Prem Rawat

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Prem Rawat
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Prem Rawat à Barcelone en mars 2018
Nom de naissance Prem Pal Singh Rawat
Naissance (66 ans)
Drapeau de l'Inde Haridwar, Inde
Nationalité Indien, Américain
Pays de résidence États-Unis
Activité principale
Conférencier international
Ascendants
Sri Hans Ji Maharaj

Prem Pal Singh Rawat, plus connu sous les noms de Prem Rawat ou Maharaji, est né le à Kankhal, Inde du Nord. Il est arrivé en Occident au début des années 1970, porteur d’un message de paix et proposant quatre techniques de méditation qu'il appelle la « Connaissance »[1], pratique qui conduirait à la paix et la satisfaction intérieures. Un temps perçu comme leader d’un nouveau mouvement religieux[2],[3], il est reconnu aujourd’hui comme ambassadeur de la paix[4],[5]. Les évolutions de son discours et des associations qui relaient son message ont suscité, à ses débuts, des controverses. Néanmoins, il a obtenu depuis une certaine reconnaissance internationale pour son action en faveur de la paix, responsabilité individuelle souligne-t-il, plutôt que celle des institutions.[6],[7],[8],[9],[10]

L’enfance

Prem Rawat est le plus jeune des quatre fils de Sri Hans Ji Maharaj, maître indien d'une certaine renommée[11]. Dès l'âge de 4 ans, il commence à parler en public dans les meetings de son père et l'accompagnera ensuite régulièrement lors de ses tournées. En 1966, à la mort de celui-ci, Prem Rawat prend sa succession. Il n'a alors que 8 ans. Selon lui, Shri Hans Ji Maharaj avait exprimé à plusieurs reprises que son plus jeune fils serait appelé à porter son message au-delà des frontières de l'Inde. C'est dans ce but qu'il l'avait inscrit à l'école catholique Saint-Joseph de Dehradun pour y apprendre l'anglais[6].

En plein essor des pratiques spirituelles venues d’Inde, quelques jeunes occidentaux se rendent en 1968 à l'ashram du jeune Maharaji et y reçoivent la Connaissance. De retour chez eux, ils l'invitent dès 1971 à venir donner des conférences en Europe et aux États-Unis. Prem Rawat a alors 13 ans[6].

Prem Rawat en 1966, à l'âge de 8 ans, en deuil de son père, Shri Hans Ji Maharaj

Les années de jeunesse

The Divine Light Mission (Divya Sandesh Parishad) est fondée en 1960 en Inde par Shri Hans Ji Maharaj, à la demande d'un groupe de ses disciples[12]. À la mort de celui-ci, en raison du très jeune âge de Prem Rawat, la direction est un temps répartie entre les membres de la famille et quelques disciples proches. Le mouvement organise à l'époque de nombreux festivals issus de l'hindouisme comme Holi, Guru Puja et Hans Jayanti. Ce dernier festival, en 1972, attira 500 000 participants[13]. En 1973, la section britannique du mouvement, organise le « Festival of Love » à l'Alexandra Palace de Londres. Quelques critiques négatives commencèrent à apparaître dès cette époque. La plus importante se rapportait à l'impression que Prem Rawat donnait d'être le nouveau Messie[14]. Mais lui-même a régulièrement réfuté ce genre de propos à son égard, préférant se présenter comme quelqu’un qui cherche simplement à apporter la paix aux gens[15].

En 1974, Rawat devient, à 16 ans, mineur émancipé et épouse Marolyn Johnson, suscitant la désapprobation de sa mère qui considère que cette union avec une occidentale enfreint la tradition hindoue[16]. Ce sera la rupture définitive entre eux, Prem Rawat montrant des signes de plus en plus évidents d’émancipation vis-à-vis de ces traditions. S’en suivra une période houleuse de réorganisation progressive du mouvement, avec des défections en son sein et des accusations de dérive sectaire largement médiatisées.[17],[18],[19],[20],[21]

En 1980, Prem Rawat décide de rendre son message plus universel en abandonnant, dans ses discours, les termes hérités de sa culture hindoue d’origine (comme guru remplacé par maître). Hors de son pays natal, il s’habille dorénavant à l’occidentale.[22],[23].

