Discussion:Liberté d'expression

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Sujet sans titre 1[modifier le code]

ajout de la partie traitant de la liberté d'expression défendu par Raoul Vaneigembug-in 30 nov 2004 à 22:40 (CET)

Salut!
Tes ajouts ne me semblent pas très pertinents. Cet article parle de la liberté d'expression en général, or ce que tu as ajouté est un commentaire d'un texte d'un auteur et d'une oeuvre en particulier. Ce genre de passage aurait beaucoup plus sa place dans l'article de l'auteur lui même, ou bien un article sur le livre que tu cites. Dans liberté d'expression, il vaudrait mieux reprendre uniquement les idées maitresses, les synthétiser et les écrire soi même, avec éventuellement une mention entre parenthèse du style (idées développées entre autre par le philosophe Raoul Vaneigem).
Si tu n'as pas d'objections et si tu ne le fais pas toi même, j'essaierais de proposer quelquechose de plus générique dès que j'aurais un peu de temps.
.: Guil :. causer 30 nov 2004 à 23:47 (CET)
Je suis assez d'accord avec Guil et je pense qu'il faudrait déplacer ces ajouts Esp2008 5 jan 2005 à 17:20 (CET)

J'avais donné mon accord a Guil pour réharmoniser les indications de Raoul Vaneigem avec le reste du texte parceque malheureusement je ne dispose pas du temps pour le faire, mais je crain que lui aussi finalement n'ai eu le temps nécessairebug-in 6 jan 2005 à 01:19 (CET)

Effectivement je manque de temps... Bon, en attendant mieux et si tu n'y vois pas d'objection (sinon tu peux tjr le remettre) je déplace ton passage ci-dessous sur la page de discussion, histoire qu'il ne reste pas tel quel sur l'article mais qu'on la conserve quand même pour la retravailler dès que possible .: Guil :. causer 6 jan 2005 à 11:01 (CET)

liberté d'expression en France au 21e siècle[modifier le code]

Une allusion concernant l'interdiction du spectacle de Dieudonné me semblerait pertinente.

Liberté d'expression par Raoul Vaneigem[modifier le code]

Déplacé du corps de l'article en attendant de le retravailler... .: Guil :. causer 6 jan 2005 à 11:01 (CET)

Elle est ardemment défendu par Raoul Vaneigem dans son ouvrage « Rien n'est sacré, tout peut se dire » (2003) il y défend comme sans limite dans son contenu, mais sa forme, son support doit être humain, dispositif mis en place pour éviter la sensure. Elle ne doit pas être totalitaire, ou abrutissante. Ainsi la publicité, qu'elle exprime une vérité ou un mensonge est exclu de ce champ : « Une vérité assénée par force est une vérité qui se corrompt » (p34). « Elle ne peut être un donné mais un apprentissage [...] Il n'y a ni bon ni mauvais usage de la liberté d'expression, il n'en existe qu'un usage insuffisant. »(p15). « L'absolu tolérance de toutes les opinions doit avoir pour fondement l'intolérance absolue de toutes les barbaries »(p16). La curiosité, l'indiscrétion est naturelle. Aucune idée n'est irrecevable [...] [et] aucune ne doit échapper à la critique ou la dérision (p18). Tolérer toutes les idées n'est pas les cautionner (p20) La liberté d'expression à la faculté de rendre aux mots leur valeur poétique. Elle ne saurait se confondre avec [...] « tout est permis pourvu que cela rapporte »(p21). Pour Raoul Vaneigem « la scandaleuse hypocrisie de notre société consiste à promulguer des lois contre les propos racistes, xénophobes, sexistes, terroristes, haineux sans obvier à la banalisation de l'horreur que perpétue le fétichisme de l'argent, d'ou découle partout dans le monde l'indigne traitement des femmes, des enfants, des hommes, de la faune et de la flore. (p30) Il ne faut pas se tromper d'ennemi : ce qui est odieux n'est pas la parole dérangeante, en quelque sens que ce soit, c'est son asservissement au profit qui la manipule (p31).

partie non-neutre enlevée[modifier le code]

Ce qui suit est hors sujet (justice, état... ) et ressemble davantage à un essai personnel qu'à une encyclopédie. Je tranfère ici au cas où certains veuillent en reprendre des extraits pour ailleurs. Solveig 8 février 2006 à 23:54 (CET)[répondre]

« Liberté de penser »[modifier le code]

La liberté d'expression est parfois assimilée à la liberté de pensée (voire de penser), ou du moins considérée comme une condition de celle-ci. Dans cette optique, une atteinte à la liberté d'expression serait une atteinte à la liberté de pensée. Privé de la pierre de touche que constitue le jugement d'autres, j'aurais du mal à élaborer et tester ma propre pensée. Une entrave à la liberté d'expression des autres serait donc une entrave à ma propre liberté de pensée.

