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Idaou Ali[modifier | modifier le code]

Idaou Ali ou Ida ou Ali ou Idaouali (en arabe : إدوعلي) est une tribu maure appartenant au groupe des Beidanes et parlant la hassanya. Les Idaou Ali sont connus pour être les fondateurs de Chinguetti et pour avoir joué un rôle significatif dans la région sur les plans politique, religieux et économique.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Idaou Ali est également orthographié Ida ou Ali (forme fréquente en français), Idaouali, Idawali, Idewaali, Idouali, Idaw Ali, Ida'Ali ou Ida u Ali.

Idaou est un préfixe amazigh très courant dans l’ethnonymie berbère marocaine, plus précisément dans le domaine chleuh qui s'étend des pentes nord du Haut Atlas occidental aux pentes sud de l'Anti-Atlas[1]. Ce préfixe pluriel, qui se trouve également dans le domaine maure, signifie « fils de ».

Ali (en arabe : علي) est un prénom arabe qui signifie « l'élevé, le haut ».

Le nom de la tribu vient donc du nom de son ancêtre éponyme et Idaou Ali signifie « Fils d'Ali ». C'est pourquoi les membres de la tribu sont également appelés les « Alaouites » (العلويين), ce qui signifie « descendants d'Ali » dans le cas présent.

Localisation[modifier | modifier le code]

Les Idaou Ali vivent dans la région appelée localement par les Maures Trab el Bidane (parfois retranscrit Trab el Bizane) qui signifie « pays des Blancs », par opposition au « pays des Noirs » (Trab el Soudan) plus au sud. Dans le monde arabo-musulman, cette même région était connue sous le nom de Trab Chinguit ou Bilad Chinguitti, du nom de Chinguetti qui était la cité la plus influente de la région. Ces différentes dénominations, qu'elles soient maures et arabes, englobaient toute l'aire culturelle maure, soit actuellement la Mauritanie, le Sahara Occidentale, le sud du Maroc et une partie de l'Algérie.

Plus précisément, les Idaou Ali ont surtout peuplé l'Adrar, où ils ont fondé Chinguetti, le Tagant où ils ont fondé Tidjidjka, ainsi que le Trarza dans une moindre mesure.

De nos jours, ils se trouvent principalement dans la capitale mauritanienne Nouakchott. Chinguetti est déserté.

Sociologie[modifier | modifier le code]

Statut de zaouïa[modifier | modifier le code]

Chez les Maures Blancs, dit Beidanes, on distingue une organisation statutaire dans laquelle sont distingués trois groupes, dont deux groupes occupent le sommet de la hiérarchie : les tribus guerrières, dites Arabes ou Hassan, et les tribus religieuses ou clericales, dites zaouïa ou tolba. Le troisième groupe est celui des tributaires dit znâga. La tribu d'Idaou Ali fait partie des plus grandes tribus zaouïa. Cette tribu de lettrés n'avait donc pas l. Production littéraire, production religieuse. Bibliothèque.

En tant que tribu zaouïa, parfois qualifié d'ordre de clercs, les Idaou Ali se consacraient traditionnellement à l'étude, à l'enseignement et à toutes les activités liées à la religion dont ils avaient quasiment le monopole. En effet, les tolba étaient les seuls lettrés. Les domaines étudiés et enseignés couvraient notamment la théologie, le droit, la poésie, l'histoire, la géographie et l'astronomie[2]. À ce titre, les Idaou Ali possèdent de nombreux manuscrits anciens dans leurs bibliothèques.

Qualité de chérif[modifier | modifier le code]

