Jesús Pabón

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Jesús Pabón
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Fonctions
Député aux Cortes républicaines
IIIe législature de la Seconde République espagnole (d)
Séville (capitale) (d)
-
Député aux Cortes républicaines
IIe législature de la Seconde République espagnole (d)
Séville (capitale) (d)
-
Professeur (en)
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
MadridVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jesús Pabón y Suárez de UrbinaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Fratrie
José Manuel Pabón y Suárez de Urbina (d)
Benito Pabón (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Parti politique
Membre de
Conseil national d'éducation (d) ()
Académie royale d’histoire (-)
Académie royale européenne des docteurs (d)
Conseil privé du comte de BarceloneVoir et modifier les données sur Wikidata
Directeur de thèse
Adolfo Bonilla y San Martín (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Plaque du Grand ordre impérial des flèches rouges (d) ()
Grand-croix de l'ordre d'Isabelle la Catholique‎ ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Jesús Pabón y Suárez de Urbina, né le à Madrid et mort le dans la même ville, est un journaliste, politicien et historien espagnol, qui fut président de l'agence de presse EFE de 1960 à 1963.

Biographie

Né à Séville en 1902 dans une famille de traditionalistes andalous, il fait des études chez les jésuites puis devient directeur du journal El Correo de Andalucía. Pendant la Il s'occupe de coordonner les censeurs, au sein d'une délégation dont il prend la tête, en coordination avec Arias Paz. Il est chargé en particulier de la propagande dirigée vers les pays "hostiles". Son travail se révèle alors tellement efficace qu'il permit à Franco de se faire un grand nombre d'amis à Paris et Londres[1].

Il mène parallèlement une carrière universitaire, centrée sur l'étude de l'histoire contemporaine, d'abord à l'Université de Grenade puis à l'Université de Séville. Plus tard, il sera nommé membre de la Commission Internationals du travail de l'UNESCO. Son frère José Manuel Pabón était un hélleniste réputé.

Références

  1. "The Truth About Spain!: Mobilizing British Public Opinion, 1936-1939", par Hugo Garcia, page 47 [1]

Liens externes