Dorothea von Rodde-Schlözer

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Dorothea von Rodde-Schlözer
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 54 ans)
AvignonVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nationalité
Activités
Famille
Père
Mère
Caroline Friederike von Schlözer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Christian Schlözer (d)
Ludwig von Schlözer (d)
Karl Schlözer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Matthäus Rodde (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Dorothea von Rodde-Schlözer (née Schlözer), ( - ) est une érudite et la première femme Philosophiæ doctor. Elle fait partie des Universitätsmamsellen, un groupe de cinq femmes actives académiquement durant les XVIIIe siècle et XIXe siècle, avec Meta Forkel-Liebeskind, Thérèse Huber, Philippine Engelhard et Caroline Schelling. Elle entretint une liaison avec l'écrivain et philosophe français Charles de Villers, ami de Madame de Staël, sur lequel elle eut une grande influence[1].

Littérature[modifier | modifier le code]

Buste de Dorothea von Rodde-Schlözer, par Jean-Antoine Houdon, Paris, 1806

Dorothea von Rodde apparait dans un roman d'Anne Villemin Sicherman, 1803, la nuit de la sage-femme

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Monique Bernard, Charles de Villers. De Boulay à Göttingen. Itinéraire d'un médiateur franco-allemand. Éditions des Paraiges, Metz, juin 2016. (ISBN 978-2-37535-016-4)

Liens externes[modifier | modifier le code]