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Prise de Dantzig[modifier | modifier le code]

afjdaakféafj

Prise de la ville et massacre[modifier | modifier le code]

Dans le château, un conflit surgit entre les chevaliers teutoniques et polonais, ces derniers s’opposant à une prise de contrôle par les premiers. Après plusieurs combats, les forces polonaises, en infériorité numérique, quittent le château. Au cours du combat rapproché qui s’ensuit dans les rues, les chevaliers teutoniques prennent le dessus sur les forces brandebourgeoises. Les chevaliers victorieux tuent de nombreux citoyens et chevaliers adverses.  Au matin du 13 novembre, les opposants sont tous vaincus, des corps gisent dans les rues et les exécutions se poursuivent.

A VERIFIER

WALDAU[modifier | modifier le code]

Waldau : Source de matériel didactique filmé (projet de recherche en cours) / https://waldau.hypotheses.org/

https://wp.unil.ch/eureka/cinema-et-neuropsychiatrie-en-suisse-autour-de-la-collection-waldau/

https://wp.unil.ch/cinematheque-unil/cinema-et-neuropsychiatrie-en-suisse-autour-de-la-collection-waldau-1920-1990/

LGBT Russia[modifier | modifier le code]

https://www.themoscowtimes.com/2019/08/01/russian-lgbt-activists-fear-more-violence-after-brutal-murder-of-campaigner-a66668

Soutien interne https://www.themoscowtimes.com/2020/07/06/russian-women-rally-behind-feminist-political-prisoner-a70768

https://www.themoscowtimes.com/2022/07/15/russian-feminist-activist-acquitted-of-porn-charges-a78304

https://www.bbc.com/news/world-europe-62180659 Das Büro der Staatsanwaltschaft in Komsomolsk am Amur erhob schließlich im Januar 2021 Anklage und das Gerichtsverfahren begann, wurde aber im November 2021 auf Februar 2022 verschoben.Quellle : https://www.amnesty.de/mitmachen/urgent-action/russland-lgbti-aktivistin-droht-mehrjaehrige-Haftstrafe-20-05-2022 Am 10. Juli 2020 wurde Yulia Tsvetkova schuldig gesprochen und zu einer Geldstrafe von 75.000 Rubel (etwa 1100 Euro) verurteilt. Yulia Tsvetkova ist seit März 2019 das Ziel einer offen homofeindlichen Kampagne. Damals musste sie ihre Arbeit mit der Jugend-Amateurtheatergruppe Merak aufgeben, nachdem die Polizei wegen ihres Anti-Mobbing- und Anti-Diskriminierungs-Stückes "Blau und Rosa" eine Untersuchung wegen angeblicher "Propaganda für nicht-traditionelle sexuelle Beziehungen zwischen Minderjährigen" eingeleitet hatte. Auch die Theatergruppe, die sie 2018 gegründet hatte, war gezwungen, ihre Arbeit einzustellen.Sane referebce

Menace de mort : https://daily.afisha.ru/news/39543-prosto-gotovsya-k-hudshemu-pila-protiv-lgbt-snova-ugrozhaet-yulii-cvetkovoy-ubiystvom/

Nouvelle loi en préparation, plus répressive encore de l'homosexualité : https://www.currenttime.tv/a/nasha-bezopasnost-pod-ogromnym-voprosom-chto-zhdet-lbgt-pri-novom-zakone-o-propagande-netraditsionnyh-seksualnyh-otnosheniy-/31955534.html

Rôle du FSB, menaces de mort de la part de Bulatov : https://www.currenttime.tv/a/gosudarstvo-protiv-tsvetkovoy/31938591.html

