Glen Benton
Naissance |
Niagara Falls, New York, U.S. |
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Activité principale | Musicien |
Genre musical | Death metal |
Instruments | Basse |
Années actives | 1987 |
Labels | Earache Records |
Site officiel | [2] |
Glen benton est un chanteur et un bassiste américain de death metal, né en 1967.
Participations
Il officie dans le groupe Deicide en tant que chanteur, bassiste et auteur depuis le début du groupe. Son chant à deux registres distincts (mixés à l'enregistrement, c'est-à-dire que les deux voix, graves et aigües, sont superposées en studio, la voix de Benton n'étant pas modifiée) est l'un des traits marquants de ses parties vocales : une voix en grunt grave classique typique du death et l'autre chant éraillé typique du black. L'une et l'autre se superposant ou alternant en dialogue selon les passages des chansons.
Il a également participé aux albums studio de Vital Remains Dechristianize et Icons of Evil, et apparaît en guest vocals dans le titre Vomit the Soul de l'album Butchered at Birth de Cannibal Corpse, ainsi que sur un titre de l'album Death Shall Rise du groupe anglais de death Cancer. Il apparaît aussi en guest vocals sur le titre Unfit Earth de l'album Harmony Corruption du groupe anglais Napalm Death.
Il a également participé à l'album Roadrunner United à l'occasion des 25 ans du label de musique Roadrunner Records où il chante sur la chanson Annihilation by the Hands of God.
Convictions satanistes
Benton est connu pour afficher des convictions satanistes et une hostilité marquée au christianisme (il s'agit du thème principal de ses textes). À cet égard, il s'est fait marquer au fer une croix renversée sur le front. Dans les années 1990, il fut invité dans une émission de talk show français (J'y crois, j'y crois pas, diffusée sur TF1) de Tina Kieffer qui traitait des religions pour parler de ses croyances.
Bien qu'affirmant partager un lien spirituel avec Lucifer, qui, selon lui, lui dicterait quoi dire et quoi écrire[1], la nature de son satanisme reste floue et sujet à controverse, en raison tout particulièrement d'allégations de la part de l'ancien guitariste Eric Hoffman, qualifiant le satanisme de Benton de "non sincère et factice"("insincere and spurious")[2].