Sepia elegans

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Seiche élégante

Sepia elegans, la Seiche élégante[2], est une espèce de seiches de la famille des Sepiidae et qui se rencontre dans l'Atlantique est et en Méditerranée.

Systématique[modifier | modifier le code]

L'espèce Sepia elegans a été décrite pour la première fois en 1827 par le zoologiste français Henri-Marie Ducrotay de Blainville (1777-1850)[2].

Répartition[modifier | modifier le code]

Sepia elegans se rencontre dans l'Atlantique est depuis le Royaume-Uni jusqu'à l'Angola ainsi qu'en Méditerranée[2]. Cette espèce est présente entre 15 et 500 m de profondeur mais est plus fréquente vers 150 m de profondeur[2].

Description[modifier | modifier le code]

Sepia elegans mesure jusqu'à 72 mm pour les mâles et jusqu'à 89 mm pour les femelles[2] et ce pour une masse maximale de 60 g[2].

Parasites[modifier | modifier le code]

L'espèce de ciliés Chromidina elegans est un parasite des sacs rénaux des céphalopodes[3],[4],[5], et en particulier de la seiche Sepia elegans[6].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. BioLib, consulté le 19 mai 2022
  2. a b c d e et f SeaLifeBase, consulté le 19 mai 2022
  3. Foettinger A., 1881. Recherches sur quelques Infusoires nouveaux parasites des Céphalopodes. Archives de Biologie, 2, 345-378.
  4. Gonder R. 1905. Beiträge zur Kenntnis der Kernverhältnisse bei den in Cephalopoden schmarotzenden Infusorien. Archiv für Protistenkunde, 5, 240-262.
  5. Chatton E. & Lwoff A., 1935. Les Ciliés Apostomes. Morphologie, cytologie, éthologie, évolution, systématique. Première partie. Aperçu historique et général. Étude monographique des genres et des espèces. Archives de Zoologie Expérimentale et Générale, 77, 1-453.
  6. (en) Dhikra Souidenne, Isabelle Florent, Marc Dellinger, Jean Lou Justine, Mohamed Salah Romdhane, Hidetaka Furuya et Philippe Grellier, « Diversity of apostome ciliates, Chromidina spp. (Oligohymenophorea, Opalinopsidae), parasites of cephalopods of the Mediterranean Sea », Parasite, vol. 23,‎ , p. 33 (ISSN 1776-1042, DOI 10.1051/parasite/2016033, lire en ligne) Accès libre.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Blanville, 1827. Manuel de malacologie et de conchyliologie, Nouvelles additions et corrections au Genera, F-G. Levrault, Paris.