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Johannes Urzidil

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Johannes Urzidil
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 74 ans)
Rome (Italie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Pseudonyme
Hans ElmarVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Activités
Conjoint
Gertrude Urzidil (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Arme
Armée tchécoslovaque en exil (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinctions
Liste détaillée
Prix Charles-Veillon de langue allemande ()
Grand prix d'État de littérature autrichien (d) ()
Prix Andreas-Gryphius ()
Berufstitel Professor (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Johannes Urzidil, né le à Prague et mort le à Rome, est un écrivain et poète de langue allemande. Contemporain de Franz Kafka, il écrivit beaucoup sur Prague et la Bohême. Il parlait couramment le tchèque et représentait à sa façon la Prague cosmopolite du début du XXe siècle.

L'astéroïde (70679) Urzidil a été nommé en son honneur.

Bibliographie (seulement livres en français)

  • Le triptyque de Prague, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1988[1]
  • La Maison des neuf diables, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1989.
  • La bien-aimée perdue, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1990[2]
Prix Charles Veillon 1957
  • La Fuite de Kafka, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquières, 1991[3]
  • L'or de Caramablu, traduit par Isabelle Ruiz, Paris, Horay, 1998[4]
  • Isabelle Ruiz, Johannes Urzidil : le dernier conteur pragois de langue allemande entre l'engagement et la distance. Thèse de doctorat, Paris, 1997[5]

Notes et références

Liens externes