En 1983, la Mission de la Lumière Divine est dissoute et remplacée par une nouvelle structure moins bureaucratique, Élan vital[24],[25]. Des organisations similaires verront le jour dans de nombreux pays. Ce changement de nom correspond, selon Prem Rawat, à la nécessité de mettre en évidence le caractère universel de son message : « Ce message est simple. Il n’est lié à aucune religion. Il n’est lié à aucune philosophie. Il s’adresse aux personnes vivantes qui veulent faire l’expérience de la chose vivante qui se trouve en elles. » [26],[27]

La maturité

La biographie qu’Andrea Cagan a consacré à Prem Rawat mentionne que dès 1972, il commença à prendre des leçons de pilotage aéronautique pour finalement acquérir un premier avion en 1979, un vieux Boeing 707 acheté d’occasion[6]. Depuis lors, c’est aux commandes d'un jet privé de location qu’il se déplace, allant jusqu’à parcourir 250 000 miles par an[1]. Pour indication, sur la période 2004-2006, il aurait donné environ 62 conférences dans 37 villes et 21 pays. Sur la période 2007-2009, ces chiffres seraient passés à 156 conférences dans 101 villes et 29 pays[28].

En 2001, une nouvelle étape est franchie par Prem Rawat qui, selon ses dires, concrétisait là une aspiration qu'il avait eue dans le milieu des années 1970[6] : il crée une fondation humanitaire The Prem Rawat Foundation (TPRF)[29] dont la devise est « Dignité, Paix et Prospérité ». Aux États-Unis, cette fondation est reconnue d’utilité publique par le Better Business Bureau depuis [30]. À fin 2014, la fondation TPRF déclare avoir participé au financement de 160 actions humanitaires, dans 40 pays sur les 5 continents, en partenariat avec 60 autres ONG[31]. Par ailleurs, elle a démarré depuis 2006 son propre programme d’aide alimentaire, Food For People, en Inde, au Népal et au Ghana[32]. Charity Navigator, premier organisme d'évaluation des ONG aux États-Unis, a décerné à TPRF sa meilleure note de 4 étoiles pour l’efficacité et la transparence de sa gestion pendant 4 années consécutives (de 2016 à 2019)[33].

En 2008, Prem Rawat regroupe les activités ayant pour vocation la diffusion de son message de paix au niveau mondial au sein d’une deuxième fondation ayant son siège aux Pays-Bas : Words of Peace Global (WOPG). Elle fonctionne principalement à partir d’un site internet centralisant toutes les informations relatives à ses conférences. En France, il subsiste une association nationale, Paroles de Paix, qui diffuse de l'information.

Une émission de télévision intitulée Words of Peace (Paroles de Paix) est retransmise sur des télévisions locales ou nationales dans une trentaine de pays et a été primée deux fois au Brésil et une fois aux États-Unis[34]. Composée d'extraits de conférences de Prem Rawat, elle a donné lieu à la mise en place, par la fondation TPRF, d’un programme de sensibilisation à la paix nommé Peace Education Program (PEP) qui se déroule en 10 séances et propose « d’aider les participants à découvrir leurs ressources intérieures propres… ainsi que la faculté de ressentir une paix individuelle »[35]. Ce programme a démarré en 2007 dans des prisons[36]. En 2012, il était présent dans 25 prisons dans 10 pays, atteignant plus de 1000 détenus. Les responsables pénitentiaires témoignent de l'impact positif de ce programme sur le comportement des détenus : « Des changements constructifs dans le comportement des participants ont été remarqués par le directeur, le chef de la sécurité et d'autres personnes de la prison de Dominguez au Texas et, à leur connaissance, seulement 3 ou 4 participants ont récidivé. »[37],[38] En 2015, Inside Peace, un documentaire sur ce programme réalisé par Cynthia Fitzpatrick, a été primé 6 fois dans différents festivals de cinéma[39],[40].

