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Marcel Barthe, PRP, ARP, CPA, FSCRP, M. sc. (Géog.)

                 Marcel Barthe


                        Biographie

Naissance : septembre 1950 (71 ans) Québec

Nationalité : Canadienne

Formation : Université Laval, UQAM

Activités : Communicateur, géographe culturel et patrimonial

                    Autres informations

Distinctions : Grand Prix Équinoxe de la Société des relationnistes 2004 (SRQ - SCRP)

Prix Distinction en consultation A+ Alliance des cabinets de relations publiques du Québec ACRPQ – (2012)



Marcel Barthe – communicateur stratégique émérite et géographe culturel et patrimonial du Québec.

Sommaire

1. Biographie et carrière

2. L’implication communautaire

3. Conférences/formations/colloques

4. Les publications : livres, articles

5. Présence média

6. Honneurs et distinctions

7. Notes et références


Toute sa carrière professionnelle fut consacrée à la communication sous toutes ses formes : essayiste, journaliste, communicateur stratégique politique, communicateur d’affaires dans les grandes entreprises, consultant et patron de cabinet de relations publiques, professeur d’université en communication et puis associé principal et dirigeant d’entreprises de communication. Il aura marqué l’univers québécois de la communication professionnelle pendant quelques décennies, comme le témoignent ses nombreux prix et récompenses (voir détails plus loin).

Par la suite, sa grande passion personnelle pour la protection et la préservation du patrimoine bâti et paysager l’amènera à s’impliquer fortement dans de nombreux projets et auprès de plusieurs organismes œuvrant dans le secteur du patrimoine, où il mettra à profit ses talents de communicateur et de rassembleur pour faire avancer des causes importantes dans ce secteur.


1. Biographie et carrière

Livre publié en 1973.

Marcel Barthe est né à Québec le 28 septembre 1950. Après des études primaires au Québec, en Allemagne et en Ontario, il obtient d’un D.E.C. en sciences humaines du cégep F.X. Garneau de Québec et d’un baccalauréat ès arts, en journalisme et information à l’université Laval. Plus tard, à des fins d’enrichissement personnel, il complète une maîtrise ès sciences, en géographie culturelle et patrimoniale, à l’UQAM. Enfin, encore une fois à des fins personnelles et non d’emploi, il obtient un certificat en création littéraire dans la même université montréalaise.

Études et carrière

Pendant ses études universitaires de premier cycle en journalisme et information et sociologie (université Laval), il publie au début de 1973 avec une co-autrice, Marcelle Dolment, un essai intitulé La femme au Québec1, préfacé par le Docteur Camille Laurin, psychiatre de renom qui deviendra ministre d’État au Développement culturel du Québec (père de la Loi 101 sur la Charte de la langue française), lors du premier gouvernement de Monsieur René Lévesque en 1976. Considéré à l’époque comme le premier essai féministe du Québec, le livre est demeuré pendant plusieurs semaines sur la liste des meilleurs vendeurs compilée par les médias avec plus de 10 000 copies vendues. Cette publication permet aux deux auteurs de parcourir tout le Québec pour prononcer des conférences, participer à des entrevues médias et à des tribunes publiques pour présenter leurs idées, considérées radicales à l’époque, mais qui, aujourd’hui, sont presque toutes adoptées et monnaie courante (voir quelques mentions dans la section 5)


L’expérience de l’appareil public

Après son premier cycle universitaire, son premier emploi l’amène au ministère de l’Éducation avant d’être prêté à la Société d’accueil du Festival international de la jeunesse (SAFIJ), un organisme relevant de l’agence de coopération culturelle et technique (ACCT), aujourd’hui l’organisation internationale de la francophonie – OIF) pour participer à l’organisation et à la réalisation de la Superfrancofête (voir Wikipédia) à Québec en août 1974. Il s’implique dans l’équipe de direction de la communication, qui coordonne l’activité des 633 journalistes d’ici et du monde entier affectés à la couverture de cet événement international qui réunit pour la première fois la jeunesse francophone du monde entier pendant 11 jours dans la capitale québécoise.

Après la Superfrancofête (automne 1974) il est choisi par la Donner Canadian Fondation et l’Assemblée nationale du Québec pour faire partie de la toute première cohorte de 8 jeunes stagiaires parlementaires dans l’Histoire du Québec 2. D’une durée d’un an, il agit auprès du chef de l’opposition de l’époque, Jacques-Yvan Morin (Parti Québécois), puis auprès du ministre d’État aux Affaires sociales, Julien Giasson (Parti libéral), en plus de se familiariser avec le parlementarisme fédéral canadien à Ottawa et américain à Washington jusqu’à la fin juin 1975 (voir quelques mentions dans la section 5).

