Utilisateur:WalterHWhite 1/Brouillon
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.
Zone de Tensions
[modifier | modifier le code]Géorgie
[modifier | modifier le code]À la fin de la guerre froide, plusieurs territoires de l’Urss obtiennent leurs indépendances . En 1991 l’ancienne république soviétique, la Géorgie proclame son indépendance [1]. Dès lors, les tensions augmentent entre la Géorgie et sa provinces sécessionnisme l’Ossétie du Sud. En 2004, les frictions augmentèrent suite à l’installation de postes de contrôle créée par le gouvernement géorgien.[1] Ces postes limitaient les importations en Ossétie-du-Sud amenant ainsi des troupes russes du maintien de la paix sur le territoire. L’installation de postes de contrôle suscite des réactions à Moscou[1]. Ainsi, les deux pays s’échangeront des mots sous forme de critique. Le ministre des affaires étrangères russe dit dans un communiqué « Les mesures provocatrices (…) pouvaient entraîner des conséquences extrêmement négatives »[1]. En 2005, la Russie organise une conférence nommée la « communauté des États non reconnus ». Parmi les représentants à cette conférence, Ossétie-du-Sud en fait partie amenant donc plus de tension. Après cette conférence, les responsables sud-ossète rejettent toute proposition de la Géorgie pour la paix, car ils jugent l’Ossétie-du-Sud comme un territoire indépendant. [1]
En 2003, l’Organisation du Traité de l’ Atlantique Nord commence à s’intéresser au territoire de la Géorgie[2]. L’implication et l’intérêt du territoire par l’OTAN amènent son lot de tension en Russie vis-à-vis l’occident. En 2005 la Russie met en garde l’OTAN contre l’aide militaire en Géorgie. [1]
C’est le 7 août 2008 que les tensions vont éclater en guerre.[3] En effet, l’Armée de la Géorgie attaque la capitale de l’Ossétie-du-Sud pour reprendre le contrôle du territoire. D’un côté, la Géorgie profite du soutien militaire américain et de l’autre, l’Ossétie-du-Sud est supportée par la Russie. Ce conflit éclair se termine 9 jours plus tard, soit le 16 août 2008. Le 26 août de la même année, la Russie reconnait l’indépendance des de l’Ossétie-du-Sud et d’Abkhazie[3]. Depuis, l’OTAN appelle la Russie à revenir sur leur décision et supporte la Géorgie à rejoindre l’OTAN. [2]
- Tracey C. German et Benjamin Bloch, « Le conflit en Ossétie-du-Sud : la Géorgie contre la Russie », Politique étrangère, vol. Printemps, no 1, , p. 51 (ISSN 0032-342X et 1958-8992, DOI 10.3917/pe.061.0051, lire en ligne, consulté le )
- OTAN, « Relation avec la Géorgie », sur Organisation du traité de l'Atlantique Nord, (consulté le )
- Julien Thorez, « Géorgie-Ossétie-Russie. Une guerre à toutes les échelles », EchoGéo, (ISSN 1963-1197, DOI 10.4000/echogeo.10890, lire en ligne, consulté le )