Aujourd'hui

Son Programme d’éducation pour la paix (PEP) est un outil qu’utilise un nombre croissant d’institutions, y compris gouvernementales.[41],[42],[43]

Il lance en 2016 un site multimédia TimelessToday, suivi en 2017 par sa déclinaison sous forme d’une application pour Smartphones et tablettes. En 2018 un nouveau programme de préparation à la Connaissance, le PEAK (Peace Education And Knowledge) est lancé[44].

Enseignement

Prem Rawat résume son enseignement comme ceci : « Je montre aux gens comment se tourner vers l’intérieur de soi et trouver la paix. Sans cela, ce que je dis serait une philosophie. »[45].

La base de cet enseignement serait issue du Sant Mat[46] qui professe que les rituels sont inutiles et que la vraie religion est celle de l'amour et de la soumission à Dieu dans son cœur[47],[48]. Mais d'autres sources la situent dans la lignée de l'Advait Mat, un ensemble de courants issus de la doctrine d'Ishwar Totapuri[49]. Il semblerait enfin que Prem Rawat ait accordé de moins en moins d'importance à la lignée au fil du temps[50]. Débarrassé de son inspiration indienne, l’enseignement de Prem Rawat n’en demeure pas moins centré sur la pratique de la méditation et le fait de se tourner « vers l'intérieur » afin de trouver la paix et la joie. Cette pratique repose sur quatre techniques appelées à l’origine Lumière, Harmonie, Nectar et Nom. Prem Rawat abandonnera ces appellations à la fin des années 1980, pour les nommer simplement 1re, 2e, 3e et 4e techniques. Il appelle ces techniques et l'expérience qui découle de leur pratique la « Connaissance ». Cette méthode est présentée comme un moyen pratique de trouver la paix intérieure[51].

Dans une interview donnée au magazine Leaders en , répondant à une question de David Schner, Prem Rawat explique le processus qu'il propose : « Au départ, il s’agit de se familiariser avec ce que j’offre en assistant, par exemple, à une conférence de présentation. Les gens m’écoutent et si cela les intéresse, ils approfondissent en continuant à écouter mes conférences. Ils ne passent à l’étape suivante que lorsqu’ils sont convaincus que c’est vraiment pour eux. Chacun avance à son propre rythme. Cela peut prendre quelques semaines, plusieurs mois et, dans certains cas, des années. Une fois qu’ils sont certains d’être intéressés, je leur enseigne des techniques qui leur permettent d’entrer en contact avec la simplicité qui se trouve à l’intérieur de chacun d’entre nous. »[22].

En 2018, il lance le PEAK (Peace Education and Knowledge), un nouveau cursus de formation pour recevoir la Connaissance.

Emilio Colombo, Ancien président du Parlement européen, Ancien Premier ministre d’Italie, avant-propos de La paix est possible [6] : « Deux définitions de la paix font partie intégrante de notre culture : la paix en tant qu’harmonie et la paix en tant qu’expression d’une justice. La question qui se pose est la suivante : la paix peut-elle réellement exister au sein des nations et des institutions si elle n’existe pas d’abord dans le cœur des êtres humains pour guider leurs actes ? Quelle efficacité y aurait-il à disposer d’une paix de justice si celle-ci n’était pas au préalable ancrée dans le cœur des hommes ? C’est alors qu’au fil de notre quête intime de paix et de plénitude, nous rencontrons le message de Prem Rawat et la pratique intérieure qu’il propose. […] Prem Rawat nous invite à comprendre les fondements mêmes de la vie, à découvrir ce qui se trouve profondément en nous, puis à le projeter dans notre environnement. »

Distinctions et reconnaissance

Prem Rawat a reçu de multiples distinctions, au plan international, pour son message de paix[8]. Il a reçu notamment, en , le Lifetime Achievement Award (Prix de l’œuvre de toute une vie), de la Fondation Asia Pacific Brands. Ce prix récompense ses remarquables contributions dans le domaine du soutien et de la promotion de la paix mondiale[9],[52],[38].