« De la liberté d'expression en France »[modifier le code]

La justice, nécessaire dans une société, est-elle inséparable du principe de liberté ?

I – la justice est légitimée par le peuple[modifier le code]

Comme le dit Hobbes dans le Léviathan, la justice n’est pas quelque chose de naturel ; c’est une institution qui est créé par l’homme pour réguler les relations entre les hommes d’une société ; chaque époque, chaque culture a une justice qui lui est propre ; cependant, on distingue un objectif commun : protéger la société des meurtriers, et plus généralement des semeurs de troubles. Ainsi, l’exemple le plus frappant est celui du tribunal international créé à Nuremberg en 1945, dont le but est de condamner les responsables de la guerre, ceux qui avaient détruit l’Europe, … La justice, et ainsi tous les moyens qu’elle met en pratique comme la peine de mort, relève d’un principe pas seulement légal, mais également légitime ; d’où le terme de légitime défense. Tout ce qui relève de la sécurité est alors nécessairement accepté par le peuple et même souhaité, car le peuple aime l’ordre. C’est tout à fait populaire et même démagogue dans bon nombre de sociétés de souhaiter des sanctions plus dures contre les meurtriers : les gens ne sont pas insensibles à des arguments du type : « si votre enfant était violé » ou bien « si vos parents étaient assassinés »… Ainsi, il est difficile de lutter contre les sanctions et a fortiori contre la peine de mort.

II – la justice concerne toutes les formes de troubles[modifier le code]

Mais en voulant lutter contre ceux qui mettent soi-disant en danger la société, celle-ci condamne également des semeurs de trouble intellectuels. Il y a de nombreux exemples, parmi lesquels l’Inquisition : le tribunal religieux avait pour but de condamner toute personne qui critiquait, ou simplement émettait des hypothèses différentes de l’Eglise. Par exemple, Galilée fut condamné parce qu’il considérait que la Terre tournait autour du Soleil. Cette hypothèse remettait en question l’idéologie traditionnelle de l’Eglise : la Terre est au centre de tout. La condamnation à mort d’un homme pour les idées qu’il exprime est un principe qui a longtemps été mis en pratique : l’on considérait que comme un homme n’avait plus de langue, il ne pouvait plus faire de mal à une société. Or, on ne peut mettre sur le même niveau un meurtrier et un penseur dissident. Comme le dit le président Truman dans les années 50 : « Dans un pays libre, on punit les gens pour leurs crimes, mais jamais pour leurs opinions ». C’était au temps de la peur rouge, où la société américaine, pour se protéger de l’infiltration communiste, condamnait à mort ou à la prison à perpétuité, toute personne qui se déclarait favorable à l’idéologie marxiste.

III – c’est donc un danger pour ceux qui ont le souci de la vérité[modifier le code]

Ainsi, la société pense se protéger de la même manière vis-à-vis des penseurs qu’elle estime politiquement incorrects. Quand des lois sont votées condamnant les propos homophobes, racistes, sexistes, elle limite considérablement la liberté de parole. Je ne sais pas si vous avez entendu parler d’Alain Finkielkraut, c’est un philosophe français, qui a déclaré dans un journal israélien, que les émeutes dans les banlieues n’avaient pas tant des raisons sociales qu’ethnico-religieuses. La preuve pour lui, c’est que d’autres immigrants en situation difficile – chinois, vietnamiens, portugais – ne se sont pas révoltés ; il n’y a eu que des Arabes ou des noirs. Il s’est aussi moqué de l’équipe de France de foot, en disant qu’elle n’était pas black-blanc-beur, mais black-black-black ! Pour ces propos, il est mis au ban des media et surtout accusé par une association afin – je cite – de le mettre hors d’état de nuire. Le problème n’est pas d’être d’accord ou non avec ce que dit Finkielkraut ; mais cet exemple montre qu’aujourd’hui la justice française essaye de juger l’acceptabilité ou non de telle ou telle idée. Certaines personnes pensent qu'il y a là une grave dérive, mais d'autres pensent que cela permet d'éviter de tels propos racistes et de protéger les minorités.