Le journalisme

Une fois ce stage terminé, il quitte Québec pour Montréal et démarre ses activités professionnelles en journalisme. Journaliste indépendant, il signe d’abord des articles pour des magazines publics (Éducation Québec [MEQ], Réseau [UQ], Télé-Clé (Radio-Québec). Puis, sa première proposition de dossier à Jean Paré reçoit un accueil tellement favorable que le rédacteur en chef/éditeur en fait le dossier de couverture du tout premier numéro de la revue L’Actualité, à la suite de sa transformation et de son changement d’identité (jusqu’alors Macleans, édition française)3. Dans cette édition paraît une entrevue majeure de René Lévesque à quelques mois de son élection pour un premier mandat à la tête du Québec (photo de la page couverture ?).

Son statut de journaliste indépendant ne dure pas longtemps, alors qu’on lui demande de devenir rédacteur en chef du magazine Le Réveil du consommateur, consacré à la protection du consommateur et à la consommation responsable, sous la responsabilité de l’Institut de protection des intérêts du consommateur (IPIC) et de la Fédération des magasins Coop. Marcel Barthe dirige et rédige des articles pour cette publication mensuelle considérée comme la précurseure du magazine Protégez-vous de l’Office de protection du consommateur (OPC) jusqu’au début décembre 1976 (trouver une page couverture du magazine).

La communication politique

Il entreprend alors une phase de communication politique et gouvernementale, de la fin de 1976 jusqu’à décembre 1980, lorsque l’on fait appel à lui pour entrer dans les cabinets politiques ministériels du tout nouveau gouvernement récemment élu de René Lévesque quelques semaines plus tôt. Il œuvre d’abord comme secrétaire particulier adjoint et attaché de presse du ministre Claude Charron, leader parlementaire du gouvernement et responsable du Haut-Commissariat à la Jeunesse, aux loisirs et aux sports (HCJLS) et leader parlementaire du gouvernement. Il participe à la réalisation et à la promotion des livres vert et blanc sur une politique du loisir pour le Québec. Puis, il occupe le même rôle auprès de Madame Lise Payette, ministre des consommateurs, coopératives et institutions financières et ministre responsable de la condition féminine. À ce titre, son expérience à l’IPIC (voir éléments précédents) est mise à profit au sein du cabinet dans la préparation et l’adoption de la Loi de la protection du consommateur et dans la création de l’Office du même nom. Il s’implique également avec ses collègues du cabinet dans la mise en place du régime public d’assurance automobile du Québec et de la création de sa Régie qui instaure le concept de compensation sans égards à la responsabilité pour les dommages corporels des victimes d’accidents de la route, toujours en vigueur aujourd’hui.

Au référendum de mai 1980, il prend un congé sans solde de son poste au sein du cabinet de Mme Payette pour s’intégrer à l’équipe de communication, près de Monsieur Lévesque, au siège social du camp du OUI.

Puis, de retour au gouvernement, il devient le directeur de cabinet du nouveau ministre du Revenu Michel Clair où il monte et consolide son équipe avant de quitter le monde politique pour des raisons personnelles à la fin de l’année 1981.

Le retour à la fonction publique

Déjà intégré aux exigences et critères de la fonction publique, il entre en 1981 au cabinet du sous-ministre au ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche pour coordonner l’implantation des mesures prévues au livre blanc sur le loisir (sur lequel il a travaillé auparavant au cabinet du HCJLS) pour la région métropolitaine de Montréal.

Par la suite, à la demande du ministre du Commerce extérieur Bernard Landry, il entre au service des communications de ce ministère afin de démarrer une revue économique sur le Québec, qui promeut les produits et services du Québec, de ses entreprises exportatrices et de l’investissement étranger au Québec. Lancé en 1983, le magazine Québec économique international sera publié trimestriellement en six langues différentes (français, anglais, espagnol, italien, japonais, allemand) et distribué dans toutes les délégations du Québec à l’extérieur et les ambassades du Canada (trouver photo de la page couverture d’un numéro).