De par leur ascendance revendiquée, toute la tribu des Idaou Ali est reconnue comme chérifienne. La qualité de chorfa est très commune parmi les tribus zaouïa qui ont revendiqué ce statut prestigieux pour différentes raisons politiques, notamment pour faire face aux tribus arabes dits hassan. En effet, les Idaou Ali, tout comme les autres tribus zaouïa, sont des descendants des Sanhadjas qui ont résistés aux tribus hassan avant de leur laisser le monopole des armes et de se consacrer à la religion. Dans l'histoire des tribus zaouïa, la reconnaissance chérifienne était donc un outil politique pour prendre l'ascendant symbolique sur leurs rivaux arabes descendants des Banu Hassan. Quoi qu'il en soit, la plupart des tolba reconnaissent aux Idaou Ali cette qualité[3]. Les prétentions des Idaou Ali sont exposées dans un opuscule intitulé Transmission authentique des origines alides des Idaou AIi et bekrides de Mohammed R'ell, rédigé par Abdallah fils d'El-Hadj Brahim fils de l'Imam Abd Er-Rahman et daté de décembre 1790 (deuxième décade de Rebi II de l'an 1205 hégire)[4]. D'après ce document, ils descendent d'Ali Ibn Taleb,

La démonstration s'appuie des méthodes d'authentification traditionnelle et ne résiste pas à la critique scientifique moderne. Comme dans la généalogie de toutes tribus zaouïa, nombre des ancêtres des Idaou Ali portent d'ailleurs des noms non arabes, ce qui met en doute la véracité historique de cette ascendance.

Pratiques religieuses[modifier | modifier le code]

Comme les autres tribus maures, les Idaou Ali sont des musulmans sunnites de rite malikite. Etant donné leur statut de tolba au sein de la société maure, de nombreux oulémas ont vu le jour chez les Idaou Ali. Contrairement aux autres tribus zaouïa qui sont adeptes de la confrérie Qadiriya, les Idaou Ali ont la particularité d'avoir rejoint la confrérie Tijaniya à la fin du XVIIIème siècle par Sidi Mohamed El Hafidh dit Beddi. Après lui, ses successeurs qui étaient son fils Cheikh Ahmed et son beau-frère et disciple Mohammedi Beddi ont oeuvré pour propager cette voie. Depuis cette date, cette affiliation participe au particularisme soigneusement cultivé par les Idaou Ali dans la société maure. Des auteurs ont avancé que le tidjianisme est un élément unificateur des Idaou Ali, divisés dans trois régions depuis le XVIIIème siècle.

La particularité

Ainsi, Chinguetti et Tidjijka étaient traditionnellement des centres de diffusion de cette voie soufie.

Organisation sociale[modifier | modifier le code]

La tribu des Idaou Ali est divisée en trois Jean-Claude Garcins qui correspondent à leur lieu de peuplement[3], à savoir l'Adrar, le Tagant et le Trarza. Cette dispersion en trois fractions date de la fin du XVIIème siècle. Chaque fraction a un

Activités économiques[modifier | modifier le code]

Etant donné leur position sociale et politique, les Idaou Ali ont développé une intense activité économique qui a fait leur renommé jusqu'à nos jours. Ainsi, les Idaou Ali sont connu pour leur sens du commerce. La forte solidarité entre les différentes fractions de la tribu présente dans différentes régions du pays a favorisé leur réussite économique.

Les tribus maraboutiques onr comme activitiés traditionnelles : l'élevage, le commerce, l'enseignement et le rayonnepment religieux[5].

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque médiévale[modifier | modifier le code]

Périple légendaire[modifier | modifier le code]

D'après la légende, avant leur arrivée en Adrar au XIVème siècle, les ancêtres d'Idaou Ali ont fait un périple marqué par des séjours à Koufa, l'Egypte, Tunis, Tlemcen, Tafilalet, la Seguia, l'oued Noun, l'oued Draa, Tabelbalet et enfin l'Adrar.

Etape de Tabelbala[modifier | modifier le code]

C'est leur dernier séjour avant leur arrivée dans l'Adrar mauritanien qui intéresse le plus les historiens. En effet, les sources provenant des Idaou Ali donnent moult détails. Dans les sources locales, Tabelbala est située dans le sud-ouest marocain, qui ne correspondrait pas à Tabelbalet, qui se trouve au sud-ouest du Maroc, dans la région algérienne de Beni Abbès.