article 13 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1946, qui dit : « Nul ne peut être inquiété en raison de ses origines, de ses opinions ou croyances en matière religieuse, philosophique ou politique. La liberté de conscience et des cultes est garantie par la neutralité de l’Etat. » mafer v

liberté d'expression et droit de parole dans différents domaines[modifier le code]

Il serait utile de recadrer le thème; ainsi bien distinguer le droit constitutionnel (liberté publiques parmi d'autres)des différents droits d'expression dans des assemblées parlementaires ( notamment questions parlementaires) mais aussi le droit de parole des actionnaires lors des assemnblées générales des sociétés ( droit de demander des comptes soumis à certaines conditions)...

S'agissant du droit d'expression au sens strict, il serait également intéressant de comparer divers systèmes notamment en lien avec le négationisme et le racisme (système danois, US, français et bege par ex).

Liberté annexes: droit de manifester, de distribuer des tracts, de publier des écrits...(voir aussi les problèmes posés par les blogs sur Internet.) Brunehaut (d) 31 janvier 2008 à 07:59 (CET)[répondre]

Articles de presse mis en réserve par Fuucx[modifier le code]

[1][2][3] [4]--Fuucx (discuter) 18 janvier 2015 à 10:45 (CET)[répondre]

A propos de l'introduction[modifier le code]

Un contributeur a exprimé, sans le justifier, que l'introduction n'était pas conforme aux normes de notre encyclopédie. Sans entrer dans ce débat j'ai déplacé toute une partie de l'intriduction dans un nouveau chapitre intitulé "La pratique de la liberté d'expression". J'enlève dès lors le bandeau concernant cette appréciation non justifiée. Si quelqu'un estime qu'il doit être remis qu'il le justifie.--Mutima (discuter) 19 janvier 2015 à 18:30 (CET)[répondre]

Censure sur Facebook en France[modifier le code]

Bonjour Notification Akeron :, vous avez supprimé l'information que je venais d'ajouter selon laquelle « En 2015, la France est largement première au monde pour le nombre de contenus Facebook censurés, avec la suppression de 37 990 pages suite à des requêtes gouvernementales » sous le motif que « l'article ne parle pas de liberté d'expression, anecdote ». Après un petit moment de réflexion (on peut effectivement faire une erreur en ajoutant une info et être à côté de la plaque Émoticône sourire), vos arguments me semblent biaisés. La censure est traitée dans ce même article comme l'une des limitations classiques de la liberté d'expression. Or, l'article parle nomémment de « censure ». Ensuite, même avec la plus grande volonté, j'ai du mal à considérer que se retrouver en tête d'un tel classement soit purement anecdotique, le simple nombre de pages supprimés montrant l'importance du phénomène. J'ai, en effet, rajouté cette information dans plusieurs pages aux thématiques liées ce que vous décrivez comme un spam (je vous rassure je n'ai pas d'actions dans le journaldunet Émoticône sourire). Cette fois, vous ne supprimez pas l'information mais vous ajoutez reprenant l'article que « ce résultat est lié aux attentats de Paris » en commentant « reformulation plus proche de la source et moins trompeuse » Émoticône sourire . Ne serait-il pas mieux si l'on veut réellement être moins trompeur citer la phrase complète du journaldunet qui dit « un résultat lié aux attentats de Paris et aux pages Facebook dont les contenus ont été jugés comme promouvant les actes terroristes. » ? La présence de la phrase complète permet à chacun de conclure par lui-même : soit la France compte réellement un grand nombre de pages Facebook promouvant les actes terroristes ou le gouvernement manie trop facilement les ciseaux de la censure. Pour ma part, je ne me prononcerais pas. Cordialement --Thontep (d) 17 mai 2016 à 10:42 (CET)[répondre]

Pour l'instant il n'y a qu'un petit article d'un journal en ligne, je trouve cela effectivement très anecdotique, vraiment pas de quoi copier-coller cette anecdote sur 4 articles : Facebook, Liberté d'expression, Censure, Censure en France et aller jusqu'à le mettre dans l'intro de Censure en France. Je pense pas qu'il faut alimenter cet article général sur la liberté d'expression avec ce genre de petites anecdotes du net. Si une source secondaire en parle à propos de la liberté d'expression alors on verra. Oui la formulation originale était trompeuse, laissant penser qu'il s'agissait de données générales datant de 2015 et passant sous silence la cause principale évoquée par l'article. On a strictement aucune info sur ce que recoupe ces « contenus Facebook censurés », peut-être juste des images, des commentaires, bref un micro article sans analyse précise qui n'a pas l'importance que tu sembles vouloir lui donner. –Akéron (d) 17 mai 2016 à 11:04 (CEST)[répondre]
Notification Akeron :, merci pour ta réponse que je trouve motivée. Effectivement, en l'absence de développements supplémentaires, peut-être pas besoin d'en faire un plat. Cordialement --Thontep (d) 17 mai 2016 à 11:25 (CET)[répondre]