L’entrée dans le secteur privé

Il quitte l’appareil public pour la 2e fois, en 1984, pour entrer au service des communications au siège social de la multinationale canadienne Alcan, à Montréal où on lui confie la responsabilité des communications externes et internes pour la zone Amérique du Nord (Canada, États-Unis, Jamaïque). Durant cette période, il coordonne, entre autres, la communication sur de grands enjeux, dont le retrait d’Alcan d’Afrique du Sud, pour faire pression afin de mettre fin à l’apartheid, les communications et la consultation sur le dossier de la stabilisation des berges du Lac-Saint-Jean devant le Bureau des audiences publiques sur l’environnement (BAPE), une première pour une entreprise privée à l’époque, de même que l’annonce de nombreux investissements majeurs d’Alcan au Québec dont la construction de l’Usine Laterrière (photo ?), ainsi que la démarche de rapprochement réussi avec les groupes environnementaux dans le contexte de l’attaque de Greenpeace contre l’entreprise au sujet de ses émissions dans l’atmosphère à ses anciennes usines d’Arvida. Enfin, il met sur pied le premier réseau de communication organisationnelle au sein des principaux établissements de la multinationale au Québec, au Canada aux États-Unis et en Jamaïque.

En 1988, il devient vice-président, relations publiques, à la Bourse de Montréal pour appuyer le président Bruno Riverin. Durant son mandat, il coordonne la communication sur l’entrée en bourse de plusieurs fleurons québécois et d’Air Canada (photo), de même que l’introduction d’une nouvelle division des produits dérivés à la Bourse de Montréal qui connut un grand succès et conduisit, par la suite, à la spécialisation de la place boursière montréalaise dans ce secteur.

L’aventure de la consultation en communication

Puis, après ses expériences en journalisme, dans l’appareil public et dans l’entreprise privée du côté client, il entreprend une troisième aventure professionnelle en embrassant l’univers de la consultation, alors que le Groupe Cossette communication lui demande de diriger le bureau montréalais de sa division de relations publiques Optimum, à l’automne 1990. Sous sa gouverne, le bureau de Montréal devient rapidement le 2e plus important cabinet de relations publiques du Québec. Quelques années plus tard, il devient le président d’Optimum, responsable de l’ensemble des bureaux. Pendant cette période, il consolide les bureaux de Québec et Toronto, ouvre un bureau à Vancouver qui devient rapidement le 2e plus important cabinet de cette province et ouvre un bureau aux États-Unis, dans la « Technology Belt » autour de Washington. Optimum relations publiques se hisse alors dans le peloton de tête des cabinets de relations publiques au Canada.

Au cours de cette période, l’équipe d’Optimum, sous la direction de Marcel Barthe, se retrouve au cœur de plusieurs grands dossiers et enjeux économiques, sociaux et culturels de la société québécoise, dont certains, dans des situations de crises majeures. Plusieurs ont aussi mérité des prix des grandes organisations québécoises et canadiennes de la profession. Parmi ceux-ci, mentionnons (liste non exhaustive):

  • la promotion de l’édition originale de la comédie musicale Les misérables à Montréal (Prix de l’ADISQ et Prix d’excellence SCRP – 1992) ;
  • le lancement de la nouvelle usine de General Motors à Boisbriand (Prix d’excellence 1993 – SCRP) et l’annonce de la production de nouvelle Camaro-Firebird ;
  • la fusion des géants de l’ingénierie québécoise SNC et Lavalin (Prix d’excellence, 1992 – SCRP) ;
  • le regroupement des grandes pharmaceutiques Hoechst-Roussel et Marion Merrel Dow ;
  • l’entrée au NYSE de Teleglobe (Prix Distinction 1998 – SCRP et Silver Leaf Award, IABC) ;
  • la crise reliée à l’atterrissage d’urgence du vol Transat 236 piloté par le commandant Piché aux Açores (2001) ;
  • l’acquisition de La Ronde par Six Flags (2002) ; • le changement de propriété et le départ des Expos de Montréal (2004) ;
  • la crise provoquée par la contamination au VIH d’un médecin du CHU Ste-Justine qui opérait des enfants sans en avoir informé la direction de l’hôpital ni les parents de ses patients (2004)4 ;
  • la refondation de la papetière AbitibiBowater pour devenir Produits forestiers Résolu (2011) ;
  • Il supervise le travail de l’ensemble de l’équipe de Cossette auprès du directeur général des élections du Québec (DGEQ) à l’occasion de plusieurs scrutins électoraux et agit comme conseiller stratégique auprès de 5 directeurs généraux ;
  • et plusieurs autres dossiers majeurs.

