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Le Départ (film)

Une Porsche 911 en pleine course

Départ Analyse[modifier | modifier le code]

Style du film[modifier | modifier le code]

Le rythme du film, la place qu'y tiennent l'absurde et l'inattendu donnent l'impression que le film raconte un rêve[1],[2]. Mais souvent le Départ « piétine comme un mauvais rêve[3] » : aucune certitude n'y est possible[4] et dans ce film drôle, avec cette forme qui laisse tant de place à l'impromptu, les faits deviennent « plus abrupts, plus crus et acquièrent une forme nouvelle d'être ainsi indépendants de la psychologie et de l'intrigue[5]. »

C'est ainsi que ce film peut être vu comme travaillant à plusieurs niveaux, mais tous les niveaux étant présents en même temps : comme l'explique Serge Daney le même personnage, selon qu'il est filmé de loin ou de près, est un personnage de comédie musicale, de mélodrame ou de cinéma vérité[4]. Tout ces niveaux sont aussi vrais, et Skolimowski peut être vu comme celui qui dit : « que chacun choisisse ce qui lui convient. Moi je choisit tout[4]. »


« Histoire de prime abord, mais « en deuxième rideau, grâce auquel le film conquiert sa considérable puissance émotionnelle, c’est l’histoire d’un garçon qui se laissse déposséder de son rêve de bolide pour l’hypothèse, autrement plus fatale, de l’amour d’une femme. Tout cela file à 100 à l’heure ; progresse de tête-à-queue en coq-à-l’âne ; brûle à coups de faux raccords et de caméra portée une énergie folle ; dépense la vie comme on joue au casino : pour y gagner ce qu’on y perd[6]. » »


« composition instantanée - encore une expression empruntée au jazz ! - c'est-à-dire à cette forme particulière d'invention qui semble se glisser dans les interstices entre l'improvisation et la préméditation, ou encore entre probable et l'improbable[7]. »

C'est ainsi qu'il témoigne de la difficulté de vivre des jeunes de l'époque[3].

  • « Dans Le Départ, chaque plan, ressemble à un chorus de free-jazz. Ou encore à un exercice d'équilibrisme. Ce qui est du pareil au même[7]. »
  • « Qu'il conduise une Porsche à toute allure, qu'il fasse l'imbécile sur un vélomoteur, qu'il se batte pour un rien, qu'il lave les cheveux d'une rombière (...) Léaud est sans arrêt synchrone avec les raccords irrationnels du montage ou les élans d'une caméra qui ne tient pas en place[7]. »


Nombreuses scènes muettes (même si parfois dialoguées) avec simplement de la musique[8].


Thèmes[modifier | modifier le code]

La société de consommation[modifier | modifier le code]

voiture trois portes noire rutilante avec des phares ronds et des lignes arrondies et aérodynamiques
Une Porsche 911 S.

.



« Exaltation de la jeunesse comme refus du monde tel qu’il va, le choix de la désinvolture et de l’immaturité contre l’utilitarisme des valeurs bourgeoises[6]. »


On peut alors voir sous cet angle la scène finale du film où Michèle est enfin autre chose qu'un objet aux yeux de Marc[3].

Il s'agit d'un film léger : sans enjeu politique ni recherche formelle prédéfinie[8]. Le réalisateur y « montre la quintessence de son art poétique : l'invention d'une fantaisie spontanée à partir de ce qui s'offre à lui, sans hiérarchie entre le jeu et la tragédie, l'enfantin et le sublime. »[8] C'est ce qui est visible dans la séquence de la voiture coupée en deux : se trouve ici réunis la passion des voitures et l'amour pour Michèle, « jeu de mécano et symbolisme ironique. »[8]

Skolimowski considère que Le Départ est « un film pas sérieux sur un sujet sérieux » où il travaille sur l'écart entre ce qu'on fait et ce qu'on veut faire, entre le fait que Marc soit garçon-coiffeur et son rêve de devenir champion de rallye[9].

La jeunesse[modifier | modifier le code]

Une voiture de course conduite par Paul Frère en 1966.


« Exaltation de la jeunesse comme refus du monde tel qu’il va, le choix de la désinvolture et de l’immaturité contre l’utilitarisme des valeurs bourgeoises[6]. »




une jeunesse « qui soudain se pose et se brûle à l’amour[10]. »


« Skolimowski parvient à rendre compte de l’agitation frénétique d’une enfance trop longtemps prolongée, qu’il faut consumer d’autant plus vite qu’on la sait en train d’expirer. [...] L’énergie dépensée excède de beaucoup le but à atteindre, vite frappé de dérisoire.[11]. »



« Le jeune déboussolé, à la merci du monde moderne, tel que cent films l'ont dépeint est devenu ici un type, caricaturé et immortalisé par le rire qui l'accueille[5]. » « un jeune homme qui marche la tête haute au naufrage de sa jeunesse, et qui incarne ce moment de bascule avec une grâce si fiévreuse que la pellicule s’en embrase[6]. »