Prem Rawat en juin 2005, lors de l'allocution donnée à l'occasion du 60e anniversaire des Nations Unies

Prem Rawat a donné des conférences dans des universités comme Harvard, Salamanque, Oxford, ou devant des assemblées internationales, comme l'ONU à New York en 2006 (à l'occasion du soutien financier apporté par TPRF au Programme des Nations unies pour le Développement des ressources en eau au Ghana[53]) et le Parlement européen de Bruxelles en pour une conférence internationale intitulée « Paroles de paix pour l’Europe »[54]. À nouveau invité en par le premier vice-président du Parlement européen, Prem Rawat signe aux côtés d’autres personnalités venues de toute l’Europe (notamment Jeremy Gilley, créateur de la Journée Internationale de la Paix des Nations unies[55]) le Pledge to Peace (Engagement pour la paix)[56],[57]. Celui-ci, directement inspiré de son message, engage ses signataires à mener des actions concrètes en faveur de la paix à l'horizon 2012 et au-delà. En , cette déclaration est présentée au Parlement du Royaume-Uni, en présence de Prem Rawat et d'autres personnalités[58].

En , Prem Rawat est également l’orateur principal au « Water and Food Award »[59] ou « WAF » (Prix de l’eau et de la nourriture), au Westminster Hall, à Londres[60]. Il est mécène de ce prix au côté de la Princesse Basma bint Ali de Jordanie[61]. « WAF » récompense les concepts novateurs dans le domaine de la durabilité ou de l'amélioration de l'environnement[60].

Depuis quelques années, les médias internationaux font régulièrement référence à Prem Rawat en tant qu’« Ambassadeur de la paix »[62],[63],[64],[65],[66],[67].

Controverses

Tout au long de son parcours, il se place dans une recherche permanente de nouveaux moyens et d’approches inédites pour mettre son message à la portée de tous selon Ron Geaves[12]. Cela lui a valu de nombreuses critiques, principalement dans les années 70-80, certains observateurs mettant en cause la sincérité de sa démarche et soulignant un train de vie luxueux[68],[69],[70],[71]. Selon le sociologue Paul Schnabel, dans son étude de 1982, l'autorité de Prem Rawat repose principalement sur une mise en scène très étudiée et mise en place par son organisation. Il dit avoir observé qu'il favorise « une attitude non critique de la part de ses élèves, leur donnant la possibilité de projeter leurs fantasmes de divinité sur sa personne »[72].

À la fin des années 90, un petit groupe d’anciens disciples ont relancé de manière virulente ce genre d’accusations en utilisant internet pour relayer leur colère, à travers un site qui prétend démontrer que Prem Rawat serait un manipulateur[73]. Le Docteur Geaves explique leur comportement en ces termes : « Leur principale critique tournerait autour de l’évolution du discours de Prem Rawat qui serait une stratégie de communication cachant des pratiques sectaires » [74].

Bibliographie

  • Rawat, Prem, (2021) - Apprendre à s’écouter, Éditions du Seuil, (EAN 9782021456301)
  • Rawat, Prem, (2019) - Quand le désert fleurit… et autres graines de vie, Éditions Leduc.s, (ISBN 979-10-285-1369-6)
  • Cagan, Andrea, (2009) - La paix est possible : La vie et le message de Prem Rawat, Éditions Albatros, (ISBN 978-3-85219-036-5)
  • Geaves, Ron, (2006) - Globalization, charisma, innovation, and tradition: An exploration of the transformations in the organisational vehicles for the transmission of the teachings of Prem Rawat (Maharaji), Journal of Alternative Spiritualities and New Age Studies, 2 44-62.
  • Rawat, Prem et Wolf, Burt, (2005) - Inner Journey: A spirited conversation about self-discovery (DVD). (ISBN 0-9740627-0-7)
  • Rawat, Prem, (2005) - The Prem Rawat Foundation presents: Maharaji at Sanders Theatre, Harvard University (ISBN 0-9740627-3-1)
  • Rawat, Prem, (2004) - Maharaji at Griffith University, (ISBN 0-9740627-2-3)
  • Geaves, Ron, (2002) - From Divine Light Mission to Elan Vital and Beyond: an Exploration of Change and Adaptation, International Conference on Minority Religions, Social Change and Freedom of Conscience, University of Utah at Salt Lake City.
  • Hadden, Jeffrey K. et Elliot III, Eugene M., (2002) - Divine Light Mission/Elan Vital in Melton, Gordon J. et Bauman, Martin (Eds.) Religions of the world: A Comprehensive Encyclopedia of beliefs and practices, ABC-CLIO, (ISBN 1-57607-223-1)
  • DuPertuis, Lucy, (1986) - How people recognize charisma: the case of darshan in Radhasoami and Divine Light Mission, Sociological Analysis, University of Guam, vol. 47, no 2.
  • Downton, James V., (1979) - Sacred journeys: The conversion of young Americans to Divine Light Mission, Columbia University Press. (ISBN 0-231-04198-5)
  • Cameron, Charles, (Ed.), (1973) - Who Is Guru Maharaj Ji?, Bantam Books, Inc.