Soutien interne :En février 2020, le centre des droits de l'homme Memorial a reconnu Yulia Tsvetkova comme prisonnière politique. "Nous pensons que les poursuites pénales à l'encontre de Yulia Tsvetkova sont dues à son activité publique et à sa position féministe active. Elle promeut ses opinions de manière tout à fait légale en tant qu'activiste et militante de l'art contemporain. En même temps, ses poursuites s'inscrivent dans le contexte d'une campagne d'État visant à "protéger les valeurs traditionnelles", utilisée, entre autres, pour se maintenir au pouvoir en Russie", a déclaré le centre dans un communiqué. En 2021, des ONG (dont Human Rights Watch, le Comité Helsinki de Norvège, le Memorial Human Rights Centre et Amnesty International) ont envoyé une pétition au procureur général de Russie, Igor Krasnov, pour demander l'abandon de l'affaire pénale et de toutes les charges contre Ioulia. Une pétition de Change.org demandant la libération de Mme Tsvetkova a recueilli plus de 250 000 signatures, soit plus que le nombre de personnes vivant à Komsomolsk-sur-Amur. La médiastrike #ZaYulia a été soutenue par des dizaines de blogueurs, militants et médias connus.Source : https://www.currenttime.tv/a/gosudarstvo-protiv-tsvetkovoy/31938591.html Attention du public russe qui s'estompe : même source, tout à la fin

Histoire du tricot : plan continuation article :[modifier | modifier le code]

Machines à tricoter Ouvrages de dames Premiers manuels Entre-deux guerres (Magasines fémininsApparition des pullovers dans l'habillement féminin)

2ème guerre mondiale

Acrylique

Féminisme

Essor du tricot en ligne

articles qui pourraient être catégorisés "histoire du tricot"[modifier | modifier le code]

  1. histoire du tricot
  2. Sandnes Garn
  3. gansey (à créer)
  4. Annemor Sundbø (à terminer)
  5. Shetland shawls (à créer)
  6. Mary Walker Phillips (existe en anglais, mais sous forme non neutre, à créer)
  7. Jane Gaugain (à traduire, article en anglais à l'état d'ébauche)
  8. feutrage

articles qui pourraient être catégorisés "tricot norvégien"[modifier | modifier le code]

  1. Unn_Søiland_Dale
  2. Annichen_Sibbern_Bøhn
  3. tricot norvégien
  4. Tomm Mustard
  5. Sandnes Garn
  6. Pulls Marius
  7. tricot circulaire
  8. Annemor Sundbø
  9. musée folkorique norvégien


Critiques de la communauté scientifique[modifier | modifier le code]

La communauté scientifique a largement réfuté les travaux de Gardner et le syndrome d'aliénation parentale est majoritairement considéré comme de la pseudo-science par cette dernière. Les critiques formulées à l'encontre de cette théorie sont de plusieurs ordres : manque de rigueur scientifique, faiblesse conceptuelle. hypothèses de bases infirmées par des études rigoureuses, non falsifiabilité.

Manque de rigueur scientifique[modifier | modifier le code]

Absence de fiabilité inter-juges[modifier | modifier le code]

Hypothèses de base infirmées[modifier | modifier le code]

Hypothèses sur lesquelles se fonde le SAP Études empiriques infirmant cette hypohèse
Les allégations d'abus sexuels qui sont faites lors d'une dispute au sujet de la garde de l'enfant sont généralement fausses. Thoennes & Tjaden (1990) (REF), Hlady & Gunter(1990) (REF) : la probabilité que les accusations d'abus sexuels soient valides est la même qu'il y ait ou non un conflit sur la garde de l'enfant.
Il est très fréquent que des allégations d'abus sexuels soient faites lorsque des parents se disputent la garde de l'enfant Thoennes & Tjaden (1990) (REF) : des accusations d'abus sexuels apparaissent dans moins de 2 % des cas judiciaires relatifs au conflit sur la garde de l'enfant.
La majorité des cas de fausses accusations sont le fait de femmes qui cherchent à se venger de leur mari par des accusations calcalomnieuses et lui retirer le droit de garde. Ayed (1999) (REF) : Dans son étude portant sur les accusations de maltraitance physique ou sexuelle, les juges estiment à un tiers les cas de maltraitance infantile où une des partie ment délibérément au tribunal. Les pères sont plus nombreux que les mères à émettre de fausses accusations.
Les parents maltraitants ou négligents se comportent de manière stéréotypée et sont de ce fait faciles à détecter Aucune étude scientifique n'a mis à jour un type de personnalité spécifique à un type de maltraitance infantile ou de négligence éducative.