« Son point le plus fort est de comprendre un enjeu, de le réduire à ses composantes principales et, la stratégie devient évidente, » dira Alain Perez, président et chef des opérations de SNC et, par la suite, président de l’Institut canadien des produits pétroliers (ICPP) un important client de la firme pendant plusieurs années. « Il y a d’excellents communicateurs à Montréal… et d’excellents conseillers stratégiques. Marcel Barthe réunit les deux…5 »

« Marcel Barthe été le grand manitou qui a orchestré le plan de communication entourant la fusion SNC-Lavalin. Ce dossier complexe a été bouclé en 20 jours… Notre rôle le plus important consiste à diminuer les écarts, conflits et différences entre groupes sociaux, dit-il, philosophe.6»

Leader et ambassadeur de la discipline des relations publiques ici et dans le monde

En plus de diriger le cabinet au bénéfice de ses clients, il s’implique activement bénévolement dans la professionnalisation et la promotion de cette discipline de communication. Ainsi, il agit régulièrement auprès de jeunes relationnistes à titre de mentor, préside de nombreux événements ou concours, prononce de nombreuses conférences sur plusieurs tribunes (voir liste non exhaustive plus bas dans la section 3), donne plusieurs formations, commente l’actualité d’affaires et politique dans de nombreux médias écrits et audiovisuels (voir liste non exhaustive plus bas dans la section 5).

Avec quelques collègues consultants, il fonde l’Alliance des cabinets de relations publiques du Québec (ACRPQ), dont il devient le premier président et responsable de l’élaboration de son code d’éthique.

En (1998), il devient vice-président pour les Amériques du plus important de regroupement international de cabinets de relations publiques indépendants, la Public Relations Organisation International (PROI Worldwide)[1] . Deux ans plus tard (2000), il en préside la destinée comme président mondial, devenant le premier québécois à occuper cette fonction (photo possible ici).

De nombreux titres et distinctions, ici et à l’international

Déjà agrée en relations publiques (ARP) de la société canadienne en relations publiques (SCRP) et le Public Relations Society of America (PRSA) à son entrée chez Optimum, il obtient par la suite le statut de communicateur professionnel agrée (CPA – ABC Accredited Business Communicator) de l’International Association of Business Communicators (IABC), devenant de ce fait le seul relationniste québécois agrée par les deux plus grandes associations mondiales de la profession.

En reconnaissance de son leadership et de l’influence marquante qu’il a sur l’évolution, de la profession, on lui octroie le Grand Prix Équinoxe 2004 de la Société des relationnistes du Québec (SRQ - SCRP). Puis, en 2011, il entre au Collège des Fellows et peut porter l’acronyme Fellow SCRP (FSCRP). On lui décerne aussi le Prix Distinction en consultation A+ de l’Alliance des cabinets de relations publiques du Québec (ACRPQ – 2012) pour son leadership exceptionnel dans le domaine de la consultation en communication. Enfin, à sa création, on lui accorde automatiquement l’accréditation « professionnel en relations publiques » (PRP), en reconnaissance de l’excellence de sa carrière et son engagement envers la profession.

L’enseignement universitaire (2002 – 2006)

Il quitte Optimum relations publiques et le Groupe Cossette pour quelques années pour se consacrer à l’enseignement universitaire au département de communication sociale et publique de la faculté de communication de l’UQAM à titre de professeur substitut, directeur du programme de relations publiques au 1er cycle et chercheur au comité scientifique de la Chaire en relations publiques.

Pendant son séjour « uquamien », il en profite pour faire une maîtrise en géographie culturelle et patrimoniale à des fins d’enrichissement personnel. Son mémoire de maîtrise portera sur l’arrondissement historique (lieu patrimonial) de l’île d’Orléans 7 .

Le retour chez Cossette

Après cette pause, il revient au bercail et devient alors vice-président, stratégie d’entreprise et associé principal à la haute direction de l’organisation. Il sera chargé de développement international, notamment à la stratégie d’acquisition de firmes de relations publiques pour agrandir le réseau mondial de l’offre en relations publiques. Dans ce contexte, il participera à l’acquisition de Paine PR (un leader américain) qui déploiera l’offre de Cossette aux États-Unis et orchestrera avec Marcel Barthe d’autres acquisitions pour construire l’infrastructure de relations publiques de Cossette au Royaume-Uni (le nom changera pour Citizen Paine aux É.-U. et Citizen Optimum-Citoyen Optimum au Canada jusqu’à son nom définitif de Citizen PR – Citoyen RP). Il occupera aussi le poste de bras droit et conseilleur spécial du Président et chef de la direction du groupe, Claude Lessard.