« Héros skolimowskien pur jus : un enfant monomaniaque qui ne veut surtout pas grandir et pas d’avantage s’engager. »


« Quiproquos drolatiques, impormptus permantents, incongruïté de toutes sortes » : la saucisse dans le pot d'échappement, « cet instant d'éternelle proximité oùun garçon et une fille découvrent l'amour et ses scènes de ménage, enfermés dans un coffre à bagages. Ces échappées fortuites dans le muet et le musical. Cette obsession d ela jeunesse, encore et toujours, qui propulse le film de trajets fugaces en raccourcis saisissants. »


« Mais il ne faudrait sur- tout pas oublier que Le Départ est aussi un film qui capte en direct, aussi bien ou même mieux que le plus beau des récits d'apprentissage, la jeunesse qui est en train de foutre le camp et qui ne reviendra plus, le dernier quart d'heure du film, nocturne et fragile, ponctué par un sublime diaporama d'enfance et d'adolescence, bascule dans une mélancolie rimbaldienne sans rien perdre de sa grâce aérienne. Au petit matin, il se consume, s'auto-détruit, s'évapore comme il s'était en quelque sorte auto- engendré à l'ouverture[7]. »


Dernière partie du film[modifier | modifier le code]

Si Le Départ traite de la jeunesse, ce qu'il aborde, dans sa dernière partie, c'est la fin de cette période et le basculement vers l'âge adulte[7]. C'est d'ailleurs parce que Marc sentait que cette période de sa vie était en train de se consumer qu'il a tenté de la vivre avec toute l'agitation et la frénésie possibles[11] marchant « la tête haute au naufrage de sa jeunesse » dans la majeure partie du film[6]. Le dernier quart d'heure, plus calme et maîtrisé, tranche aussi bien stylistiquement que narrativement, sur le reste de l'œuvre[11], se teintant de « mélancolie rimbaldienne[7]. » L'agitation, le rythme soutenu qui étaient là précédemment s'apaisent quand Marc se rend au salon de coiffure avec Michèle, persuadé qu'il n'arrivera plus à se procurer une voiture[12]. Cet ralentissement du mouvement aboutira, au tout dernier plan du film, à une véritable immobilité de Marc[13]. C'est cette partie plus calme qui fait naître ce que Jacques Mandelbaum appelle la « considérable puissance émotionnelle » du Départ, montrant au spectateur un personnage qui abandonne son rêve de course automobile pour l'amour d'une femme[6]. Le passage à l'âge adulte imprime au film son changement de rythme : « Le temps de la fougueuse immaturité, de la si belle irresponsabilité est déjà passé. L'heure de l'âge adulte, d'un cinéma responsable, coupable même, lourd de significations, a sonné comme un glas[7]. » Le film n'a plus l'air d'un rêve, l'amour fait partie de la réalité : « l'amour n'est pas un rêve. Il est de l'autre côté du rêve[3]. » 

Dans cette partie, les personnages de Marc et de Michèle apparaissent différents de ce qu'ils étaient auparavant au spectateur. Au salon de coiffure, dans une séquence très émouvante, le jeune homme récite devant Michèle son « rôle » de garçon coiffeur, il lui montre son « costume », ce qui fait de lui un objet[12]. À l'hôtel, la maladresse des jeunes gens témoigne de toute la difficulté qu'ils ont à être ensemble[14]. La gêne du couple est matérialisée par l'espace qu'ils gardent entre eux lorsqu'ils sont sur le lit[14]. Marc ne cesse de parler du rallye pour cacher sa timidité[14]. Michèle, pour sa part, qui a été si discrète pendant le reste du film (« la petite fille à l'imperméable blanc, frileuse et muette[3] ») prend véritablement sa place face à Marc. Lorsqu'elle montre le diaporama, elle semble d'ailleurs parler non seulement du personnage de Michèle, mais aussi de l'actrice Catherine Duport qui l'incarne et dont c'est le dernier film[15]. Elle cesse d'être un objet aux yeux de Marc : elle a fini par « apprivoiser [cet] enfant prisonnier de ses jouets[3]. » De diapositive en diapositive, elle passe d'enfant à adolescente, puis le spectateur voit son visage brûler sur la première diapositive où elle est adulte[14],[9]. Lorsque l'image figée du visage de Marc brûle sur le dernier plan du film, c'est que lui aussi est arrivé à un autre âge de sa vie[14],[9]. Il a vu la puérilité de son rêve de voitures, il a appris à distinguer l'essentiel, il est soudain devenu adulte[9]. Le « départ » du titre n'est pas celui de la course, mais celui vers l'amour et une autre période de la vie[16].