Smiths & Saunders (1995) : il n'existe pas de profil de personnalité ou de spécifique aux pères incestueux. En ce qui concerne la pédophilie en général, ................... ETUDE

Si un enfant refuse de voir un de ses parents, l'autre parent en est responsable. lékfjaé


Le SAP tel que formulé par Gardner a été critiqué pour son manque de fondement scientifique[1],[2],[3], et en tant qu’hypothèse dont les adeptes n'auraient pas réussi à s'acquitter de la charge de la preuve pour justifier son acceptation[4],[1],[3]. Les premières publications sur le SAP ont été auto-publiées et n’ont pas été révisées par des pairs[5]. Bien que les articles suivants aient été publiés dans des revues évaluées par les pairs, la plupart étaient constitués de preuves anecdotiques sous forme d'études de cas[6],[7]. En outre, dans le peu de recherches effectuées sur le SAP, sa validité et sa réfutabilité n’ont pas été suffisamment prouvées[8],[9]. Le manque de recherches objectives, ainsi que de réplication, de falsifiabilité et de publication indépendante ont conduit à des critiques, qualifiant le SAP de pseudo-science ou de junk science (« science poubelle »)[10],[1],[2] par ses détracteurs. Les défenseurs du SAP admettent que la validité et la fiabilité du SAP doivent être confirmées par des études contrôlées et systématiques à une plus grande échelle[5],[11],[12], et que l’unique étude publiée en 2004 doit être complétée, ce qui suggère que les praticiens pourraient arriver à un consensus basé sur des rapports écrits[13].

Le fondement de la théorie du SAP a été décrit comme incomplet, simpliste et erroné du fait qu’il ignore de multiples facteurs (y compris les comportements de l'enfant, des parents et des autres membres de la famille) qui peuvent contribuer à l'aliénation parentale, au dysfonctionnement de la famille et à la rupture de l'attachement entre un parent et un enfant[5],[14],[15],[6],[16]. Selon ses détracteurs le SAP exagèrerait les effets néfastes de l'aliénation parentale sur les enfants[8],[13]. Cependant, selon ses défenseurs, il est très difficile de déterminer le nombre de fausses allégations d'abus sexuels sur enfant. Des inquiétudes ont été exprimées sur le fait que le SAP n'ait pas le soutien scientifique suffisant pour être qualifié de syndrome et que Gardner ait popularisé le SAP comme un syndrome en se basant sur une classification de comportements assez vague[5],[17].

Bien que le SAP ne soit pas accepté comme syndrome, l'aliénation parentale est une dynamique moins controversée présente dans la littérature juridique et de la santé mentale[18],[19]. Depuis que Gardner a proposé le SAP, d'autres chercheurs dans le domaine ont suggéré de se concentrer moins sur le diagnostic du syndrome et plus sur la définition de ‘’l’enfant aliéné’’ ainsi que sur la dynamique des situations qui ont contribué à l’aliénation[14],[19].


Statut clinique[modifier | modifier le code]

Le SAP a été critiqué pour rendre le travail clinique avec les enfants aliénés confus[5]. L'analyse de Gardner a été critiquée pour l'attribution inappropriée de toute responsabilité du comportement de l'enfant à un seul parent, alors que le comportement de l'enfant est souvent le résultat d'une dynamique plus complexe, dans laquelle les deux parents et l'enfant jouent un rôle[20],Erreur de référence : Paramètre invalide dans la balise <ref>. D'autres psychologues ont depuis centré leurs analyses sur le couple enfant-« parent aliénant » et la relation fusionnelle qui entrave l'espace de construction de l'enfant.

