Les Feux de la colère

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Les Feux de la colère
Auteur Max Olivier-Lacamp
Pays France
Genre Roman
Éditeur Grasset
Date de parution 1969
Nombre de pages 333
ISBN 9782246153016

Les Feux de la colère est un roman de Max Olivier-Lacamp publié en 1969 aux éditions Grasset et ayant reçu le prix Renaudot la même année.

Le roman gagne avec six voix contre deux pour Les Ratés de la Diaspora de Lucien Elia, une voix sur La Répudiation de Rachid Boudjedra et une dernière sur La Deuxième Mort de Ramón Mercader de Jorge Semprún[1].

Le lendemain de la remise du prix, trois jurés du Renaudot, Étienne Lalou, Roger Grenier et Maurice Nadeau, démissionnèrent en pointant un scrutin acheté par l'éditeur pour la distinction[2],[3].

Résumé[modifier | modifier le code]

L'histoire de Jean Jean qui revient dans son village natal de Montvézy. Il renia sa foi huguenote, enfant, sous la pression des dragronnades faisant suite à la révocation de l'édit de Nantes. En pleine guerre des Cévennes, il rejoint le groupe des Enfants de l’Eternel, qui défendent la liberté de conscience, mais il rencontre Jeanne de Valestallières, un ancien amour[4].

Éditions[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « UN JOVIAL " ENFANT DE L'ETERNEL " », sur Le Monde,
  2. « Trois démissions » de Patrick Loriot, Le Nouvel Observateur, 1969
  3. « UNE LETTRE DE M. ETIENNE LALOU A PROPOS DU PRIX RENAUDOT », sur Le Monde,
  4. Quatrième de couverture.