Avenue Stéphane-Mallarmé

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17e arrt
Avenue Stéphane-Mallarmé
Voir la photo.
Avenue Stéphane-Mallarmé vue depuis la porte de Champerret.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 17e
Quartier Ternes
Plaine-de-Monceaux
Début 191, rue de Courcelles
Fin 2, place de la Porte-de-Champerret et 4, place Stuart-Merrill
Morphologie
Longueur 210 m
Largeur 30 m
Historique
Création 1926
Dénomination 1926
Géocodification
Ville de Paris 8702
DGI 9088
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Avenue Stéphane-Mallarmé
Géolocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 17e arrondissement de Paris)
Avenue Stéphane-Mallarmé

L'avenue Stéphane-Mallarmé est une voie du 17e arrondissement de Paris, en France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

L'avenue Stéphane-Mallarmé est une voie située dans le 17e arrondissement de Paris. Elle débute au 191, rue de Courcelles et se termine au 2, place de la Porte-de-Champerret et 4, place Stuart-Merrill.

Elle donne accès au square Sainte-Odile et à l'église Sainte-Odile.

Le quartier est desservi par la ligne 3 à la station Porte de Champerret.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Stéphane Mallarmé par Nadar.

Elle porte le nom de poète français Stéphane Mallarmé (1842-1898).

Historique[modifier | modifier le code]

C'est un tronçon de la route départementale no 11, dite de la Révolte, créée vers 1750 sur l'emplacement d'un ancien chemin conduisant à Saint-Denis.

La voie a été ouverte et a pris sa dénomination actuelle en 1926 sur l'emplacement du bastion no 48 de l'enceinte de Thiers.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

  • No 2 : église Sainte-Odile, de style néo-byzantin, construite en 1935-1946, « l’une des plus importantes réalisations d’art sacré à Paris au XXe siècle »[1]. Le terrain sur lequel s’élève aujourd’hui l’édifice est béni par le cardinal archevêque de Paris le 25 mars 1935. Sainte Odile étant la sainte patronne de l’Alsace, l’église est dans son esprit « un monument de la reconnaissance française à la fidélité de l’Alsace en exil (1871-1918) »[2].
  • No 10 : à cette adresse était installé un atelier « réputé pour la qualité de [sa] peinture sur soie »[3].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Pierre Wachenheim, Le 17e arrondissement : itinéraires d’histoire et d’architecture, Délégation à l’action artistique, Mairie de Paris, 2000.
  2. « Nouvelles religieuses », Journal des débats politiques et littéraires, 24 mars 1935.
  3. Souvenirs moscovites, 1860-1930, Exposition du 30 octobre 1999 au 13 février 2000, Musée Galliera, Paris, 1999.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]