Haridiata Dakouré
Cet article est une ébauche concernant une personnalité burkinabé.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Haridiata Dakouré Séré, née le à Agboville (Côte d'Ivoire), est une magistrate burkinabè, ancienne directrice générale de l'École nationale d'administration et de magistrature, ancienne Première présidente du Conseil d'État[1] et membre du Conseil constitutionnel du Burkina Faso. Elle est l'auteure de plusieurs contributions en faveur de la démocratie et des droits des femmes, dont Participation des femmes au processus de démocratisation au Burkina Faso (1997) et La démocratie au Burkina Faso[1].
Formation[modifier | modifier le code]
Après une licence en droit à la Faculté de droit de Lille en 1973, elle est diplômée de l'École nationale de la magistrature de Paris (section internationale)[1].
Carrière[modifier | modifier le code]
Vie personnelle[modifier | modifier le code]
Haridiata Dakouré est veuve et mère de quatre enfants.
Hommages[modifier | modifier le code]
La promotion 2013-2014 de l'Enam, dont elle a été la seule femme dirigeante, a été nommée de son nom pour lui rendre hommage[2].
Références[modifier | modifier le code]
- CV sur Deuxième élection des juges de la Cour pénale internationale - Liste alphabétique des candidats, p. 17-22.
- ENAM : La cuvée Haridiata Dakouré pour la paix ! sur gouvernement.gov.bf, 14 juillet 2014.
