Germaine Raynal

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Portait de Germaine Raynal (1912) de Juan Gris

Avec Louis Urgel ( pseudonyme d'Antoinette Marie Legru-Lhenoret), Germaine Raynal est l'une des rares femmes compositrices de musique légère dans les années 1910 et 1920, après Jane Vieu, mais bien avant Jane Bos, Mireille et Marguerite Monnot dans les années 1930.

Biographie

Elle eut aussi l'honneur rare de servir de modèle à plusieurs peintres importants de l'époque (Henri Matisse, Juan Gris,...), son époux Maurice Raynal (1884-1954, épousé en 1919) étant un critique d'art moderne connu[1].

La revue de référence Comoedia participa à sa notoriété en France à deux occasions. En février 1929[2] pour son projet avorté "Juanita et Cie" puis en 1934[3] sous la plume de Jules Delini pour deux opérettes françaises "Six jeunes filles à cheval" créées à l'Alhambra.

Œuvres

  • 1917 : Mam'zelle Vendémiaire
  • 1918 : La Dame de Monte-Carlo
  • 1920 : La Belle du far-West
  • 1920 : La Reine ardente
  • 1922 : Pouick
  • 1932 : Charlot à Paris


Bibliographie

  • David Raynal, Maurice Raynal. La Bande à Picasso, Éd. Ouest France, 2008, 140 p. (ISBN 978-2-7373-4612-5).
Conférence de Maurice Raynal sur le cubisme à la Société normande de peinture moderne à Rouen en 1912

Liens externes

Références

  1. Jacques Gana, « Encyclopédie multimédia de la comédie musicale, théâtrale en France, 1918-1944 » (consulté le )
  2. Numérisé par la Bibliothèque Nationale de France, « Comoedia 12 février 1929 », sur Gallica (consulté le )
  3. Numérisé par la Bibliothèque Nationale de France, « Comoedia, 14 février 1934 », sur Gallica (consulté le )