Liens externes

Références

  1. a et b Ron Geaves (2006), An exploration of the transformations in the organisational vehicles for the transmission of the teachings of Prem Rawat (Maharaji)
  2. Françoise Champion, « Nouveaux mouvements religieux et conflits de société (1965-1985) »
  3. Les réponses politiques à la question des sectes, mémoire de recherche de Lionel Mariani (2007), p. 41 à 45
  4. Ambassadeur de la Paix à l’Université internationale de la Paix, Brésil
  5. Ambassadeur de la Paix de la région de Basilicata, Italie
  6. a b c d e et f Andrea Cagan (2009), La Paix est possible
  7. Témoignages de personnalité
  8. a et b Honneurs et distinctions (source TPRF)
  9. a et b Les lauréats du Lifetime Achievement Award
  10. « Le temps de la paix est arrivé et nous devons agir. Ce n'est pas l'affaire des gouvernements ; cela concerne chacun d'entre nous. » Prem Rawat, septembre 2010, Argentine.
  11. Hans Jayanti (2000), p. 24-37. DUO, New Delhi
  12. a et b Ron Geaves (2004), From Divine Light Mission to Elan Vital and Beyond: an Exploration of Change and Adaptation
  13. "Guru's Pupil Slates Talk", SYRACUSE POST-STANDARD February 3, 1973. p. 3
  14. p. 52" Kent (2001), p. 52 « Tout ce que je peux dire, honnêtement, c'est que très bientôt, chaque être humain va savoir que celui qui est attendu par toutes les religions est bien arrivé. » Rennie Davis, août 1973
  15. Rolling Stone Magazine no 156, mars 1974
  16. Robert P. Dalton, The Guru's Wife Is Another Devotee. Oakland Tribune, 23 mai 1974.
  17. (en) Maeve Price, « The Divine Light Mission as a social organization », Sociological Review, vol. 27,‎ , p. 279–296
  18. "Guru following down; tactics changing", UPI, Waterloo Courier, 25 novembre 1976.
  19. Georges Cornell, Guru's cult changing style, AP Religion Writer.
  20. Bromley & Hammond (1987), p. 113-4, 227
  21. Melton (1986), p. 219.
  22. a et b Interview de Prem Rawat, Leaders, vol. 25, n° 1 (2002).
  23. Ron Geaves, 2004 : « C’est presque un lieu commun pour un hindou de proclamer la divinité d’un guru, alors que, dans la culture chrétienne, une telle affirmation concernant un leader religieux peut devenir le sujet de violentes controverses. »
  24. Colorado Secretary of State, Business Center.
  25. Elan Vital FAQs - About Elan Vital, Inc. Available online (Retrieved May, 2006)
  26. Le message de Prem Rawat en quelques citations
  27. George D. Chryssides, Historical Dictionary of New Religious Movements (2001) : « Maharaji a progressivement dissout la Mission de la Lumière Divine, fermé les ashrams, s’affirmant comme un maître, plutôt qu’un leader de droit divin, soulignant que la Connaissance est universelle, non indienne par nature. »
  28. Liste des conférences de Prem Rawat de 2002 à nos jours
  29. Empowering People, présentation de TPRF (sous-titres en français)
  30. Better Business Bureau
  31. Aide humanitaire, site de la fondation TPRF
  32. Programme Food For People
  33. Historique des évaluations de TPRF par Charity Navigator
  34. Chaînes de TV diffusant Words of Peace
  35. Le PEP dans le monde en 2014 (source TPRF)
  36. PRWEB, octobre 2007
  37. UTSA Today, janvier 2012
  38. a et b Malaysian Times, octobre 2012
  39. Site du film Inside Peace
  40. Robert Koehler, Huffington Post, février 2015
  41. Chaine YouTube de CBS Los Angeles, juillet 2017
  42. Communiqué l’Administration pénitentiaire de l’État de São Paulo, Brésil, mars 2021