Installation à Abeïr[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses tribus, les ancêtres des Idaou Ali ont migré vers le sud suite au harcèlement des tribus arabes des Banu Hassan qui s'est intensifié contre les tribus sanhadja de tout le Sahara occidentale à partir du XIVème siècle. Ainsi, les ancêtres des Idaou Ali se sont installés au début du XIVème siècle dans l'Adrar et plus précisément dans la ville d'Abeïr, à l'époque florissante. Les tribus des alentours, comme les Idaou Aïch ou les Idaou Belhassen, étaient tributaires des Idaou Ali qui étaient chargés de la sécurité de la région.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

À la fin du XVème siècle, un différend éclate entre les deux branches de la tribu issues du fondateur de la tribu, Ali, à savoir les idaou Ali noirs et les Idaou Ali blancs. Ces deux dénominations n'impliquent aucune différence ethnique.

Les premiers s'exilent alors à quelques kilomètres d'Abeïr, à Chinguetti, alors petit village sans importance qu'ils refondent et qui va connaître une grande prospérité. Cet évènement provoque le déclin et le dépeuplement d'Abeïr et l'indépendance des fractions qui payaient le tribut aux Idaou Ali[6].

Fondation de Chinguetti[modifier | modifier le code]

Il existe deux récits de fondation de Chinguetti.

À la fin du XIVème siècle, Yahya, fils d'Ali, de la branche noire, commet un crime contre un de ses cousins de la branche blanche. Il est alors décidé de l'exiler hors d'Abeïr. Il erre dans le désert avant de s'installer dans un petit village où vit Amor ben Yabni, l'ancêtre des Ida Ijer de la future fraction de Tijikja. Il est ensuite rejoint par des parents et des amis pour former un ensemble compact et important[6].

Il existe une version alternative de la fondation de Chinguetti, quoique moins répandue. Yahya fut en effet exilé d'Abeïr pour avoir tué un homme qui se livrait dans un quartier de la cité à un acte odieux. Le banni s'arrêta chez le saint Mohammed R'ell (l'ancêtre de la tribu cousine des Laghlal) dont la cabane s'élevait sur l'emplacement de la future Chingueti. Deux indigènes de la vallée, Amor l'ancêtre des Amgarig (fraction actuelle des Ida Ou AU de l'Adrar) et Id Ijer (ancêtre des Oulad Mouloud ben Ahmed), vinrent se joindre à eux et tous quatre commencèrent dans un concours de circonstances miraculeuses, l'édification de la cité[6].

Les deux versions se rejoignent sur différents points. Quoi qu'il en soit, le ksar de Chinguetti est édifié dans un lieu préexistant et la ville se développe rapidement jusqu'à devenir la cité la plus importante du Sahara occidentale vers 1525. D'après Sidi Mokhtar (1750-1811), grand cheikh de la tribu des Kounta, Chinguetti possédait alors 11 mosquées, dont la mosquée El Atiq seule encore debout, cent points d'eau et était considérée comme la septième ville sainte de l'Islam[6].

La renommée de Chinguetti, ainsi que l'affluence des pèlerins au départ de cette ville, ont entraîné la désignation de toute la région maure par le nom Bilad Chinguetti en Orient et les maures par le gentilé Chenagta[6].

Dispersion des Idaou Ali[modifier | modifier le code]

Le XVIIème siècle est marqué par la guerre de Char Bouba qui oppose des tribus religieuses aux tribus guerrières. Les Idaou Ali refusaient de se joindre aux autres tribus religieuses, par crainte d'être plus exposés à cause de leur position excentrique en Adrar ou pour se démarquer des autres tribus et préserver ainsi leur rang[7].

C'est dans ce cadre que les dissensions entre les deux branches des Idaou Ali éclatent vers 1635, après plus d'un siècle de paix[8].Ces luttes intestinales, qui sont des luttes de pouvoirs entre les deux fractions, ont duré 40 ans avec des intermèdes de paix jusqu'à atteindre le point d'orgue vers 1675. En effet, pendant que la plupart des Idaou Ali blancs se trouvaient en caravane de commerce vers Nioro (Nioro au Sahel), les Idaou Ali noirs profitent de leur absence pour massacrer tous ceux restés à part un vieil aveugle appelé Taleb Ahmed. Taleb Ahmed se réfugie alors chez les Laghlal, cousins des Idaou Ali, qui sont restés neutres tout au long du conflit entre les deux branches. Les Laghlal emmène le vieillard à la caravane des Idaou Ali blancs qui n'est pas rentrée à Chinguetti.