Il cessera son implication professionnelle à temps plein en 2012, afin de ralentir progressivement son rythme de travail et pour s’investir dans des chantiers personnels.


2. L’implication communautaire (voir détails au point 6)

Un citoyen engagé dans sa communauté : l’éducation supérieure, la santé des enfants, la protection de la faune et le patrimoine architectural et paysager

Tout au long de sa carrière, Marcel Barthe s’impliquera fortement dans sa communauté afin de mettre ses compétences et son énergie pour améliorer de la vie de siens dans plusieurs domaines.

Il sera notamment, membre du cabinet de campagne L’UQAM, une force novatrice (1994), sous la présidence de Charles Sirois, membre du comité de communication (bénévole) de la Fondation du CHU Sainte-Justine et du cabinet de campagne de levée de fonds sous la présidence de Céline Dion (dépassement de l’objectif de 100 millions $) et participant actif au Centre international de recherches et d’études en management (CIREM) (Photo possible).

Le gouvernement du Québec le nommera au conseil d’administration de la Fondation de la Faune du Québec (FFQ – 2004 – 2006). Au cours de ce mandat, il facilitera et assistera à l’implantation d’un projet de commandite philanthropique de 3 ans entre la FFQ et la Société des alcools du Québec (SAQ) qui permit l’entrée de plusieurs milliers de dollars pour financer des activités de la fondation en faveur des espèces fauniques menacées du Québec.

Mais c’est dans le secteur de la promotion, la protection et la défense du patrimoine architectural et paysager qu’il consacrera la majorité de son temps et de son énergie après sa carrière.

Un des fondateurs du Collectif pour la valorisation du patrimoine bâti de l’île d’Orléans, groupe de citoyens défenseurs du patrimoine insulaire, il présentera en 2009, un mémoire sur le schéma d’aménagement de la Commission métropolitaine de Québec, puis en 2011, un mémoire lors de la consultation sur le projet de Loi 82 sur le patrimoine culturel de la ministre Saint-Pierre. Les démarches du Collectif, sous son leadership, conduisirent au rétablissement, en 2012, du programme d’aide à la restauration de bâtiments patrimoniaux, aboli par la municipalité régionale de comté (MRC) en 2010. De plus, en 2015, il présente avec une collègue au nom du Collectif, un mémoire lors de la consultation sur le plan de conservation du site patrimonial de l’île d’Orléans par le Conseil du patrimoine culturel du Québec. Enfin, il présentera individuellement un mémoire sur le projet de renouvellement de la politique culturelle du ministre Fortin et sera entendu personnellement par le ministre à ce sujet. (2017).

De 2008 à 2012, il siégera au conseil d’administration de Manoir Mauvide-Genest, manoir seigneurial du régime français (1734) à l’île d’Orléans à la demande du grand spécialiste du patrimoine, l’historien Pierre Lahoud (voir Wikipédia), soutiendra les fondateurs de l’Espace Félix Leclerc, Nathalie Leclerc (fille de l’artiste) et Christian Bilodeau, dans l’implantation du projet en obtenant des contributions philanthropiques de plus de 300 000 $ grâce à des commandites de la part d’Alcan, de la SAQ, d’Hydro-Québec et de Cossette, afin de compléter la structure de financement pour la finalisation du projet.

Cérémonie d'ouverture du Monastère des Augustines (2015)

Toujours à la demande de Pierre Lahoud, il se joindra au conseil des fiduciaires de la Fiducie du patrimoine culturel des Augustines (Fiducie d’utilité sociale), en 2013 pour participer au projet majeur de restauration patrimoniale du plus ancien monastère encore debout (1795) au nord du Mexique, le monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec. Deux ans plus tard, il en prendra la direction des fiduciaires à la demande de représentantes de la constituante (les Augustines) jusqu’à la complétion de la restauration. Sous sa présidence, le projet « Le monastère des Augustines » recevra de nombreux prix d’excellence 8 tant au pays qu’à l’international, situation qui s’est poursuivie par la suite. Marcel Barthe favorisera l’implication bénévole de Cossette, pour la création et l’implantation de toute la signature visuelle et graphique, de la signalisation, des sites web, forgeant l’image de marque de la Fiducie et du Monastère.

Co-coordonnateur pour les amis de la Superfrancofête, il participera activement au projet d’érection d’une œuvre sculpturale publique et permanente, à la suite d’un concours d’art public pour commémorer la tenue de cet événement majeur et historique dans la ville de Québec auquel il avait œuvré en 1974. L’œuvre, intitulée « Se souvenir de 1974 », est installée depuis décembre 2017 au parc de la Francophonie.

