

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