Fondation de Tidjikdja[modifier | modifier le code]

Taleb Ahmed à leur tête, les Idaou Ali blancs erraient dans le désert à la recherche d'une nouvelle terre pour les accueillir. Tous les soirs, ils s'arrêtaient pour camper et présentaient la terre à Taleb Ahmed pour qu'il sente avant qu'il ne demande de continuer. Vers 1680, passé l'Oued Rechid, il décide de l'établissement définitif de son peuple dans un lieu de la région du Tagant où sera fondée le ksar de Tidjikdja. Cette fraction des Idaou Ali deviendra les maîtres incontestés de la région et Tidjidjka sa ville le plus influente.

Installation dans le Trarza[modifier | modifier le code]

À Chinguetti, une fraction des Idaou Ali noirs a violemment protesté contre les événements qui ont conduit au massacre des Idaou Ali blancs. Menée par leur chef, nommé Abija, elle quitte la ville pour s'installer dans le Trarza entre 1675 et 1680. Cette fraction connaît plus de difficulté pour s'imposer dans cette région, surtout face aux Ida Belhassen. Ils se font ainsi refoulés après deux grands combats à Ler'biri et Irzig au début du XIXème siècle[9].

Unité des Idaou Ali[modifier | modifier le code]

À partir de 1675, et jusqu'nos jours, les Idaou Ali sont divisés entre trois fractions : Adrar, Tagant et Trarza.

Le passif entre les trois fractions s'est effacé petit à petit avec le temps.

Ainsi, la fraction de l'Adrar s'est alliée à celle du Tagant face aux Kounta et Idaou El-Hadj de l'Adrar qui lui faisaient perpétuellement la guerre et lui avaient même enlevé l'oasis de Tanouchert, dépendance ancienne de Chingueti.

1742/1743, les Idaou Ali

soutenus par des troupes du sultan qui séjournent dans la ville, les Idaouali pressions[10]255.

Tensions entre les deux cités voisines, sans doute pour des intérêts commerciaux, peut-être le contrôle de l'exploitation de la saline dIdjil. Ouadne contrôlé par les idaou Haj allié Kounta, arrivée aux XVIIème dans cette cité.

Les deux fractions ont volé au secours de celle du Trarza dans sa lutte contre les Ida Belhassen qu'ils vaincront définitivement aux batailles de Tin Dijmara, Bel Hanoucha, Aqouret et Tin Douja (1850-1860)[9].

Proximité avec les sultans/le Maroc[modifier | modifier le code]

À partir du XVIIème siècle, des liens étroits unissent les sultans du Maroc, Moulay Ismaël et ses successeurs, avec les Idaou Ali[11]. En effet, dès 1669, une nouvelle expédition atteint Chinguetti qui devient la plaque tournante pour les sultant du Maroc dans leurs entreprises sahariennes[10]. Chinguetti va même accueillir le sultan en 1689 pour recevoir l'hommage des tribus de la région, dans le cadre de son expédition contre le Tichit et le Tagant[12]. Les Idaou Ali avaient pour habitude de transiter. Fès


Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Après avoir les Idaou Ali ont signé l'aman

Les tribus maraboutiques avaient le souci de pacifier un espace de plus en plus déchiré par les rivalités tribales[13].

Généalogie[modifier | modifier le code]

L'arbre généalogique suivant n'a pas de réelle valeur historique jusqu'aux ascendants directs d'Ali ould Belhamar ould Hemeknebel (en gras dans l'arbre), ancêtre éponyme de la tribu des Idaou Ali. En effet, le rattachement de la tribu à Ali ibn Tolba est sujet à discussion comme c'est le cas avec la grande majorité des familles chorfa dans le monde arabo-musulman.