Réécriture totale de l'article[modifier le code]

Bonjour

J'ai essayé de reprendre cet article en totalité afin de le rendre plus synthétique. Mais je ne prétends ni avoir trouvé la présentation idéale, ni avoir épuisé le sujet...Toutes critiques, rectifications et suggestions sont donc les bienvenues. Cordialement. --Mouliric (discuter) 5 août 2016 à 15:13 (CEST)[répondre]

Bonjour Notification Mouliric :, bravo, pour cette tentative de présenter un article complet. Trois remarques avant même d'avoir lu l'article dans le détail. Le résumé introductif ne correspond pas à l'acception générale du l'expression Liberté d'expression : celle-ci est comprise de manière plus restrictive que vous ne l´indiquez et désigne, comme le définit bien wiki ang., « le droit de communiquer ses opinions et ses idées sans crainte de représailles du gouvernement ou de censure ». Le chapitre La faculté de s'exprimer, phénomène social me paraît en grande partie hors sujet ou beaucoup trop long vis-à-vis du sujet abordé. Le titre du chap Proscription des idées et doctrines pernicieuses est à éviter car le terme pernicieux n´a aucun fondement en droit et son acceptation varie du tout au tout selon que l´on se trouvera en démocratie "populaire" ou "libérale", dans une République islamique ou dans un régime fasciste. Cordialement --Thontep (d) 5 août 2016 à 15:44 (CET)[répondre]
PS: d'ailleurs en parlant d'idées pernicieuses, le propre d'un vrai régime démocratique c´est que la loi pénale y est d'interprétation strictement restrictive. Un régime démocratique ne condamne ni les idées ni les intentions, ni les sentiments mais seulement les faits (les effets extérieurs visibles). S'il en est autrement depuis une quarantaine d'années dans certains pays comme la France se réclamant du régime démocratique, c'est la preuve d'une véritable régression juridique, régression juridique discutée par de nombreux juristes. Voire par ex. le recul que représente la notion de « provocation à la haine » par rapport à la notion classique d’« incitation à la violence ».


Merci de vos objections, avec lesquelles je suis grosso modo d'accord. L'introduction peut en effet être complétée (il me semblait qu'évoquant un droit reconnu, elle suffisait malgré sa brièveté...). La première partie est en effet bien longue (sans doute parce que dans mon esprit son contenu devait un peu préparer à celui de la seconde). Quant au choix des termes doctrines pernicieuses, il peut en effet lui aussi prêter à équivoque. Étant théoricien du droit de formation, je ne pense évidemment pas qu'il existe des doctrines par nature pernicieuses...par contre, il en est qui sont considérées comme telles dans certains systèmes de droit...en somme, il est sans doute possible de trouver un titre plus approprié. PS: J'ai essayé d'éviter les jugements de valeur en m'en tenant à un état des lieux que je voulais le plus neutre et objectif possible, c'est pourquoi je n'ai pas abordé la question du caractère démocratique ou non des régimes...Bref, sur un thème difficile, mais qui me semblait mériter mieux que la version existant jusque là, j'ai proposé une nouvelle version de l'article qui elle-même peut être discutée. Je suis sûr qu'elle peut être améliorée...peut-être même en la changeant complétement, et je laisse d'autres prendre le relais. En tous cas, ce travail m'a intéressé et amusé. Cordialement.--Mouliric (discuter) 5 août 2016 à 17:19 (CEST)[répondre]

Consécration de la liberté d'expression?[modifier le code]

Bonjour

Auteur de la refonte totale de l'article il y a trois ans, je m'étonne que depuis quelques jours aient été ajoutés au paragraphe 3 «Consécration dans les textes nationaux» les références à des textes qui en France consacrent au contraire sa restriction! (et auraient donc en revanche parfaitement leur place dans le paragraphe 5 «Mise en oeuvre»). Je tiens à le faire observer, mais, fort de mes expériences passées, me garderai bien de procéder à une modification. Mouliric