Discussion:Jean-Claude Marin

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Lacunes de l'article[modifier le code]

L'article ne détaille pas les affaires dans lesquelles Jean-Claude Marin est intervenu.

Trois questions essentielles sont à poser:

  • Quelle est la position personnelle de M. Marin sur l'impunité du chef de l'Etat. Est-il favorable à ce principe?
  • Quelle a été son attitude à l'égard des affaires impliquant des membres du RPR puis de l'UMP?
  • Quel est son rôle dans la pathétique affaire de Tarnac?

La réponse à ces trois questions est fondamentale pour apprécier le rôle du parquet dans la France de ce début de siècle.

La carrière[modifier le code]

Selon Bakchich info: " Le procureur de la République de Paris, qui vient de demander un supplément d’information dans l’affaire Clearstream, est un homme plein de talents. Doté d’un grand sens politique, il a d’abord été balladurien, pour virer chiraquien, avant de tourner sarkozyste, avec à chaque fois un objectif : sa carrière. Il brigue aujourd’hui le poste de procureur général de Paris. Retour sur un magistrat très au fait du sens du vent." (http://www.bakchich.info/article4023.html)

Marin et l'Affaire de frégates[modifier le code]

Le procureur a adressé fin 2007 un rapport à la Chancellerie faisant état de scellés judiciaires mettant en cause le financement de la campagne de Balladur en 1995.(http://www.bakchich.info/mot943.html)

Les faux électeurs de Paris[modifier le code]

Le procureur général Jean-Claude Marin («le chef du tribunal», comme il s'est lui-même nommé), siégeait lundi 02 février 2009 lors de la première journée d'audience dans le procès des faux électeurs du 5e, faisant ainsi face à ses juges. Un fait exceptionnel.

Marin et l'affaire Tarnac[modifier le code]

Le procureur de Paris Jean-Claude Marin a - comportement inhabituel pour un titulaire de cette fonction- fait une intervention publique pour défendre la validité de l'enquête sur les sabotages SNCF afin de riposter aux attaques des personnalités de gauche, notamment André Vallini, ancien président de la commission d'enquête sur le fiasco judiciaire de l'affaire de pédophilie d'Outreau. Valini stigmatise un dossier vide et pense que l'affaire débouchera sur "un fiasco politico-judiciaire". Le procureur de Paris, chargé de l'enquête, a répondu publiquement: "Je pense que M. Vallini a une connaissance très complète du dossier de l'instruction qui lui permette de prendre cette position. J'ai une lecture assez complète de ce dossier et je n'arrive pas à la même conclusion", a répondu le procureur Jean-Claude Marin sur RTL. "Ce dossier n'est pas vide, c'est totalement inexact de le dire. Je ne dis pas que M. Coupat est coupable, il est encore présumé innocent. Le juge d'instruction est en train de voir si les éléments qui sont dans le dossier sont à charge ou pas suffisamment à charge à l'égard de ce garçon et d'autres", a-t-il ajouté. ( http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/societe/200904/tarnac-affrontement-politico-judicaire_181745.html)

Des universitaires et des juristes dénoncent l'« inconsistance » des charges retenues, le « tour clairement politique » qu'a pris l'affaire, et réclament la libération immédiate de Julien Coupat. La Ligue des droits de l'homme s'inquiète également d'« une procédure qui ne s’embarrasse pas du respect des libertés individuelles et se déroule sous l’oeil de médias alimentés d’informations uniquement à la charge des personnes mises en cause » (« Sabotage SNCF: des intellectuels et la LDH dénoncent la législation antiterroriste » [archive], Libération, 27 novembre 2008.).

Jean-Claude Marin, Frédéric Beigbeder et la censure de l'éditeur[modifier le code]

Cette partie de l'article a été retirée sans aucun motif valable par un wikipedien. En attendant qu'il se calme et que je puisse la rétablir dans l'article lui-même, je la communique dans la rubrique "discussion":

" Le procureur de la République de Paris Jean-Claude Marin, est placé «en détention non provisoire» au chapitre 27 du «Roman français» de Frédéric Beigbeder, à paraître le 18 août chez Grasset.

Il s'agit d'une vengeance littéraire de la part de l'écrivain contre le procureur. Lors d'une nuit de garde à vue Frédéric Beigbeder s'est fait prendre par la police en train de sniffer de la coke sur le capot d'une automobile en pleine rue. C'est à cette occasion que Frédéric fait la connaissance - bien malgré lui de Jean-Claude Marin.

La polémique vient d'une "autocensure " sous pression de l'éditeur. Il existe en effet deux versions du «Roman français». Une première délivrée aux libraires et à la presse en «avant-lecture» au mois de juin et une seconde destinée à la mise en vente en août. Entre les deux, une prudente censure des passages concernant Marin.

Dans un des passages modifiés, Frédéric Beigbeder se dit que ce doit être "vraiment chiant d'être Jean Claude Marin"...

Il est important de noter que l'avocat Jean Veil est aussi celui de Jean-Claude Marin. Des trois pages de défoulement anti-Jean-Claude Marin, il reste une phrase où Frédéric Beigbeder affirme : «Les mots: Jean, Claude, et Marin, pour les générations à venir seront le symbole de la Biopolitique Aveugle et de la Prohibition Paternaliste».