Parenté et alliance[modifier | modifier le code]

Ahel Bouna[modifier | modifier le code]

Les Ahel Bouna est une fraction de la tribu des Tadjakant. Mais ils sont la descendance du Marabout Bouna, d'origine Ida Ou Ali du Tagant, qui vivait vers le milieu du xviii siècle, et vint s'installer auprès des Tadjakant. Marié à une femme Djakanïa, il a fait souche chez eux et s'est incorporé à la fraction (fin clu.xViii, commencement du xixe siècle). Le membre le plus célèbre de campement est Mokhtar Ibn Bouna (commencement du xixe siècle) qui a composé plusieurs ouvrages, universellement réputés dans le Sahara maure.

Id Eiqoub[modifier | modifier le code]

Plusieurs de la tribu zaoïa Id Aiqoub sont passé avec Mouloud Fal chez les Ies Idaou Ali et ont embrassé le tidjanisme. page 244

Laghlal[modifier | modifier le code]

La Laghlal, qui descend de Mohammed R'ell, est une tribu cousine.

Lemradine[modifier | modifier le code]

Smassides[modifier | modifier le code]

Par pièté, les Idaou Ali ne prenaient jamais leur imam parmi eux. Ils avaient ainsi l'habitude de prendre leur imam parmi les Smassides. Au tournant du XVIIème siècle, ils choisissent néanmoins un Laghlal auquel ils sont également lié. Froissés par ce choix, les Smassides quittent alors Chinguetti pour protester. Cet épisode n'a pas mis fin à leur relations car des liens très étroits ont subsisté entre les Smassides et les Idaou Ali.

Personnalités[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dans l'Adrar mauritanien, une dépression porte le nom de Tayert Idaou Ali ou Taïeurt Idaou Ali[15],[16].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Etudes sur l'islam maure : Cheikh Sidïa, les Fadelïa, les Ida ou Ali / par Paul Marty
  • Ould Khalifa (Abdallah) : La région du Tagant en Mauritanie. L'oasis de Tuigia entre 1660 et 1960

Référence[modifier | modifier le code]

  1. Salem Chaker, Encyclopédie berbère, t. 24, (lire en ligne), « Ida », p. 3619-3620
  2. Odette du Puigaudeau, « Sous les tentes de science du Sahara maure », Conjonction, no 35,‎ , p. 1-7 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  3. a et b Paul Marty, Études sur l'Islam maure : Cheikh Sidîa, les Fadelîa, les Ida ou Ali, Paris, Ernest Leroux, , 252 p. (lire en ligne), p. 199
  4. Paul Marty, op. cit., p. 200.
  5. Francis de Chassey, Mauritanie 1900-1975, Paris, L'Harmattan, , 492 p. (ISBN 2-85802-435-6[à vérifier : ISBN invalide]), p. 86
  6. a b c d et e Paul Marty, op. cit., p. 204-205.
  7. Paul Marty, L'émirat des Trarzas, Paris, Ernest Leroux, (lire en ligne), p. 46
  8. Paul Marty, op. cit., p. 206.
  9. a et b Paul Marty, op. cit., p. 209.
  10. a et b Pierre Bonte, L'émirat de l'Adrar mauritanien: Harîm, compétition et protection dans une société tribale saharienne, Paris, Karthala, , 576 p. (ISBN 9782811100230, lire en ligne), p. 251
  11. Michel Abitbol, Histoire du Maroc, Paris, Perrin, (lire en ligne), « Le Maroc sous le règne des ‘Alawites », p. 230-286
  12. Paul Marty, op. cit., p. 208.
  13. Les trajectoires d'une Etat-frontière, Dakar, CODESRIA, , 342 p. (ISBN 2-86978-136-9)
  14. Geneviève Désiré-Vuillemin, « « Al Wâsit ». Tableau de la Mauritanie au début du XXe siècle, présenté par Ahmed-Bâba Miské », Outre-Mers. Revue d'histoire, no 220,‎ , p. 471-472 (lire en ligne)
  15. (en) Gazetteer - United States Board on Geographic Names: Official Standard Names Approved by the United States Board on Geographic Names, Numéro 100, U.S. Army Topographic Command, Geographic Names Division, (lire en ligne), p. 69
  16. « Tayaret Idaou Ali », sur mapcarta.com (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

  • Les Maures
  • Histoire de la Mauritanie
  • L'Islam en Mauritanie