Die Waldau[modifier | modifier le code]

Peu de temps après sa création, en surcapacité dès 1855[21]. Plus de patients que de lits disponibles.ibiddem, p. 7 On ne parle pas d'infirmières mais de gardiennes (Max Miller, ibidem p. 8 Les gardiennes sont recrutées sur leur force physique, il leur est recommandé de n'entrer qu'à 2, voir à 3 ou 4 dans certaines chambres, pour faire face aux agressions des patientes. Action de Morgenthaler pour la formation de ces femmes, see p. 9 bagarres très fréquentes, un des job des psychiatres : recoudre et nettoyer les blessures. chambres recouvertes d'excréements = la banalité. Gardiennes : religiosité, patients jugés selon leur "méchanceté" ou leur "bonté". Armes avec éclats de fenêtre. Asocialité des patientes manches de cuillères armes

Préparation dossier devant le CAr[modifier | modifier le code]

Pesée des risques[modifier | modifier le code]

Hypothèse de base : sûr à 70 % que la personne n'est pas suicidaire

Matrice de décision La personne n'est pas suicidaire (70 %) La personne est suicidaire (30 %)
alerte La personne est vivante.

Il existe un risque non nul que cette personne soit (durablement) fâchée contre le lanceur d'alerte.

absence d'alerte décès

Imaginons qu'une personne publie sur Wikipédia des propos qui peuvent être interprétés comme relevant d'une idéation suicidaire. Imaginons que pour une raison x ou y le contributeur qui hésite à lancer l'alerte à T&S pour ce risque suicidaire est d'avis qu'il est plus que probable que cette personne ne soit PAS suicidaire, mais il est sûr de son avis à 30%. Cela n'implique pas qu'il estime qu'il y a 30 % de risque que la personne décède. Les pensées suicidaires peuvent avoir été réelles mais extrêmement fugitives et ne plus être d'actualité. La personne concernée a pu chercher de l'aide auprès d'autrui pour se protéger de ses propres pensées. IRL, les proches ont pu constater l'idéation suicidaire et protéger la personne concernée. Néanmoins, de l'autre côté de son écran, le potentiel lanceur d'alerte n'a aucun moyen de savoir ce qu'il en est. Et si la personne décède, c'est définitif, à 100%. Il y a aussi des tentatives de suicides qui n'aboutissent pas à un décès mais ont des conséquences irrémédiables (par ex survenue d'un handicap physique), sans compter le traumatisme que cela représente pour les éventuels témoins de la scène.

Bref, lorsqu'un risque est faible mais que sa survenue aurait des conséquences absolument catastrophiques, il est moralement justifié d'agir pour limiter ce risque au maximum. Entre perdre un ami et perdre une amitié, les amis sincères préfèrent encourir le risque de perdre une amitié.

Alerte : quelle conséquence ?[modifier | modifier le code]
Le personnel de santé juge que la personne ne présente pas de risque suicidaire Le personnel de santé juge que la personne présente un risque suicidaire
Proposition de soins hospitaliers ; en cas de refus, soin sous contrainte possible (modalités différentes d'un pays à l'autre)
Worst case scenario[modifier | modifier le code]

Alerte : Alerte alors que la personne n'est pas suicidaire + personnel de santé se trompe dans son évaluation (juge la personne suicidaire alors qu'elle ne l'est pas) : la personne passe quelques jours à l'hôpital pour rien du tout. Traumatisant pour la personne si elle ne souffre d'aucun problème de santé mentale et a été hospitalisée contre son gré. Dans le canton de Vaud, il faudrait qu'au minimum 3 personnels de santé indépendants les uns des autres se trompent dans leurs évaluations successives de la situation (risque non nul, les dispositions légales et la formation des professionnels visent à réduire ce risque au maximum).

Absence d'alerte : La personne est suicidaire, passe à l'acte et parvient à se donner la mort : décès. C'est le pire du pire : personne n'est intervenu pour empêcher son suicider, ni ses proches, ni le personnel de santé. Témoignages de personnes secourues comme quoi elles sont finalement reconnaissantes d'avoir été secourues, notamment pour pouvoir continuer à assumer leurs responsabilités vis-à-vis de leur(s) enfant(s).

