Discussion:DGA Essais de missiles

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Catégorie[modifier le code]

Le CEL est présent sur deux départements ==> Catégorie Aquitaine Matthieu ^Bla 24 mai 2007 à 16:36 (CEST)[répondre]

DGA Essais de missiles : généralités[modifier le code]

Bonjour,
le texte ci-dessous retrace, semble-t-il davantage l'historique de la DGA Essais de missiles que purement sa teneur à l'île du Levant. Il est donc déposé ici et en page de discussion:Île du Levant pour que le travail ne soit pas perdu
--Cordialement. 6PO (discuter) 4 octobre 2017 à 21:32 (CEST)[répondre]

Article détaillé : DGA Essais de missiles.

La majeure partie de l'île (90 %) appartient à l’État. Elle sert de centre d'essai pour les lancements de missiles pour le compte de la Direction générale de l'Armement.

Au mois d'octobre 1950, la Marine nationale installe le Centre d'essais et de recherche d'engins spéciaux (CERES)^[1].

En 1955, la responsabilité des essais est confiée au Groupe technique d'engins spéciaux (GTES).

Placé, en janvier 1962, sous l'autorité de la Direction des recherches et moyens d'essais (DRME), le GTES prend en charge l'exploitation du polygone de la Renardière. Un peu plus tard, après un regroupement du CERES, du GTES et de la Renardière, le centre prend le nom de Centre d'essais de la Méditerranée (CEM).

Bien que dépendant des militaires, le CERES a été utilisé dès 1956 pour le lancement de fusées pour la recherche scientifique de la société ATEF ou de l'ONERA, avant que le CNET, puis le CNES procèdent à des lancements de fusées Centaure.

Le CEM a fusionné officiellement le 1^er janvier 2005 avec le Centre d'essais des Landes (CEL) et le Gerbam pour devenir le Centre d'essais de lancement de missiles (CELM) , appelé DGA Essais de missiles depuis le 1^er janvier 2010.

Du fait de ces activités d'État, l'île du Levant est placée dans la zone aéronautique P 63 qui interdit formellement le survol de l'île par tout aéronef non autorisé.

Références

↑ Jean About, Michel Aubry, Claude Augoyard, Jean-Claude Pecker et al., Institut français d'histoire de l'espace (ed. scientifique) (préf. Jacques Blamont puis Yannick d'Escatha), Les débuts de la recherche spatiale française : au temps des fusées-sondes, Paris, Éditions Édite, 2007, 398 p., 29 cm (ISBN 978-2-8460-8215-0).

[1] Jean About, Michel Aubry, Claude Augoyard, Jean-Claude Pecker et al., Institut français d'histoire de l'espace (ed. scientifique) (préf. Jacques Blamont puis Yannick d'Escatha), Les débuts de la recherche spatiale française : au temps des fusées-sondes, Paris, Éditions Édite, 2007, 398 p., 29 cm (ISBN 978-2-8460-8215-0).

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