De 2018 à 2021, il siégera au conseil d’administration d’Héritage Montréal, présidera son comité de communication et siégera au comité des politiques et programmes (COPA) avec Dinu Bumbaru.

Il fera partie du premier comité-conseil de la Ville de Montréal, à titre d’expert externe, sur la requalification et la restauration du monastère des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal à la suite de son acquisition par la ville de Montréal en 2017.

En plus de se préoccuper du patrimoine ancien, Marcel Barthe s’intéresse au patrimoine moderne. Il prendra par exemple, publiquement et à plusieurs occasions, la défense de l’architecte Roger Taillibert et de son œuvre majeure en Amérique du nord soit, le Complexe Olympique de Montréal pour les Jeux d’été de 1976 9.

Il siège toujours au comité-conseil sur l’appropriation du modèle des fiducies d’utilité sociale et publique à plusieurs fins sociales et communautaires du TIESS (Territoires innovants en économie sociale et solidaire) et à la Commission permanente sur le cadre de vie de Culture Montréal.

Il présente un mémoire devant l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), dans le cadre de la consultation sur le Plan particulier d’urbanisme de L’Île-des-Sœurs (PPU-IDS) et sera choisi par l’arrondissement de Verdun comme membre du comité consultatif pour suivre le plan d’aménagement du territoire e la partie nord du territoire insulaire.

Au crépuscule de sa vie active, il s’adonne à l’écriture et remporte un premier prix « catégorie Prose » au concours littéraire de Verdun (Le festival des lettres et des mots), édition 2021, pour sa nouvelle « Verdun pour toujours ».


3. Les conférences/formations/colloques ; (non exhaustif)


Barthe, Marcel, Médias et communication, Approche stratégique et gestion institutionnelle, ministère du Conseil exécutif, Québec, le 29 mai 2015.

Barthe, Marcel, Le gouvernement, la quête du pouvoir et la logique interne, au-delà du bien public, ministère du conseil exécutif, Québec, 26 novembre 2011.

Barthe, Marcel, La notion de qualité en relation publiques : qu’est-ce que cela veut dire au juste ?, Société québécoise de professionnels en relations publiques (SQPRP), Montréal, 22 mai 2007.

Barthe, Marcel, Parlons qualité en relations publiques, (capsule vidéo), SQPRP, 26 février 2007.

Barthe, Marcel, La notion de qualité en relations publiques : son fondement, sa pertinence, son application et ses limites, Formation SQPRP, Montréal, 15 février 2007.

Barthe, Marcel, La transparence, une question de confiance, dans Le droit à l’Information, le droit de savoir !, Barreau du Québec, Éditions Yvon Blais, 2006, pp. 1 -12.

Barthe, Marcel, Pour des rapports efficaces avec les médias, Université de Sherbrooke, Sherbrooke, 30 mai 2006.

Barthe, Marcel, L’importance de s’allier l’opinion publique pour faire bouger les gouvernements, Fédération des associations de défense des droits des personnes handicapées du Québec, Montréal, 17 mai 2006.

Barthe, Marcel et Liette Roy, La participation des publics : Une démarche de communication pour faciliter l’acceptation sociale de projets, Formation continue, UQAM, 2006.

Barthe, Marcel et Liette Roy, La participation des publics, outil fondamental de gestion de projet, UQAM, avril 2006.

Barthe, Marcel, Analyse de presse écrite 2004 - 2005, Association des centres jeunesse du Québec, Montréal, décembre 2005.

Barthe, Marcel, La communication dans une gestion de crise : un volet crucial souvent négligé, Colloque québécois de la sécurité de l’information (La sécurité de l’information, une affaire de communication), Ste-Hyacinthe, 26 avril 2005.

Barthe, Marcel, Les communications internes et externes, CIREM (plusieurs sessions pendant plusieurs années devant les gestionnaires susceptibles d’accéder aux plus hautes fonctions de leur organisation)

Barthe, Marcel, La gestion de crise, Colloque SOCOM, Québec , 12 novembre 2004.

Barthe, Marcel, panéliste, Les relations publiques : À l’ère de la transparence, tout finit par se savoir!, 20 octobre 2004.

Barthe, Marcel, L’évaluation en communication – finie la navigation à vue !, Forum des communications, Ville de Montréal, Montréal, le 20 avril 2004.

Barthe, Marcel, panéliste, Colloque, l’Année de la gouvernance, Conseil du patronat (CPQ) et Société des relationnistes du Québec, 26 mars 2003.

