Pikachurine
Pikachurine | ||
La pikachurine est localisée dans les synapses à ruban, ici représentée. | ||
Caractéristiques générales | ||
---|---|---|
Homo sapiens | ||
Chromosome et locus | 5, hg19 | |
Entrez | 133584 | |
UniProt | Q63HQ2 | |
RefSeq | NP_001192230.1 | |
Mus musculus | ||
Chromosome et locus | 15, mm9 | |
Entrez | 268780 | |
UniProt | Q4VBE4 | |
RefSeq | NP_848863.1 |
La pikachurine, nommée d'après le Pokémon Pikachu, est une protéine encodée chez l'humain par le gène EGFLAM situé sur le chromosome 5 humain. Elle est aussi nommée protéine agrin-like du fait de sa ressemblance avec la protéine agrine (en), ou encore EGF-like, Fibronectin type-III and LAMinin G-like domain-containing protein (EGFLAM).
Découverte et nomenclature[modifier | modifier le code]
La pikachurine est une protéine rétinale de type « matrice extracellulaire » décrite pour la première fois en 2008 au Japon par Shigeru Sato et al.. Elle est nommée d'après Pikachu, la mascotte de la franchise Pokémon[1].
Interaction pikachurine-dystroglycane[modifier | modifier le code]
Fonction[modifier | modifier le code]
Pathologies associées[modifier | modifier le code]
Applications thérapeutiques[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Synapse ;
- Sonic hedgehog, une autre protéine nommée d'après un personnage de jeu vidéo.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Pikachurine / Pour en savoir plus », sur Université de Montpellier
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Pikachurin » (voir la liste des auteurs).
- Sato S, Omori Y, Katoh K, Kondo M, Kanagawa M, Miyata K, Funabiki K, Koyasu T, Kajimura N, Miyoshi T, Sawai H, Kobayashi K, Tani A, Toda T, Usukura J, Tano Y, Fujikado T, Furukawa T, « Pikachurin, a dystroglycan ligand, is essential for photoreceptor ribbon synapse formation », Nat. Neurosci., vol. 11, no 8, , p. 923–31 (PMID 18641643, DOI 10.1038/nn.2160)