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Utilisateur:Winnerman57/Brouillon

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" Quinze millions de Mérites " est le deuxième épisode de la première saison de Black Mirror mettant en vedette Daniel Kaluuya et Jessica Brown Findlay . Il a été écrit par le créateur de la série Charlie Brooker et son épouse, l'ancien Blue Peter présentateur Konnie Huq (crédité par son nom de naissance kanake Huq), et le premier épisode a été diffusé sur Channel 4 le 11 Décembre de 2011.

Sommaire [masquer] 1 Contexte 2 Synopsis 3 Fiche Technique 4 Distribution 5 Réception 6 Références 7 Lien externes Contexte[modifier | modifier le code] Black Mirror est une série d'anthologie dont les épisodes sont liés par un thème commun, là où les autres séries conservent généralement les mêmes acteurs dans les différents épisodes. Chaque épisode est ainsi interprété par acteurs dans des lieux et des époques distinctes. Black Mirror étant une série dystopique et satirique sur les dangers de la technologie, le thème se concentre sur les conséquences imprévues de celle-ci sur nos existences dans un futur proche, voire immédiat.

Tentant de résumer l'argument de sa série, Brooker écrit : « [les épisodes] traitent tous de la façon dont nous vivons maintenant - et de la façon dont nous pourrions vivre dans 10 minutes si nous sommes maladroits », ajoutant que le « black mirror » du titre fait référence aux écrans éteints de nos ordinateurs, nos téléviseurs et nos smartphones

Synopsis[modifier | modifier le code] L'épisode est une satire sur les spectacles de divertissement et notre insatiable soif de distraction mis dans une version sarcastique d'une réalité future. Dans ce monde, tout le monde doit pédaler sur des vélos d'exercice afin d'alimenter en énergie la "société" dans lequel ils vivent et ce pourquoi ils génèrent des devises appelé Mérites (qu'ils leurs seront utiles) . Les activités quotidiennes sont constamment interrompus par des publicités qui ne peuvent être ignorées sans pénalité financière. Les personnes obèses sont considérés comme des citoyens de seconde classe, et travaillent soit comme nettoyeurs autour des machines (où ils reçoivent la violence verbale) ou sont humiliés sur les jeux télévisés.

Bingham "Bing" Madsen ( Daniel Kaluuya ) a hérité de 12 millions de mérites de son frère mort et a le luxe d'annonces à sauter. Dans les toilettes , il surprend Abi ( Jessica Brown Findlay ) à chanter ; il l'encourage à entrer dans le X-Factor Game Show de style Hot Shots, qui offre une chance pour les gens de sortir du monde des esclaves tout autour d’eux. Bing la persuade et, sentant que rien ne vaut la "vrai" peine d'acheter quelque chose, achète le billet pour elle. Les juges ( Rupert Everett , Julia Davis , Ashley Thomas ) et la foule apprécient son interprétation de " Toute personne qui sait ce qu'est l' amour », mais ils affirment qu'il n'y a pas de place pour un «au dessus de la moyenne » et plutôt lui donne la chance de devenir une actrice sur une chaine de télévision pornographique. Après encouragés par des juges et la foule, et drogué sur une substance appelée "Cuppliance" (conformité dans une tasse), Abi accepte à contrecœur.

Bing retourne dans sa chambre sans Abi et avec plus beaucoup de mérites. Quand une annonce montrant Abi exécuter un acte sexuel apparaissant sur l'écran, il ne peut pas l'ignorer (comme il n'a pas assez de fond) et tente désespérément d'échapper à cette vision, enfonçant la porte jusqu'à ce que le verre se brise. Il le cache sous son lit. Au cours des prochains mois, il cesse l'achat de nourriture, économiser jusqu'à 15 millions de mérites pour acheter un autre billet pour le show. Il se tient dans les Hot Shots salle d'attente tous les jours sans expression jusqu'à ce qu'il soit appelé à disputer.

Sur scène, il interrompt sa performance, attire l'éclat de verre et menace de se suicider en direct sur le spectacle. Il critique et enrage sur la façon dont le système est injuste et comment les gens sont devenus, et exprime sa colère à la façon dont les juges ont emporté, corrompu, et vendu la seule chose qu'il a trouvé réel. Les juges, au lieu de prendre ses paroles en considération, sont impressionnés par sa «performance» et lui offrent sa propre émission, où il peut grogner sur le système et tout ce qu'il n'aime pas.

