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Utilisateur:Wikisoso6/Brouillon

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L'apparition de l'adoption au Québec est une influence d'une pratique du Moyen Âge, dans laquelle les femmes abandonnaient leur enfant sur des murs extérieurs des églises ou des orphelinas.[1] Cette coutume était effectuée, car les femmes désiraient conserver une image face à leur accouchement. Il y avait deux thermologies utilisées pour décrire les enfants. D'un côté, on retrouvait les enfants illégitimes. Ceux-ci sont les enfants qui ont été baptisés comme étant née de parents inconnus. D'un autre côté, on retrouve les enfants abandonnées. Ceux-ci sont les enfants qui proviennent de la Crèche de d'Youville. C'est l'endroit religieux le plus important au Québec au 19e siècle. [2] Le concept de la confidentialité a continuée à se développer à travers les conditions de l'adoption. Il existe plusieurs types d'adoptions qui visent à équilibrer le droit de connaitre ses origines et les problématiques liés aux contacts avec les parents biologiques. Au Québec, il existe trois types d'adoption. L'adoption régulière, l'adoption du programme de la banque mixte et l'adoption internationale.[3] Ces formes ont toutes la même priorités, qui est celle de la protection affective de la circulation de l'enfant. Aujourd'hui, le changement de famille se fait dans l'intérêt de l'enfant et non selon les souhaits des familles adoptives. En 1989, le Québec connaissait les plus hauts taux de placements dans tout le pays. [4] Malgré cette augmentation, les données ne sont pas complète, car l'enregistrement des enfants n'étaient pas encore perfectionné à l'époque. La problématique venait du fait que les familles d'accueils étaient utilisées sans motifs suffisants et justifiables. Le manque de règlement et de système de soutiens aux familles a causé la séparation de familles qui auraient pu rester unies. Grâce aux transformations sociales et culturelles, des acteurs concrets, comme les travailleurs sociales, se sont développés dans le domaine de l'adoption au Québec pour intervenir et structurés l'informations. [5]

  1. Carmen Lavallée, « Le secret de l’adoption en France et au Québec », Revue générale de droit, vol. 27, no 4,‎ , p. 441–473 (ISSN 2292-2512 et 0035-3086, DOI 10.7202/1035751ar, lire en ligne, consulté le )
  2. Carmen Lavallée, « Le secret de l’adoption en France et au Québec », Revue générale de droit, vol. 27, no 4,‎ , p. 441–473 (ISSN 2292-2512 et 0035-3086, DOI 10.7202/1035751ar, lire en ligne, consulté le )
  3. QUÉBEC. CIUSS DE LA CAPITALE-NATIONALE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, « l'Adopter un enfant »
  4. Renée Joyal et Carole Chatillon, « Le placement des enfants au Québec, des années 1930 à aujourd’hui. Une mesure trop souvent utilisée? Constatations et hypothèses », Service social, vol. 45, no 2,‎ , p. 31–50 (ISSN 1708-1734, DOI 10.7202/706725ar, lire en ligne, consulté le )
  5. Dominique Goubau et Suzanne Beaudoin, « Adoption « ouverte » : quelques enjeux et constats », Service social, vol. 45, no 2,‎ , p. 51–72 (ISSN 1708-1734, DOI 10.7202/706726ar, lire en ligne, consulté le )