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Utilisateur:Twentycent90/Brouillon

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Balavoine passera toute sa jeunesse dans le Sud-Ouest. La famille déménage à Bordeaux en 1953 au gré mutations du père. Au bout de vingt ans de vie commune, ses parents divorcent en 1957. Sa mère rencontre un autre homme, René, et s'en va habiter à Nice où elle y ouvre un magasin d'antiquités. Daniel, avec l'ensemble des enfants, reste avec Emile et partent s'installer à Biarritz. Divorce en 1957, la mère part habiter à Nice, le père à Biarritz. L’en­fant est mis en pension à Haspar­ren, à quelques enca­blures de Biar­ritz, au cœur du Pays Basque. Période affec­ti­ve­ment diffi­cile, terrible senti­ment d’un aban­don qu’il trompe par une fasci­na­tion pour son profes­seur de français, puis pour une jeune vendeuse travaillant en face du collège, qu’il entre­voit en jouant à la pelote basque, mal-être et exal­ta­tion qui se traduisent par une envie tempo­raire, plus ou moins réelle, de deve­nir prêtre.

Passé par des établissements scolaires d'Hasparren et de Dax, Daniel Balavoine rejoint son père, ingénieur en équipement, alors muté à Pau, au service de l'urbanisme, en 1963. Il fait ses études secondaires dans l'ensemble privé de l'Immaculé Conception. Collège d'Hasparren. collège Cendrillon à Dax un an d'internat (aujourd'hui lycée saint jacques de compostelle). .

Après s'être marié avec Dominique Shroo en 1972, il divorcera l'année suivante. Il partage la vie de Catherine Ferry entre 1974 et 1977, puis celle de Linda Leconte entre 1977 et 1981.

Il eu deux enfants de sa dernière compagne Corinne, dite Coco qu'il a rencontré fin 1981. Son fils Jérémie Balavoine (1984) est devenu producteur de spectacles. Sa fille Joana (1986), qu'il n'a jamais connu puisque né cinq mois après sa mort, est chanteuse du groupe de musique Gentle Republic, avec Alexandre Mazarguil, dans lequel elle interprète en anglais des chansons aux fortes résonances des années 1980[1]. Pour la première fois, Joana Balavoine parle de son père dans un documentaire-­événement qui lui est consacré « J’me ­présente, je m’appelle Daniel » en 2016[2].