  1. a b et c (en) RE Emery, « Parental Alienation Syndrome: Proponents bear the burden of proof », Family Court Review, vol. 43, no 1,‎ , p. 8–13 (lire en ligne [PDF])
  2. a et b (en) Richard Bond, « The Lingering Debate Over the Parental Alienation Syndrome Phenomenon », Journal of Child Custody, vol. 4, no 1,‎ , p. 37–54
  3. a et b (en) David Martindale et Jonathan W. Gould, The Art and Science of Child Custody Evaluations, New York, The Guilford Press, (ISBN 1-59385-488-9)
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Hoult2006
  5. a b c d et e (en) RA Warshak, « Current controversies regarding parental alienation syndrome », American Journal of Forensic Psychology, vol. 19, no 3,‎ , p. 29–59 (lire en ligne [PDF])
  6. a et b (en) M. J. Ackerman, Clinician's guide to child custody evaluations, New York, John Wiley & Sons, (ISBN 0-471-39260-X), p. 73–82
  7. (en) E. R. Ragland et H. Fields, « Parental Alienation Syndrome: What Professionals Need to Know Part 1 of 2 Update », American Prosecutors Research Institute Newsletter, vol. 16, no 6,‎ (lire en ligne)
  8. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Bruch2001
  9. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Wood1994
  10. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Faller1998
  11. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Baker2007
  12. (en) Richard A. Warshak, « Bringing sense to Parental Alienation: A Look at the Disputes and the Evidence », Family Law Quarterly, vol. 37, no 2,‎ , p. 273–301
  13. a et b (en) L Drozd, « Rejection in cases of abuse or alienation in divorcing families », dans R. M. Galatzer-Levy, L. Kraus et J.Galatzer-Levy, The Scientific Basis of Child Custody Decisions, 2nd Edition, John Wiley & Sons, (ISBN 9780470038581), p. 403–416.
  14. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Jaffe2002
  15. (en) S. N. Sparta et G. P. =Koocher, Forensic Mental Health Assessment of Children and Adolescents, Oxford University Press, (ISBN 9780195145847), p. 83, 219–221
  16. (en) KH Waldron et D. E. Joanis, « Understanding and Collaboratively Treating Parental Alienation Syndrome », American Journal of Family Law, vol. 10,‎ , p. 121–133 (lire en ligne)
  17. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Caplan2004
  18. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Bow2009
  19. a et b (en) Nicholas Bala, Barbara-Jo Fidler, Dan Goldberg et Claire Houston, « Alienated Children and Parental Separation: Legal Responses in Canada's Family Courts », Queen's Law Journal, vol. 33,‎ , p. 79–138 (lire en ligne)
  20. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Johnston2004
  21. (de) M. Müller, Erinnerungen: Erlebte Psychiatriegeschichte 1920–1960, Springer-Verlag, (ISBN 978-3-642-68435-7, lire en ligne), page 7/ Du coup obligation de remettre en utilisation la vieille Tollhaus, ibidem p7
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Réflexion sur le militantisme dans Wikipédia : réflexion du bistro du 9 nov. 2020[modifier | modifier le code]

Citation Bob St Clar :

"Comme le note TigH, la première intervention de Kirtap résume fort bien l'enjeu, et le sujet à présent est de définir précisément ce qui entre dans le cadre du militantisme. Je retiens la remarque d'Ypirétis sur la posture « tu es avec moi ou contre moi » qui me semble un excellent marqueur. Je suis plus réservé sur l'interprétation de Jules* qu'on est toujours le militant de l'autre : j'estime qu'il y a justement une différence essentielle entre militer et débattre — et a fortiori rechercher un consensus — et que brouiller la frontière entre les deux est le meilleur moyen de banaliser le militantisme dans nos échanges, censés être collaboratifs ; le militant ne recherche pas le consensus, contrairement au débatteur (sur Wikipédia, il est du moins censé le faire). Et comme plusieurs personnes manifestement, je souscris entièrement au résumé qu'a formulé Irønie.

