Capricci
Pour les articles homonymes, voir Capriccio et Capricci (société).
| Réalisation | Carmelo Bene |
|---|---|
| Scénario | Carmelo Bene |
| Acteurs principaux |
Carmelo Bene |
| Sociétés de production |
Rodolfo Frattaioli Jacques Brunet Gianni Barcelloni Carmelo Bene |
| Pays de production |
 Italie |
| Genre | Essai |
| Durée | 89 minutes |
| Sortie | 1969 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Capricci est un film expérimental italien réalisé par Carmelo Bene et sorti en 1969.
Le film s'inspire en partie de l'Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, un roman-mémoires de l'abbé Prévost rédigé vers 1730 et Arden de Feversham, pièce de théâtre élisabethaine publiée en 1592.
Synopsis
Fiche technique
- Titre original italien : Capricci[1],[2]
- Réalisation : Carmelo Bene assisté de Fabio Garriba
- Scénario : Carmelo Bene
- Photographie : Maurizio Centini
- Montage : Mauro Contini
- Son : Carlo Marotti
- Musique : AA. VV. édité par Microstampa (développement de l'impression et enregistrement sonore)
- Décors : Salvatore Vendittelli (peintre)
- Costumes : G.P. 11
- Maquillage : Piero Mecacci, Raffaele Cristini, Gloria Fava
- Production : Rodolfo Frattaioli, BB & B (Jacques Brunet, Gianni Barcelloni et Carmelo Bene)
- Pays de production :
Italie - Langue originale : italien
- Format : Couleur par Ektachrome - 1,37:1 - Son mono - 16 mm
- Genre : Essai[2]
- Durée : 89 minutes (1 h 29)
- Dates de sortie :
- France : (Festival de Cannes 1969[3]) ; (en salles)
- Italie :
Distribution
- Carmelo Bene : Le poète
- Anne Wiazemsky : Manon
- Ornella Ferrari : Alice
- Piero Vida : L'agent de police
- Giancarlo Fusco : Le baron allemand
- Poldo Bendandi : Le tueur
- Tonino Caputo : Clarke
- Franco Gulà : Mosbie
- Giovanni Davoli[4] : Arden de Faversham
Accueil
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs du 22e Festival de Cannes, ce film, comme son prédécesseur, a été très apprécié par les critiques et les intellectuels français, comme le poète Jacques Prévert[5] ; il a également été apprécié en Italie (il n'a néanmoins pas plu à Luchino Visconti à Cannes) mais n'a pas connu un grand succès et a donc plus ou moins suivi le sort de Notre-Dame des Turcs. Visionné et compris par peu de personnes, il a été presque immédiatement retiré des salles de cinéma, restant un film culte et réservé aux cinéphiles.
Notes et références
- (it) « Capricci », sur archiviodelcinemaitaliano.it (consulté le )
- « Capricci », sur encyclocine.com (consulté le )
- « L'édition 1969 de la Quinzaine des réalisateurs », sur cinematheque.fr (consulté le )
- Giovanni Davoli, père de Ninetto Davoli.
- Noël Simsolo, « Entretien », Cahiers du Cinema, les Éditions de l'Étoile, no 213,
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