Bing accepte et est montré plus tard, terminer une de ses émissions dans son appartement. Il boit lui-même un jus d'orange frais et se regarde à travers une grande fenêtre (vitre ?), avec en fond une vaste forêt verte étendu à toute l'horizon, dans une chambre beaucoup plus grande que son origine. Il reste difficile de savoir si la forêt est réelle, ou tout simplement une autre image sur un écran.

Fiche Technique[modifier | modifier le code] Titre français : 15 millions de mérites Titre original : Fifteen Million Merits Réalisation : Euro Lyn Scénario : Charlie Brooker, Konnie Huq Production : Barney Reisz pour Zeppotron Durée : 62 minutes Pays d'origine : Royaume-Uni Diffusion originale : Royaume-Uni : le 4 décembre 2011 sur Channel 4 France : le 8 mai 2014 sur France 4 Distribution[modifier | modifier le code] Daniel Kaluuya : Bingham "Bing" Madsen Jessica Brown Findlay : Abi Rupert Everett, Julia Davis, Ashley Thomas : Les 3 juges de Hot Shot Réception[modifier | modifier le code] The Club AV a donné l'épisode un A, écrit: «Mais Quinze millions de Mérites »est une œuvre grandiose en tous sens de « L'Hymne national », un morceau éblouissant de science fiction qui construit son monde lentement mais parfaitement au cours d'une heure et emballe un coup de poing émotionnel.

TV.com dit "Débordant avec des visuels magnifiques, un score en mouvement, et un avenir pleinement réalisé qui pourrait ne pas être trop loin, il n'y a jamais un moment où '15 Million Mérites 'est rien de moins qu'effrayant. Il peut vous donner envie de se pendre au jeu, il peut vous donner envie de jeter votre ordinateur par la fenêtre, il peut vous donner envie de quitter votre emploi, il peut vous faire réfléchir au sens de la vie, mais son but est simplement de vous mettre au courant de ces choses afin que nous puissions éviter un tel avenir terrible. '15 Million Mérites 'veut que vous regardez dans le miroir et réfléchissez à ce sujet." [2]

DenOfGeek a commenté "La relation sentimentale brève de Bing et Abi, contraste contre la froideur des écrans de télévision, ralliant avatars de jeux et outils de manipulation, est parmi le plus émouvant que j'ai vu pendant un certain temps, et la principale raison pourquoi Quinze millions de Mérites est une telle pièce captivante de la télévision de genre ". [3]

The Independent a déclaré : «Le ton était très différent par rapport à la semaine dernière et il y avait plus d'un lien émotionnel avec les personnages. Kaluuya et Brown Findlay ont été excellents comme les protagonistes centraux Bing et Abi. Par conséquent, la manière dont ils ont rencontré leurs destins respectifs était triste parce qu'il n'y avait pas de sentiment d'espoir. En outre, la qualité esthétique du monde de Black Mirror était fantastique et semblait plausible. " [4]

The Guardian a dit : «Ceci est plus habile [que 'L'hymne national'] Il est frappant au visionnage et beau -. La réalité virtuelle, cette interactivité, tous les écrans. Une belle manière de suffoquer, étouffante qui vous a à bout»

Références[modifier | modifier le code] "Review: Black Mirror: "Fifteen Million Merits" · TV Club · The A.V. Club". Le 17 Octobre 2014. "Black Mirror's "15 Million Merits" Is One of TV's Best Sci-fi Episodes That You'll Probably Never See". TV.com. Le 17 Octobre 2014. "Black Mirror episode two spoiler-filled review: Fifteen Million Merits". Den of Geek. Le 17 Octobre 2014. "Review of Black Mirror – '15 Million Merits'". Le 17 Octobre 2014. "Black Mirror: 15 Million Merits, Channel 4, review". Telegraph.co.uk. 11 Decembre 2011. Le 17 Octobre 2014. "TV review: Black Mirror; Piers Morgan's Life Stories: Peter Andre; This is Justin Bieber". the Guardian. Le 17 Octobre 2014. Lien externes[modifier | modifier le code] http://feuilletons.blogs.liberation.fr/2012/01/06/black-mirror-charlie-brooker-ou-lart-du-malaise/

http://unificationfrance.com/article32775.html

http://addict-culture.com/black-mirror/