Barthe, Marcel, La confiance s’est-elle effondrée le 11 septembre dernier ?, 21e Forum Marketing de l’Université Laval, Québec, avril 2002.

Barthe, Marcel, Paneliste, Défi international, Colloque Gérer l’image, Action Réaction, 14 au 16 mai 1987, Société des relationnistes du Québec (SRQ). 4. Les publications

4. Les publications

Livres :

Barthe, Marcel (préface de), Yates, Stéphanie et coll., Introduction aux relations publiques, Fondements, enjeux, pratiques, PUQ, Montréal, 2018, 472, pages.

Barthe, Marcel (préface de), Kugler, Marianne, Des campagnes de communications réussies, 42 études de cas primés, Tome 2, PUQ, Montréal, 2010, 299 pages.

Barthe Marcel et Marcelle Dolment, La femme au Québec, Les Presses libres (Sogides), Montréal, 1973, 158 pages.

Articles :

Barthe, Marcel, Cossette, le retour de l’enfant prodigue ?, Libre Opinion, La Presse, 7 mai 2021.

Barthe, Marcel, Vortex : ce livre que l’on voudrait oublier le plus vite possible, La Presse, 30-11-2014 ;

Barthe, Marcel, Vortex : ce livre que l’on voudrait oublier le plus vite possible, Bulletin de la Société québécoise des professionnels en relations publiques – en ligne (SQPRP), 03-12-2014 ;

Barthe, Marcel, « RP » et transparence, Infopresse, vol. 15, no 7, avril 2000, p.6.

Barthe, Marcel, Relations publiques internationales, Faire appel aux réseaux indépendants (Tribune), Infopresse, janvier-février 1997, p. 50.

Barthe, Marcel, Les relations publiques en 1992 : ça change pas le monde sauf que… ou Lettre à mon ami publicitaire, in L’industrie de la publicité au Québec 1991-1992, Publicité Club de Montréal (PCM), Montréal, octobre 1992, p. 133-144.

Textes universitaires

Barthe, Marcel, La qualification du stade olympique comme monument historique : un exercice périlleux, mais utile, Démarche exploratoire de qualification selon la méthode Noppen-Morisset, Patrimoine et requalification des espaces urbains, UQAM, Montréal, 2005.


5. Présence média de Marcel Barthe (non exhaustif)

D’Avignon, Yves, Un premier festival littéraire qui avait bien choisi ses mots, Explore Verdun-IDS, 12 décembre 2021 (en ligne).

De Verdun, Alain, Un premier festival littéraire qui avait bien choisi ses mots, Metro, janvier 2022.

Ducas, Marie-Claude, L’ADN de Cossette (Dossier anniversaire –, Cossette a 40 ans), in Infopresse, Vo. 27. No 09, mai-juin 2012, pp. 34 -38.

Saint-Pierre, Annie, (Malgré la tourmente économique) Groupe Cossette dit avoir traversé le pire, in Journal de Québec, 5 décembre 2008, p.43.

Marcel Barthe est nommé v-p., stratégie de Cossette, Infopresse, 5 juin 2008 (en ligne).

Du mouvement chez Cossette, Marcel revient à titre de…, Infopresse, 22 juin 2007 (en ligne).

Garceau, Thérèse, Au-delà de l’image, in AMQP Magazine, décembre 2006, p.31.

Howe, Patrick, GRANDS ENJEUX EN RP – Entrevue avec Marcel Barthe, ARP, CPA, in rp.com, volume 6, numéro 2, novembre 2006 (en ligne).

Hinton Michael, Speaking to the CEO, entrevue avec Marcel Barthe, Strategic Dialogue Publications, Montréal, 2006, 107 pages.

Geiser, Christian, Débats télévisés, La formule est-elle perfectible ?, La Presse (date inconnue).

Corbeil, Michel, Un homme et son péché (Analyse), in Le Soleil, 12 novembre 2005, A 16.

Corriveau, Jeanne, Appelez-le Géranium 1er – Les actualités, Élections municipales, in Le Devoir, 4 mai 2005, A5.

Vailles, Francis, Marcel Barthe quitte Cossette pour changer de rythme de vie, La Presse, D4, (2004).

Garnaud, Emmanuelle, La dette en pub (En couverture), L’Actualité, 1er octobre 2004, p.32.

Froment, Dominique et Pierre Marcoux, Marcel Barthe quitte Optimum, Les Affaires, 28 septembre 2002, p.2.

