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Helios de la Cour II

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Helios de la Cour II
Helios de la Cour II monté par Alexis Gautier au Championnat de France pro Élite de saut d'obstacles de 2010.
Informations
Espèce
Race
Couleur
Sexe
Date de naissance
Lieu de naissance
Date de décès
Cause de décès
Père
Mère
Sisi de la Cour (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Pêche du Heup (d)
Parenthèse Tame (d)
Pommeau du Heup (d)
Par trois (d)
Quassiopée de Tivoli (d)
Qui Vive de la Tour
Quabelle (d)
Quinette du Quesnoy (d)
Quenelle de Normandie (d)
Qadillac du Heup (d)
Urhelia LutterbachVoir et modifier les données sur Wikidata

Helios de la Cour II (né le à Moyon, mort le ) est un étalon bai du stud-book Selle français, qui a été double champion de France de saut d'obstacles avec le cavalier Alexis Gautier. Devenu un reproducteur honorable, il meurt de coliques en .

Histoire

Helios de la Cour II naît le [1] chez Michel et Colette Couetil, au Haras de la Patoyère à Moyon, dans la Manche, en Normandie (France)[2],[3].

Monté uniquement par le cavalier Alexis Gautier, il est double champion de France de saut d'obstacles Pro Élite en 2010 et 2011[4].

Il est mis à la retraite en 2013[4].

Il meurt de coliques foudroyantes chez ses éleveurs le , à l'âge de 24 ans[4].

Description

Helios de la Cour II est un étalon de robe baie, inscrit au stud-book du Selle français[3]. Il présente le type de Papillon Rouge, avec une tête carrée et expressive, un physique trapu, un bon coup de pattes, du caractère, mais un équilibre parfois trop bas à l'obstacle[5]. Il mesure 1,67 m[3].

Palmarès

Il atteint un indice de saut d'obstacles (ISO) de 172 en 2011[6].

Origines

Helios de la Cour II est un fils de l'étalon Selle français Papillon Rouge, et de la jument Sisi de la Cour, par Uriel[3]. Il compte 33 % d'ancêtres Pur-sang[7].

Descendance

Helios de la Cour II est approuvé à la reproduction en Selle français depuis 2000[8]. D'après Grand Prix magazine, il laisse une trace indélébile dans l'élevage français, étant le père de 704 poulains[4]. D'après le magazine L’Éperon, son succès comme reproducteur est relatif, probablement car ses poulains sont considérés comme trop épais pour des chevaux d'obstacle[5].

Il est le père de la jument Qui vive de la Tour (ISO 161)[9].

Notes et références

  1. (en) « Helios de la Cour II », Fédération équestre internationale (consulté le ).
  2. (en) « Helios de la Cour II », sur HorseTelex (consulté le ).
  3. a b c et d « Informations générales de HELIOS DE LA COUR II - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le ).
  4. a b c et d « Hélios de la Cour foudroyé par une colique », sur GrandPrix-replay.com, Grand Prix magazine (consulté le ).
  5. a et b Eric Fournier, « Helios de la Cour, disparition d'un grand champion », sur www.leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  6. « Sport chevaux de HELIOS DE LA COUR II - Aptitude - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le )
  7. « Composition raciale de HELIOS DE LA COUR II - Diversité génétique - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le ).
  8. « Approbation et carnet de HELIOS DE LA COUR II - Reproduction - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr (consulté le ).
  9. « Informations générales de QUI VIVE DE LA TOUR - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr (consulté le ).