Quelques défitions IRL pour fixer les idées :

le Wiktionnaire définit un groupe de pression comme un « groupe qui a pour but d’influencer de façon organisée et souvent pressante les décisions d’un gouvernement (ou d’un autre organisme politique de taille importante), sur un sujet donné ». Il définit le militantisme comme « activisme, prosélytisme, zèle dont une personne fait preuve en vue de rallier des personnes à une cause ».

Le CNRTL définit un militant comme quelqu'un « qui combat, qui lutte », et, par extension, « qui cherche par l'action à faire triompher ses idées, ses opinions; qui défend activement une cause, une personne ».

Pour apporter ma pierre au débat, je perçois le militantisme sur Wikipédia comme toute manifestation d'une volonté de passer outre le consensus existant pour imposer un point de vue non consensuel en esquivant ou en désorganisant les discussions. Sur le main, cela revient à passer outre WP:Proportion, comme le fait remarquer Jean-Christophe BENOIST. Et comme c'est dans le meta que s'établit le consensus pour juger de cette « proportion », militer dans le meta pour interférer dans ce jugement peut directement influencer le main en modifiant la proportion des points de vue dans l'encyclopédie'''."

Catégorisations raciales et violations des droits humains[modifier | modifier le code]

En octobre 2020, la Commission est chargée d'une plainte émanant de l'association People Against Race Classification, créée et dirigée par Glen Snyman[1].

Polémiques[modifier | modifier le code]

Nomination de Lawrence Mushwana[modifier | modifier le code]

Accusations de doubles standards raciaux[modifier | modifier le code]

Le syndicat «Solidariteit» a critiqué la commission pour ce qu'elle prétend être un parti pris et des préjugés raciaux. Une étude comparative a révélé que la SAHRC est beaucoup plus susceptible d'ouvrir elle-même une enquête lorsque l'auteur de l'infraction est blanc et qu'elle est plus indulgente dans sa punition des infractions commises par des noirs.[2] [3] Des plaintes ont été déposées à la SAHRC contre le politicien Julius Malema suite à plusieurs de ses déclarations. Malema avait dit "tuer les Boers " (boer signifiant Sud-Africain / Afrikaner blanc ), qu'il « n'appelait pas - du moins pas maintenant - au massacre - des blancs[4]» et avait fait plusieurs remarques racistes à l'encontre de personnes d'ascendance indienne en les accusant d'exploiter les personnes noires.

En mars 2019, la Commission sud-africaine des droits de l'homme a cependant statué que ces propos de Malema ne pouvaient être poursuivis en tant que discours de haine, argumentant ne pas avoir trouvé de base légale permettant de condamner Malema pour ses propos. En 2011, Malema avait cependant été reconnu coupable en 2011 par la Haute Cour de Johannesburg de discours de haine pour avoir scandé " Shoot the Boer ". [5]

Le Dr Shanelle Van Der Berg de la SAHRC a justifié la décision de la SAHRC sur Malema en déclarant que le conseil applique différents seuils de ce qui constitue un discours de haine en fonction de la race de l'auteur présumé, en raison de l'histoire de la nation. Le Dr Van Der Berg a également affirmé que le traitement inégal des auteurs en fonction de leur appartenance ethnique, les commentaires des Blancs étant punis plus sévèrement, était conforme à la constitution sud-africaine.

  1. (en) https://www.timeslive.co.za/authors/bobby-jordan, « SAHRC confirms probe into 'coloured' teacher who self-identified as 'African' », sur TimesLIVE,
  2. (en) Mulder, « Letter to the Editor: Solidarity does have an axe to grind », www.dailymaverick.co.za, (consulté le )
  3. (en-US) « How the response to black and white racism differs - Solidarity », Politicsweb,‎ (lire en ligne)
  4. (en-GB) « SAHRC finds Malema comments referred to commission not hate speech », sur sahrc.org.za (consulté le )
  5. (en) « Malema guilty of hate speech », TimesLIVE