La toute fin, où Michèle se réveille et découvre que Marc n'a pas allé participé au rallye, est interprétée dans la presse et les livres qui traitent du film de deux façons différentes. La première hypothèse est qu'il ne s'est pas réveillé, comme le pense Michèle. C'est l'interprétation qu'en font Serge Daney[4] ou Ewa Mazierska[17]. Cette dernière, qui lie la voiture à la sexualité de Marc, voit en conséquence ce personnage comme quelqu'un qui « ne peut profiter ni d'une voiture ni d'une femme » et perd les deux[18]. Il s'agit pour elle d'une fin « morale[19]. »

L'autre interprétation est celle où Marc choisit de rester auprès de Michèle plutôt que d'aller concourir. Elle se trouve dans le texte de Michael Walker sur le film[14] ainsi que dans l'article de Frédéric Bonnaud dans Les Inrockuptibles, pour qui le film montre « comment un petit garçon change de désir, comment il préfère regarder dormir une grande fille plutôt que conduire une petite voiture. Le film se termine quand les vrais ennuis commencent[11]. » Cette interprétation est celle de Skolimowski lui-même : « S'il avait vraiment dormi, il se serait réveillé en poussant des cris. C'est très évident, il n'a pas dormi[20]. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jean de Baroncelli, « Le Départ », Le Monde,‎
  2. Jean Rochereau, « Le Départ », La Croix,‎
  3. a b c d e et f Jean Collet, « Le Départ, de l'autre côté du rêve », Télérama,‎
  4. a b c et d Serge Daney, « Moins par moins égale plus. À propos du Départ », Cahiers du cinéma, no 192,‎ , p. 42
  5. a et b Luc Moullet, « Le Départ de Jerzy Skolimowski, Belgique », Cahiers du cinéma, no 191,‎ , p. 53
  6. a b c d e et f Jacques Mandelbaum, « Le film charnière où chez Skolimowski tout bascule », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. a b c d e f et g Thierry Jousse, « Pourvu qu’on ait l’ivresse », Cahiers du cinéma, no 527,‎ , p. 68-69 repris en partie dans le dossier de presse de la reprise du film en 2011
  8. a b c et d Déniel - Keit - Uzal, p. 76-80, « Le Départ / 67 Dialog 20-40-60 / 1968 » texte de Marcos Uzal
  9. a b c et d (en) Christian Braad Thomsen, « Skolimowski », Sight and Sound, vol. 37, no 3,‎ , p. 142-144
  10. Jean-Baptiste Morain, « Le Départ », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne)
  11. a b c et d Frédéric Bonnaud, « Le Départ », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne)
  12. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Ciment
  13. Imre
  14. a b c d e et f Cameron, p. 60 Michael Walker « Jerzy Skolimowski »
  15. Mazierska, p. 44-45
  16. Arnaud Hée, « Le Départ, bim bam vroum, v’la Skolimowski ! », Critikat,‎ (lire en ligne)
  17. Imre
  18. Mazierska 2010, p. 67.
  19. Mazierska 2010, p. 128.
  20. Interview de 1971 autour de la sortie de Deep End reprise dans Michel Ciment, Petite planète cinématographique : 50 réalisateurs, 40 ans de cinéma, 30 pays, Stock, , 736 p. (lire en ligne), p. 200

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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le Départ, dossier de presse, Malavida Films, 2011 (lire en ligne sur malavidafilms.com, page consultée le 2 juillet 2013)
  • Jacques Déniel, Alain Keit et Marcos Uzal, Jerzy Skolimowski : Signes particuliers, Yellow Now, , 256 p.
  • Texte d'Ewa Mazierska International Co-productions as Productions of Heterotopias dans l'ouvrage collectif (en) Anikó Imre, A Companion to Eastern European Cinemas, Wiley-Blackwell, , 544 p. (lire en ligne), p. 484-490
  • (en) Ewa Mazierska, Jerzy Skolimowski : The Cinema of a Nonconformist, Berghahn Books, , 212 p. (ISBN 978-1-84545-677-1, lire en ligne)
  • (en) Texte de Michael Walker « Jerzy Skolimowski » dans l'ouvrage collectif dirigé par Ian Cameron, Second Wave : Newer than New Wave Names in Cinema, Studio Vista, , p. 34-62

http://www.culturopoing.com/Cinema/Jerzy+Skolimowski+–+Le+Depart+reprise+1967+-4293

Ex de ref[modifier | modifier le code]

  • Exemple 1 (le plus respectueux des conventions biblio) ->

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Notes et références pour le premier exemple[modifier | modifier le code]

  1. Dominique Revellino, « L'amazone et la couture », dans Olivier Saillard et Anne Zazzo, Paris Haute Couture, Paris, Skira, , p. 63

Bibliographie du premier exemple[modifier | modifier le code]

  • Exemple 2 ->

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Notes et références pour le second exemple[modifier | modifier le code]

  1. Saillard - Zazzo, Dominique Revellino - L'amazone et la couture p. 63

Bibliographie du second exemple[modifier | modifier le code]

  • Exemple 3 (le plus simple, pas de biblio)

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Notes et références pour le troisième exemple[modifier | modifier le code]

  1. Olivier Saillard (dir.), Anne Zazzo (dir.), Sylvie Lécallier, Alexandra Bosc et al. (préf. Bertrand Delanoë), Paris Haute Couture, Paris, Skira, , 287 p. (ISBN 978-2-08128605-4), « L'amazone et la couture (par Dominique Revellino) », p. 63