Cet épisode n'a rien d'anecdotique puisque la plupart des grands journaux- dont le journal Le Monde- lui ont consacré un article (plus de 25 articles en tout dans la presse) Sources:Le Monde - ‎30 juil. 2009‎; "le Nouvel Observateur" du 30 juillet 2009;L'Express - ‎28 juil. 2009‎; Gala Vendredi 31 juillet 2009; leJDD.fr - ‎28 juil. 2009‎; Le Figaro - ‎30 juil. 2009‎ ".

Bonsoir. Contrairement à ce que vous prétendez ici, j'ai justifié les reverts dans la boîte résumé. Je maintiens: cette affaire concernant Beigbeder est anecdotique, ou tout du moins n'a pas sa place ici (ce n'est pas Marin qui a exigé l'allègement de texte, à ce que je sais. Il n'est impliqué qu'indirectement dans cette polémique). Dans l'article consacré à Beigbeder, ce serait déjà beaucoup plus pertinent Émoticône. Éventuellement, on peut mentionner cette affaire en axant l'ajout sur le communiqué de Marin, qui n'a fait que rappeler les circonstances de l'interpellation de Beigbeder, en 2008. Mais bof... Je le répète, cet évènement n'incite guère au référencement encyclopédique... Si cela devait tout de même être fait (et ce qui suit vaut aussi pour la l'article consacré à Beigbeder), il faut veiller à respecter le principe de neutralité: car affirmer péremptoirement qu'il s'agit d'une « autocensure » est contestable. Il faudrait, en l'occurrence, plutôt écrire: "la presse dénonce une « censure », accusation rejetée par Olivier Nora, directeur de Grasset, qui évoque d'éventuels problèmes juridiques" (bon, j'ai fait ça vite, il faudra un meilleur style Tire la langue, mais l'idée générale est là). Étant titulaire dune maîtrise de droit, je peux d'ailleurs vous certifier qu'effectivement, au vu de ce qui était écrit, le livre n'aurait probablement pas résisté à un référé demandant le retrait du livre pour injures, voire diffamation. Avant un éventuel dépôt de plainte, pour ces mêmes raisons. Cordialement, Suprememangaka **Papoter** 3 août 2009 à 00:54 (CEST)[répondre]

J'ai tenu compte de vos remarques dans la nouvelle version. En revanche, je n'ai pas bien compris votre phrase " avant un éventuel dépôt de plainte pour ces mêmes raisons". Je vous rappelle que la liberté d'expression et la liberté de la presse sont protégées par la CEDH.

Voilà. J'ai rendu le texte conforme à la syntaxe Wiki, et ai corrigé 2-3 petites choses.
Oui, la liberté d'expression est protégée par la Convention EDH (et, en conséquence, par la Cour EDH), mais aussi par la DDHC et la loi de 1881. Cependant, cette liberté est encadrée et limitée. Entre autres, une de ces limites légales est bien sûr l'interdiction de porter atteinte à l'honneur d'autrui, sous peine de poursuites pénales. La diffamation est ainsi un délit. C'est pourquoi j'ai dit que Marin aurait pu déposer une plainte si le livre était sorti sans corrections par l'éditeur.
Cordialement, Suprememangaka **Papoter** 4 août 2009 à 01:05 (CEST)[répondre]

La version finale me semble satisfaisante. Merci de votre coopération.

De rien! Émoticône sourire Suprememangaka**Papoter** 5 août 2009 à 13:48 (CEST)[répondre]

L'affaire Chirac[modifier le code]

Pourquoi avoir censuré ce titre qui reprenait les informations du JDD concernant le réquisitoire de Jean-Claude Marin en faveur de Jacques Chirac dans l'affaire des emplois fictifs? Est-ce la mention - parfaitement exacte - selon laquelle Jean-Claude Marin devait son poste de procureur à ... Jacques Chirac, même si - depuis - il a su s'attirer les faveurs de Nicolas Sarkozy?

Voici les information du JDD datant du 24 et 25 octobre:

"Discrètement, au début du procès Clearstream, le procureur de la République Jean-Claude Marin a signé un réquisitoire de non-lieu général de 117 pages, dont le JDD a pu prendre connaissance. Le parquet estime que « sur les 481 chargés de mission recensés par l’information judiciaire, le plus grand nombre avait occupé un emploi bien réel ». Reprenant ensuite, un par un, les 35 emplois litigieux, le parquet considère à chaque fois que les charges ne sont "suffisantes"…

Cette "censure" tout à fait naïve est ridicule car ces informations sont dans le domaine public...

Bonjour. Tout d'abord, sachez qu'il n'y a pas de « censure » sur Wikipédia. Il y a en revanche des principes à observer, tel celui de la neutralité de point de vue. Or, votre ajout ne respectait pas ce dernier en sous-entendant assez clairement que Jean-Claude Marin a fait erreur en ne poursuivant pas Jacques Chirac, et en liant cette « erreur » à sa nomination, qui se trouve avoir été effectuée par Chirac. Là, on est même aux frontières de la diffamation. Cordialement, SM ** =^^= ** 27 octobre 2009 à 23:37 (CET)[répondre]
J'ai modifié la version initiale. Je pense que la nouvelle version est tout à fait satisfaisante : merci de ne pas la vandaliser.