Marcel Barthe, Entrevue avec sur les grands enjeux –, dans RP.com magazine, (date et no, à trouver – qui a écrit l’article ?)

Lafrance, Annie, Les événements du 11 septembre dernier : Un tournant dans l’industrie publicitaire et des communications, in Le Journal Économique, avril 2002, p. 5.

Monfort, Mikaëlle, Tactique éthique (Les multinationales et leur image), in Quartier libre, Vol.9, no 12, 27 février 2002, p. 14.

Bérubé, Gérard, Le rythme s’accélère chez Optimum, in Le Devoir, 26 janvier 2002, B – 4.

Les Clins d’œil de Marcel Barthe en ce début de millénaire, in Commerce, février 2001, p. 68.

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6. Honneurs, distinctions, implication communautaire

  • 1987 – Obtention du statut d’ARP (agrée en relations publiques) de la SCRP et PRSA (Public Relations Society of America) ;
  • 1988 – Obtention du statut de CPA (communicateur professionnel agrée - Accredited Business Communicators – ABC), de l’International Association of Business Communicators (IABC);
  • 1992 – Prix d’Excellence (SRQ - SCRP) – Fusion des géants de l’ingénierie québécoise SNC et Lavalin ;
  • 1998 – Prix Distinction – SCRP et Silver Leaf Award, IABC) – Entrée au NYSE de Teleglobe ;
  • 2002–2006 – Administrateur de la Chaire en relations publiques UQAM ;
  • 2004 – Grand Prix Équinoxe de la Société des relationnistes du Québec (SRQ) ;
  • Vice-président, Amériques (1998-2000), puis Président mondial (2000-2003), Public relations Organisation International (PROI) ;
  • 2003–2007 – Membre du conseil d’administration de la Fondation de la Faune du Québec ;
  • 2008–2010 – Membre du conseil d’administration de la Société de développement du Manoir Mauvide-Genest ;
  • 2011–2013 – Membre du conseil consultatif d’urbanisme (responsable de l’aménagement du territoire et du patrimoine), Saint-Jean-île-d’Orléans ;
  • 2011–2016 – Membre, puis président du conseil, La fiducie du patrimoine culturel des Augustines ;
  • 2012 – Admission au Collège des Fellows de la Société canadienne de relations publiques (SCRP) ;
  • 2012 – Prix Distinction en consultation A+ de l’Alliance des cabinets de relations publiques du Québec (ACRPQ) ;
  • 2014 – Membre directeur des amis de la Superfrancofête.


7. Notes et références

  1. Dolment, Marcelle et Marcel Barthe, La Femme au Québec, Les Presses Libres (Sogides), Montréal, 1973, 158 pages.
  2. Chauveau, Michel, Les 8 stagiaires de l’Assemblée nationale, in Le fil des événements, 23 avril 1975.
  3. Barthe, Marcel, Moi, j’ai trouvé une école que j’aime (à vérifier) – les écoles libres dans le système public, l’Actualité, Vol. 1 no 1, septembre 1976.
  4. Cette gestion de crise a été désignée par la revue Commerce comme étant la meilleure des dix dernières années.
  5. Bruno, Boutot, Marcel Barthe, L’antithèse du PR, Commerce, mars 1999, pp. 74 - 76.
  6. Bergeron, Patricia, Relations publiques, Les communicateurs, le « dream team » des spécialistes des relations publiques, in Commerce, octobre 1998, p. 55.
  7. Barthe, Marcel, Étude de la perception et de la représentation territoriales de l’arrondissement historique de l’île d’Orléans par ses résidents par ses résidents, UQAM, novembre 2009, 264 pages.
  8. Prix d’Excellence en restauration patrimoniale, Conseil du patrimoine religieux - CPR (2015), Prix Thomas-Baillargé, Ordre des architectes du Québec – OAQ (2016), Grand Prix du design, Expositions (Musée) (2016), Prix Cossette pour image de marque à vérifier avec Cossette.
  9. Publication de son étude, La qualification du stade olympique comme monument historique : un exercice périlleux, mais utile, Démarche exploratoire de qualification selon la méthode Noppen-Morisset, Patrimoine et requalification des espaces urbains, UQAM, Montréal, 2005, participation à l’émission radiophonique, Un autre regard, Radio-Canada, 27 février 2006, participation au documentaire, Roger Taillibert, Le Dieu des stades, Producteur-réalisateur Alain Stanké, octobre 2019, 45 minutes, diffusé à RDI et TOUT-TV, etc.