Utilisateur:SERHOUDJI Nabila Boutheyna/L'incident de l'éventail
L'Affaire de l'éventail[1], est un événement qui se produit le 29 avril 1827. Cet incident diplomatique est un prétexte, c'est la raison indirecte que saisit la France pour déclarer la guerre à l'Algérie et pour ensuite l'occuper en 1830 pour une période de 132 ans.
Histoire[modifier | modifier le code]
L'incident a lieu dans le palais du Dey-Hussein.[2] Lorsque le consul français Pierre Duval se rend au palais du Dey le jour de l'Aïd al-Fitr, le Day-Hussein exige à Duval le règlement des dettes estimées alors à 24 millions de francs français. En effet, l’Algérie a aidé la France alors que les pays européens déclaraient un blocus à son encontre à cause de la déclaration de la Révolution française. En agitant l'éventail, le Dai Hussein signifie à Duval qu'il l'expulse de son palais. Charles X envoie donc son armée sous prétexte de restaurer le statut et l'honneur de la France. Ce prétexte est la raison du siège de l' Algérie en 1828 pour une durée de 6 mois, après quoi survient l'occupation et l'entrée sur les côtes algériennes.
L'administration française, lors de son occupation de l'Algérie, tente de légitimer cette campagne, dans le but de convaincre l'opinion publique française ainsi que le monde entier, de la crédibilité de cet acte.
Contexte historique[modifier | modifier le code]
Les racines historiques de l'incident de l'éventail sont principalement dues à la crise des dettes qui est survenue entre le gouvernorat algérien de l'époque ottomane et le gouvernement français, l'Algérie soutient la France en lui fournissant des céréales. Cette aide est la bienvenue compte tenu de l'isolement qui lui est imposé en Européen du fait de sa déclaration des principes de la Révolution française et des droits de l'homme, et sa tentative de frapper d'une main de fer les monarchies réactionnaires. De ce fait, le gouvernorat algérien devient le meilleur ami et allié de la France de la reconnaissance de ses dirigeants eux-mêmes, cela se passe par l'intermédiaire de l'entreprise juif, conduit par les "frères Bakri" les opérations de l'échange, et se montrent intelligents pour créer une crise politique entre le gouvernorat algérien et le gouvernement français, et il les aide dans cette stratégie le consul de France en Algérie "Duval" qui dépasse ses limites avec le plus haut poste du gouvernorat à l'époque Le Dai Hussein, lors de son enquête sur la raison du retard du gouvernement français à répondre à ses lettres et télégrammes, et le consul lui répond en disant : « Mon gouvernement ne concède pas à la réponse d'un homme comme vous ».
La réponse du «consul de France» de cette manière est une insulte et une provocation pure et simple au Dai et à sa cour, ce qui le fait expulser de son conseil, lui faisant signe avec son éventail, l'administration française n'aime pas le comportement du Dai, lui demandant de s'excuser dans les 24 heures et levant le drapeau français sur l'Algérie et d'autres conditions que le Dai considère comme une insulte à Lui et à l' Algérie.
Argument faible[modifier | modifier le code]
Cependant, celui qui examine cet incident, qui lie dans l’histoire de l’ Algérie en tant que précurseur à l’étude de l’occupation française de ce pays, et qui étudie les racines historiques des relations de la France avec la province algérienne, est presque certain que cette raison ne peut pas être le véritable motif de l' occupation de l'Algérie par la France, voire certains chercheurs nient «l'incident de l'éventail» parce que et tout simplement ils ont des coups des éventails plus grands et plus puissants se sont produits avant lui, comme l'exprime le chercheur Mouloud Qassem Knight Belkacem dans son livre (Personnalité de l'Algérie international et son prestige global). D'ailleurs, le Daï de l' Algérie expulse précédemment le "Consul de France" dans la propriété de Louis XV, mais plus que cela, c'est parce que l'envoyé spécial d'Henri IV a failli être tué en Algérie, sans aucune réaction de l'administration française, et pire que cela, le blocus du navire algérien du port français de Saint-Tropez près de Toulon en 1802, et sa saisie de nombreux équipements et engins français jusqu'à ce que Napoléon se fâche en disant: «C'est un scandale pour la république ».
Après toutes ces actions et attaques du gouvernorat algérien, quelle que soit leur légitimité ou non (les Européens qualifiaient les attaques des forces ottomanes d'opérations de piraterie, alors que les musulmans y voient un ( djihad maritime ), l'administration française ne réagit pas violemment, elle ne mène même pas une campagne pour son rendre son prestige, mais ses réactions restent limitées. Dire et dénoncer seulement, malgré le fait que tous les incidents susmentionnés, qui considèrent comme plus graves que d'agiter avec l'éventail et considérés comme une violation de la souveraineté de la France, pourquoi est-elle restée silencieuse avant 1827 ? Et hausse la voix après cette date, agissant avec une réaction militaire? L'administration française est consciente de la réalité de la position de l'Algérie et la richesse qu'elle abonde, en particulier ceux de la trésorerie de l'Etat. Cela lui vient après son succès dans la préparation de rapports et ses projets d'espionnage, dont le plus récent est la campagne "Bhoutan" en 1808 après JC . Ceci est en plus de ses autres motifs qui ne peuvent être négligés d'une tentative de christianiser l'Afrique du Nord et de l'introduire. Plus tard, elle devient connue comme les sources de la civilisation et de l'avancement des pays berbères ! .
Il semble que ses véritables motivations ne sont pas absentes avant, plutôt que le rideau ne pend qu'au-dessus d'elle, et à un moment où le gouvernorat et la mère qui l'embrasse, connue sous le nom de l'homme malade, ont une chance pour l'administration française de lever ce rideau, affronter «l'incident de l'éventail» Une introduction à la réalisation de ses buts et objectifs à la lumière des Huns, vécu par le gouvernorat algérien.