Utilisateur:F.X. Bigo/Brouillon

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L'Équitation à la Renaissance[modifier | modifier le code]

Avec l'apparition de la poudre à canon...changement des techniques de combat à cheval

La fin de la cavalerie lourde entraîne une nouvelle sélection des chevaux de guerre, les animaux sont recherchés plus légers et maniables. Le dressage classique se développe énormément sous l'impulsion des cavaliers italiens, qui créent la première académie pour obtenir des chevaux plus légers, maniables, permettant de sortir de la mêlée des combats[1]. L’Italie accueille les principales académies d'équitation de la Renaissance, aux XVe et XVIe siècles, et intègre l'équitation à l'éducation courtisane. L’Italie devient « le modèle de ce qui peut construire le bel homme de cheval », de plus, sa position au croisement de l'influence occidentale et orientale permet la découverte de nouveaux modèles de chevaux[2]. Frederico Grisone relance l'Académie de Naples en 1532. Il écrit le traité d'équitation Ordini di cavalcare en 1550. Cesare Fiaschi fonde sa propre académie en 1534. Gianbatista Pignatelli forme, dans l'académie crée par Grisone, les deux écuyers français Salomon de La Broue et Antoine de Pluvinel.

L'Académie de Naples[modifier | modifier le code]

Contexte historique Rayonnement européen~

Les premières académies en France, la naissance de l'Équitation Française[modifier | modifier le code]

essais[modifier | modifier le code]

Modèle:Infobox Écuyer

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  2. Daniel Roche, Histoire du cheval 1/4 : vers 41-44 min