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Utilisateur:WCL19 MGENEVOIX 21/Brouillon

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Le contexte en Hongrie en 1956 est marqué par l’insurrection de Budapest qui a débutée en fin octobre. L’origine de l’insurrection débute le 28 juin 1956 lorsqu’en Pologne, plus précisément à Poznan, plusieurs revendications ouvrières ont lieus car il s’agit de l’époque de la révolution industrielle. Ces premières revendications ouvrières vont mener à de violents soulèvements populaires, à des émeutes. L’URSS (Union des Républiques Socialistes Soviétiques) qui dirige la Hongrie à cette époque là, décide de mettre à la tête du gouvernement du pays Wladyslaw Gomulka qui fut emprisonnée par Staline mais qui était aussi un dirigeant réformiste, c'est-à-dire que ce dernier avait une opinion politique privilégiant les réformes légales et progressives et le conservatisme, courant contre-révolutionnaire. Cette nouvelle entrée au pouvoir ne va pas faire pour autant cesser les revendications du peuple hongrois car le 23 octobre 1956 débute l’insurrection. Ce jour-là plus de 200 000 personnes sont présentes pour manifester mais l’élément qui fait débuter l’insurrection est la volonté de nombreux manifestants : la chute d’une statue en bronze représentant Staline, dirigeant de l’URSS. La statue mesurant 10 mètres de haut, fut construite en 1851 et la réalisation fut possible par la destruction d’un site d’une église. Mais les manifestants ne s’arrêtèrent pas là et décidèrent de planter le drapeau hongrois. Le lendemain de cette manifestation, les hongrois obtiennent le retour de Imre Nagy comme premier ministre. Ce dernier qui était un communiste expulsé du pouvoir en 1955. Le lendemain, l’insurrection gagne le pays, Imre Nagy ainsi que János Kádár, membre du parti communiste hongrois, tente de trouver un accord avec l’URSS. Mais la violence règne encore et va même plus loin des membres de l’AVH tuent des milliers de personnes dans les rues. Le 28 octobre, l’URSS n’a pas cessée et Imre Nagy, favorisé du peuple hongrois, décide d’accepter de nombreuses requêtes d’insurgés pendant que les troupes soviétiques commencent à quitter Budapest. Le 1er novembre, de nouvelles troupes soviétiques font leur apparition autour du  pays mais le premier ministre décide d’annoncer son refus dans le pacte de Varsorie, alliance militaire entre les pays d’Europe de l’Est et l’URSS. Cette décision est l’élément déclencheur qui pousse l’armée Soviétiques  à entrer au sein du pays à l’aide de nombreux chars. Sous cette attaque, Imre Nagy tente tant bien que mal  d’obtenir de l’aide à l’ONU et par des appels à la radio. Cette dernière aura fait en 2000 et 3000 mille hongrois tués. Au final, cette insurrection a provoqué le décès  d’environ 200 000 morts, et le départ de 160 000 personnes en Europe de l’Ouest et  Imre Nagy, figure importante de l’insurrection fut pendu quelques fois plus tard.