  43. Interview à SABC News, Afrique du Sud, avril 2021
  44. The Sundaily, Japon, novembre 2018
  45. Nouvel Ouest, no 118
  46. Melton, J. Gordon. (1986). The encyclopedic handbook of cults in America. Garland reference library of social science, v. 213. New York: Garland Pub
  47. Lipner (1994), p. 120-1
  48. Schomer (1987)
  49. Geaves (2007), p. 267
  50. Geaves (2006a), p. 44–6 – "Rawat does not see himself as part of a tradition or as having to conform to the behavior of any predecessor"
  51. Aldridge, Alan — Religion in the Contemporary World (2007) — p. 59
  52. Remise de prix à M. Rawat sur Razor TV
  53. Allocution de Prem Rawat au siège des Nations Unies à New York
  54. Paroles de paix pour l'Europe, Édité par TPRF
  55. Artisans de paix : entretien entre Jeremy Gilley et Prem Rawat (2013)
  56. Le Parlement européen accueille Prem Rawat, publié par TPRF
  57. Le site du Pledge to Peace de l’Union européenne
  58. Le Pledge to Peace au Parlement du Royaume-Uni
  59. Site de Water and Food Award (WAF)
  60. a et b Asian Voice, 2 août 2014
  61. Mécènes du WAF
  62. Article paru sur le site de la province de Potenza en Italie
  63. Article paru dans The Malaysian Times
  64. Prem Rawat reçoit le Lifetime Achievement Award de l’Asia Pacific Brands Foundation
  65. Article paru dans le Huffington Post
  66. Interview à la télévision sud-africaine, mai 2016
  67. Interview à la télévision portugaise, juin 2016
  68. Downton, James V. Sacred Journeys: The Conversion of Young Americans to Divine Light Mission. Columbia University Press, 1979, (ISBN 0-231-04198-5) p. 2 « Le luxe et les serviteurs ont fait partie de ses droits depuis la naissance et sont devenus son mode de vie personnel par la suite, quand il a accédé au statut de son père, le Maître Parfait, dès l'âge de huit ans » p. 188 « Il y a, bien sûr, tous les articles de journaux rapportant le mode de vie du guru, le présentant comme quelqu'un de plus intéressé par l'accumulation de richesses que par l'évolution du monde.»
  69. Worshipping the Absurd 'The Negation of Social Causality among the Followers of Guru Maharaj Ji.' Article by Daniel Foss and Larkin in Sociological Analysis, 1978 « Un certain goût pour une vie fastueuse et les gadgets coûteux (...) L'intérêt du Guru Maharaj Ji's pour une vie matérielle abondante et luxueuse »
  70. Cults: Faith, Healing and Coercion (Paperback) by Marc Galanter p. 20 - 22 « Il commença à s'habiller avec des vêtements occidentaux et à adopter un style de vie fastueux, incluant la construction d'une résidence dans un palais et des déplacements en limousine »
  71. Stephen Hunt, Alternative Religions: A Sociological Introduction « Avec le temps, les critiques se sont portées principalement sur ce qui semblait être un mode de vie opulent soutenu par les dons des disciples ».
  72. Schnabel, Paul Dr (Dutch language) Between stigma and charisma: new religious movements and mental health Erasmus university Rotterdam, Faculty of Medicine, Ph.D. thesis, (ISBN 90-6001-746-3) « his charisma was primarily the result of careful staging supported by a whole organization » « (he) appeared to stimulate an uncritical attitude, giving them an opportunity to project their fantasies of divinity onto his person »
  73. ex-premie.org
  74. Ron Geaves (2005), Forget transmitted Memory: the de-traditionalized ‘religion’ of Prem Rawat